Le décès de la jeune femme de 29 ans, qui a succombé mardi d'un arrêt cardiaque à l'issue d'un don de plasma réalisé à Lyon , est dû à "une malheureuse erreur médicale". C'est du moins ce qu'a indiqué jeudi soir une source judiciaire qui a précisé à l'Agence France Presse que "des vérifications sont en cours".
D'après le site Internet de Metro qui cite les propos du procureur de Lyon Xavier Richaud, la patiente serait morte à cause "de l'erreur d'une infirmière" lors de l'opération réalisée à l'Hôtel Dieu, à Lyon. Le magistrat a expliqué au journal gratuit que les premiers résultats de l'autopsie de la victime ont révélé "qu'une fois le plasma retiré on ne lui a pas injecté de sodium". L'infirmière "qui a fait ça est complètement effondrée. Elle est hospitalisée, en dépression", a-t-il poursuivi. Cette injection manquante a pour objectif de pallier la carence de sodium liée au don de plasma qui contient la quasi-totalité du sodium du sang. "Il y a eu erreur, mais sans volonté de nuire de la part du centre de transfusion sanguine, qui s'est tout de suite rendu compte de l'erreur et a donné l'alerte", a déclaré encore Xavier Richaud.
Enquêtes
Une version en contradiction avec les déclarations faites jeudi sur le point.fr par Jacques Pellissard , président de la Fédération française pour le don du sang bénévole (FFDSB). "Nous savons que les règles ont été parfaitement respectées et que toute l'équipe médicale a fait son travail, lors de l'entretien préalable au don, lors du prélèvement en lui-même et pour la prise en charge du malaise qui a suivi le don", déclarait-il.
D'après les dernières informations disponibles, la victime serait décédée à l'hôpital Édouard Herriot de Lyon où elle aurait été transférée "dans le coma", a assuré Metro qui annonce l'ouverture d'une information judiciaire pour "homicide involontaire" en "début de semaine prochaine". L'Établissement français du sang (EFS), qui a annoncé mercredi la mort de la victime, évoquait jeudi dans un autre communiqué un "décès accidentel" à la suite d'un don réalisé "sur un site fixe de Lyon". "Donneuse régulière, la jeune femme ne présentait aucune contre-indication médicale avérée", selon l'EFS, qui a notamment diligenté une enquête interne et demandé une enquête administrative des services de l'État.
Que dire ????? Je ne voudrais être ni a la place de la famille de cette jeune femme venue donner de son sang et qui en est morte ..... ni a celle de cette infirmiére qui va devoir essayer de vivre avec cette mort sur la conscience !!!!!!!!!
D'après le site Internet de Metro qui cite les propos du procureur de Lyon Xavier Richaud, la patiente serait morte à cause "de l'erreur d'une infirmière" lors de l'opération réalisée à l'Hôtel Dieu, à Lyon. Le magistrat a expliqué au journal gratuit que les premiers résultats de l'autopsie de la victime ont révélé "qu'une fois le plasma retiré on ne lui a pas injecté de sodium". L'infirmière "qui a fait ça est complètement effondrée. Elle est hospitalisée, en dépression", a-t-il poursuivi. Cette injection manquante a pour objectif de pallier la carence de sodium liée au don de plasma qui contient la quasi-totalité du sodium du sang. "Il y a eu erreur, mais sans volonté de nuire de la part du centre de transfusion sanguine, qui s'est tout de suite rendu compte de l'erreur et a donné l'alerte", a déclaré encore Xavier Richaud.
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Une version en contradiction avec les déclarations faites jeudi sur le point.fr par Jacques Pellissard , président de la Fédération française pour le don du sang bénévole (FFDSB). "Nous savons que les règles ont été parfaitement respectées et que toute l'équipe médicale a fait son travail, lors de l'entretien préalable au don, lors du prélèvement en lui-même et pour la prise en charge du malaise qui a suivi le don", déclarait-il.
D'après les dernières informations disponibles, la victime serait décédée à l'hôpital Édouard Herriot de Lyon où elle aurait été transférée "dans le coma", a assuré Metro qui annonce l'ouverture d'une information judiciaire pour "homicide involontaire" en "début de semaine prochaine". L'Établissement français du sang (EFS), qui a annoncé mercredi la mort de la victime, évoquait jeudi dans un autre communiqué un "décès accidentel" à la suite d'un don réalisé "sur un site fixe de Lyon". "Donneuse régulière, la jeune femme ne présentait aucune contre-indication médicale avérée", selon l'EFS, qui a notamment diligenté une enquête interne et demandé une enquête administrative des services de l'État.
Que dire ????? Je ne voudrais être ni a la place de la famille de cette jeune femme venue donner de son sang et qui en est morte ..... ni a celle de cette infirmiére qui va devoir essayer de vivre avec cette mort sur la conscience !!!!!!!!!