L'AFLD ne lâche pas Armstrong
Le démenti de Lance
Armstrong n'y fait rien. L'Agence française de lutte contre le dopage
(AFLD) confirme par la voie d'un communiqué que l'Américain a bel et
bien enfreint les règles antidopage le 17 mars dernier lors d'un
contrôle inopiné à l'entraînement et se réserve désormais la
possibilité, avec l'accord de l'UCI, d'ouvrir à son encontre une
procédure disciplinaire.
Armstrong fera-t-il l'objet d'une procédure disciplinaire de la part de l'AFLD ? (Reuters)
Le démenti forcément très médiatique de Lance Armstrong mardi, quelques
heures à peine après qu'ait été révélée l'information selon laquelle
l'Américain aurait eu un comportement douteux lors d'un contrôle
inopiné le 17 mars dernier, ayant nécessité un rapport du médecin
préleveur, n'y a rien fait. L'Agence française de lutte contre le
dopage (AFLD), bien décidé à ne pas céder devant le fait du prince,
mais bien à gérer le cas Armstrong, aujourd'hui en convalescence après
sa fracture de la clavicule contractée ensuite sur le Tour de Castille
et Leon, comme elle le ferait avec tout autre coureur, confirme ce
jeudi que le septuple vainqueur de la Grande Boucle a bel et bien
enfreint les règles antidopage ce jour-là.
Dans un communiqué publié sur son site, l'AFLD affirme, sur la base du
rapport rédigé par le médecin préleveur assermenté qui a réalisé ce 17
mars dans les Alpes Maritimes dans une villa de Beaulieu-sur-Mer, un
contrôle antidopage inopiné à l'issue de l'entraînement de Lance
Armstrong, que l'Américain "n'aurait pas respecté l'obligation de demeurer sous l'observation directe et permanente de la personne chargée du contrôle".
Une version des faits qu'a réfuté un Armstrong indigné et persuadé,
après ce 24e contrôle depuis son retour dans le peloton, d'être la
victime d'un véritable acharnement de la part des laboratoires
français.
TIENS TIENS pourquoi tant de haine apres lui
serait il plus bon avec son dopage
Le démenti de Lance
Armstrong n'y fait rien. L'Agence française de lutte contre le dopage
(AFLD) confirme par la voie d'un communiqué que l'Américain a bel et
bien enfreint les règles antidopage le 17 mars dernier lors d'un
contrôle inopiné à l'entraînement et se réserve désormais la
possibilité, avec l'accord de l'UCI, d'ouvrir à son encontre une
procédure disciplinaire.
Armstrong fera-t-il l'objet d'une procédure disciplinaire de la part de l'AFLD ? (Reuters)
Le démenti forcément très médiatique de Lance Armstrong mardi, quelques
heures à peine après qu'ait été révélée l'information selon laquelle
l'Américain aurait eu un comportement douteux lors d'un contrôle
inopiné le 17 mars dernier, ayant nécessité un rapport du médecin
préleveur, n'y a rien fait. L'Agence française de lutte contre le
dopage (AFLD), bien décidé à ne pas céder devant le fait du prince,
mais bien à gérer le cas Armstrong, aujourd'hui en convalescence après
sa fracture de la clavicule contractée ensuite sur le Tour de Castille
et Leon, comme elle le ferait avec tout autre coureur, confirme ce
jeudi que le septuple vainqueur de la Grande Boucle a bel et bien
enfreint les règles antidopage ce jour-là.
Dans un communiqué publié sur son site, l'AFLD affirme, sur la base du
rapport rédigé par le médecin préleveur assermenté qui a réalisé ce 17
mars dans les Alpes Maritimes dans une villa de Beaulieu-sur-Mer, un
contrôle antidopage inopiné à l'issue de l'entraînement de Lance
Armstrong, que l'Américain "n'aurait pas respecté l'obligation de demeurer sous l'observation directe et permanente de la personne chargée du contrôle".
Une version des faits qu'a réfuté un Armstrong indigné et persuadé,
après ce 24e contrôle depuis son retour dans le peloton, d'être la
victime d'un véritable acharnement de la part des laboratoires
français.
TIENS TIENS pourquoi tant de haine apres lui
serait il plus bon avec son dopage