LE MAGICIEN ***
Rien ne commence ... ni s' achève....
Le temps est comme un enfant perdu
Il est tout à la fois le géant et le nain
Vagabond déroulant un rouleau de chemin
et chacun trime en soi tout empêtré de rêves
Dans le labyrinthe des nues
Athlétes terrassés par le lasso des rides
Soldats frappés debout et morts les yeux ouverts
S' inscrivent les éphémerides à l'encre noire du passé
A quoi sert de l' orgner le ciel
La scene se déroule dans un théâtre vide
et l' ange....... dort au creux d' un missel
impuissant et placide sur une image d' or
Ni le feu ni l' amour le pauvre des hommes
Ne peuvent émouvoire le coeur du magicien
Vous aurez beau frapper ne répondra personne
JE LE SAIS J'EN REVIENS..........
******Moon qui est ....!!! romantique"***
J'ai migré sur d'autres planètes
J'ai perdu notre fuseau horaire
Ça fait des lunes qu'on s'est pas vu
Deux tout petits siècles qu'on se parle même plus
J'voulais te dire tu m'manques là-bas
Comme le p'tit prince sans son mouton
J'voudrais savoir s'qui s'passe pour toi
Moi j'suis rivé dans mon plafond
De la terre à la lune
Quand on y pense
C'est pas si loin
Pierrot irait même sans sa plume
De la terre à la lune
Ça fait pas loin pour des copains
Moi, j'sais qu'tu peux voler sans plume
Rapplique quand t'en auras besoin
Si on refait pas les quatre cents coups
J'pars sans retour pour d'autres vies
J'te dis pas ça parce que j'suis fou
Ma place est plus ailleurs qu'ici
De la terre à la lune
Quand on y pense
C'est pas si loin
Pierrot irait même sans sa plume
De la terre à la lune
Ça fait pas loin pour des copains
Moi, j'sais qu'tu peux voler sans plume
Rapplique quand t'en auras besoin
De sur mon monde
J'te revois en bas
T'as plein d'avenir, t'es en affaire
Tu sais au fond j'suis fier de toi
Mais moi c'est la lune que j'préfère
De la terre à la lune
Quand on y pense
C'est pas si loin
Pierrot irait même sans sa plume
De la terre à la lune
Ça fait pas loin pour des copains
Moi, j'sais qu'tu peux voler sans plume
Rapplique quand t'en auras besoin
L autre et moi
Quand l'autre n'acheve pas son travail,je me dis qu'il est paresseux.
Quand moi,je n'acheve pas mon travail,c'est que je suis trop occupé.
Quand l'autre parle sur quelqu'un,c'estde la medisance.
Quand moi je le fais,c'est de la critique constructive.
Quand l'autre tient à son point de vue,c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,j'ai de la fermeté.
Quand l'autre ne me parle pas,c'est un affront.
Quand moi je ne lui parle pas, ses un simple oublis.
Quand l'autre prend beaucoup de temps à faire une chose,il est lent.
Quand moi je prends beaucoup de temps,je suis soigneux.
Quand l'autre est aimable,il doit avoir une idée derriere la tête.
Quand moi je suis aimable,je suis vertuex.
Quand l'autre voit les deux aspects dela question,il est opportuniste.
Quand moi je vois les deux aspects de la question,jesuis large d esprit.
Quand l'autre défend ses droits, c'est un mauvais esprit.
quand moi je defends mes droits je montre du caractere.
Oui, c'est bien etrange...!!!!!!
être parfait.....
***MOON***
NE ME DIS PAS QUE TU M'AIMES
Ne me dis pas que tu m'aimes
avec des mots, même sincères,
qu'un jour le vent emportera;
aussi bien que les mots menteurs.
Ne me parle pas de ce bonheur
dont les poètes font, si souvent, état
mais qui rimera bientôt avec enfer.
Ne me dis pas que tu m'aimes.
Combien de dechirement
naissent finalement
de ce sentiment
evanescent?
Ne me dis pas que tu m'aimes;
mais montre que tu me désires
malgré toi
malgré la loi
sans raison
sans en demander pardon..
Ne me dis pas que tu m aimes;
mais montre moi que tu me desirs
comme un bateau qui entre au port
Comme l'oiseau qui cherche le vent
comme la vie va à la mort
comme le temps au temps.
Je parle de ce desir inconscient,
persistant
récurrent
inhumain
divin
que peu connaissent
que peu reconnaissent.
Ne me dis pas que tu m'aimes;
mais montre moique tu me desires
parce que tu es toi
que je suis moi
parce que tous les fleuves vont à la mer.....
AIME MOI SIMPLEMENT.........
***MOON***
Rien ne commence ... ni s' achève....
Le temps est comme un enfant perdu
Il est tout à la fois le géant et le nain
Vagabond déroulant un rouleau de chemin
et chacun trime en soi tout empêtré de rêves
Dans le labyrinthe des nues
Athlétes terrassés par le lasso des rides
Soldats frappés debout et morts les yeux ouverts
S' inscrivent les éphémerides à l'encre noire du passé
A quoi sert de l' orgner le ciel
La scene se déroule dans un théâtre vide
et l' ange....... dort au creux d' un missel
impuissant et placide sur une image d' or
Ni le feu ni l' amour le pauvre des hommes
Ne peuvent émouvoire le coeur du magicien
Vous aurez beau frapper ne répondra personne
JE LE SAIS J'EN REVIENS..........
******Moon qui est ....!!! romantique"***
J'ai migré sur d'autres planètes
J'ai perdu notre fuseau horaire
Ça fait des lunes qu'on s'est pas vu
Deux tout petits siècles qu'on se parle même plus
J'voulais te dire tu m'manques là-bas
Comme le p'tit prince sans son mouton
J'voudrais savoir s'qui s'passe pour toi
Moi j'suis rivé dans mon plafond
De la terre à la lune
Quand on y pense
C'est pas si loin
Pierrot irait même sans sa plume
De la terre à la lune
Ça fait pas loin pour des copains
Moi, j'sais qu'tu peux voler sans plume
Rapplique quand t'en auras besoin
Si on refait pas les quatre cents coups
J'pars sans retour pour d'autres vies
J'te dis pas ça parce que j'suis fou
Ma place est plus ailleurs qu'ici
De la terre à la lune
Quand on y pense
C'est pas si loin
Pierrot irait même sans sa plume
De la terre à la lune
Ça fait pas loin pour des copains
Moi, j'sais qu'tu peux voler sans plume
Rapplique quand t'en auras besoin
De sur mon monde
J'te revois en bas
T'as plein d'avenir, t'es en affaire
Tu sais au fond j'suis fier de toi
Mais moi c'est la lune que j'préfère
De la terre à la lune
Quand on y pense
C'est pas si loin
Pierrot irait même sans sa plume
De la terre à la lune
Ça fait pas loin pour des copains
Moi, j'sais qu'tu peux voler sans plume
Rapplique quand t'en auras besoin
L autre et moi
Quand l'autre n'acheve pas son travail,je me dis qu'il est paresseux.
Quand moi,je n'acheve pas mon travail,c'est que je suis trop occupé.
Quand l'autre parle sur quelqu'un,c'estde la medisance.
Quand moi je le fais,c'est de la critique constructive.
Quand l'autre tient à son point de vue,c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,j'ai de la fermeté.
Quand l'autre ne me parle pas,c'est un affront.
Quand moi je ne lui parle pas, ses un simple oublis.
Quand l'autre prend beaucoup de temps à faire une chose,il est lent.
Quand moi je prends beaucoup de temps,je suis soigneux.
Quand l'autre est aimable,il doit avoir une idée derriere la tête.
Quand moi je suis aimable,je suis vertuex.
Quand l'autre voit les deux aspects dela question,il est opportuniste.
Quand moi je vois les deux aspects de la question,jesuis large d esprit.
Quand l'autre défend ses droits, c'est un mauvais esprit.
quand moi je defends mes droits je montre du caractere.
Oui, c'est bien etrange...!!!!!!
être parfait.....
***MOON***
NE ME DIS PAS QUE TU M'AIMES
Ne me dis pas que tu m'aimes
avec des mots, même sincères,
qu'un jour le vent emportera;
aussi bien que les mots menteurs.
Ne me parle pas de ce bonheur
dont les poètes font, si souvent, état
mais qui rimera bientôt avec enfer.
Ne me dis pas que tu m'aimes.
Combien de dechirement
naissent finalement
de ce sentiment
evanescent?
Ne me dis pas que tu m'aimes;
mais montre que tu me désires
malgré toi
malgré la loi
sans raison
sans en demander pardon..
Ne me dis pas que tu m aimes;
mais montre moi que tu me desirs
comme un bateau qui entre au port
Comme l'oiseau qui cherche le vent
comme la vie va à la mort
comme le temps au temps.
Je parle de ce desir inconscient,
persistant
récurrent
inhumain
divin
que peu connaissent
que peu reconnaissent.
Ne me dis pas que tu m'aimes;
mais montre moique tu me desires
parce que tu es toi
que je suis moi
parce que tous les fleuves vont à la mer.....
AIME MOI SIMPLEMENT.........
***MOON***