La journée de lundi promet d'être difficile pour les automobilistes se rendant à leur travail ou encore les personnes ayant choisi de partir en vacances par la route... Pour protester contre un gazole trop cher, de nombreux transporteurs routiers vont en effet occuper le terrain par le biais d'opérations escargot ou de barrages filtrants en plusieurs endroits du pays. On ne connaît pas encore l'ampleur du mouvement, mais les organisations professionnelles FNTR et Unostra ont d'ores et déjà annoncé une forte mobilisation de leurs adherents, plus forte que la journée du 16 juin. FG
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Ils peuvent l'être mobilisés, toutes la semaine dernière ils ont ravitaillé les usines afin que leurs clients ne soient pas en rupture et que eux même ne perdent pas un transport.
Les plus malins ont mis le maximum de ars en RTT ou les envoient à l'étranger, en partant le dimanche soir ou le lundi matin, ils seront de l'autre coté de la frontière et ils pourront rouler tranquillement.
En fait cette grève est un faux prétexte à mon sens dans la mesure ou les transporteur pouvant répercuter la hausse du carburant.
Ils vont même surement y gagner dans l'histoire car la répercutions va se faire sur le prix à la pompe alors que la plupart des transporteurs ont d'énorme citerne dans leurs entreprises qui leur permettent d'acheter le carburant au prix de gros et donc bien moins cher que le prix moyen à la pompe.
Ils vont ainsi pouvoir améliorer leurs marges de bénéfice.
Mais comme je le disais plus haut le carburant n'est pas l'enjeu de cette grève pour la plupart car dans les négociations avec le gouvernement va revenir l'éternel problème des heures d'attentes.
Je gage fort que d'ici quelque temps le gouvernement harmonisera les temps de d'attente sur les autres pays de l'Europe "sortant" en quelque sorte les heures de mise à dispositions des heures travaillés.
Les dindons de la farce
Comme d'habitude les conducteurs routiers qui bien sur puisqu'ils ne sont pas ou mal représenter subiront une fois de plus.
Il ne faut s'étonner par la suite qu'il n'y ai plus personne qui veuille faire ce métier qui en quelques années et passé du statut de seigneur de la route avec les routiers-sympa, au statut d'esclave de la route mépriser à la fois par leurs employeurs et par la clientèles.