L’indifférence collective ! !
Attention ce texte de fiction d’imagination est terriblement pessimiste.
Si vous avez des tendances dépressives, ne pas lire!
Vous êtes seul à votre domicile, depuis que votre femme vous a quittée.
Puis un samedi matin, vous vous levez avec une fière de cheval…
Bof, cela va se passer avec une aspirine.
Le dimanche matin suivant, vous avez des tremblements…
Bof, vous vous dites : « j’irai consulter plus tard, en récupération RTT. »
Le lundi matin, vous ne pouvez plus bouger dans votre lit..
Lentement, vous sombrez dans une sorte d’engourdissement général, avec un début de perte de connaissance.
Votre cité H L M est reconnu « zone sensible » abandonné de tous les services publique.
Il n’y a plus de médecin, parti récemment à la retraite.
Le pharmacien agressé violement, depuis il est retourné dans sa province.
En quelque sorte : « votre quartier est devenu une cité fantôme. »
Où la nuit, déambule des individus louches malfaisants…
Et vous êtes là!...Vous sur votre lit, sans vous en rendre compte : « vous êtes tranquillement en train de mourir dans la discrétion générale. »
Vous y êtes maintenant à la frontière irréversible entre deux états, avant la grande rupture avec le reste du monde.
Encore, un petit soubresaut respiratoire…
Vous êtes maintenant mort !
Le temps passe… Une semaine, ensuite trois mois, vos factures d’eau, d’électricité s’accumulent, dans votre boite aux lettres, ainsi qu’un avis de recommandé de licenciement de votre employeur pour abandon de poste…
Quatre mois après votre anonyme mort…Voici le premier avis de passage d’un huissier à votre domicile…
Pendant ce temps, votre corps est en phase décomposition dans votre appartement,
L’odeur est intenable.
(Un pêcheur de gardon serait heureux de récolter tous les asticots qui gigotent sur la moquette.)
Vos voisins ne sentent pas l'horrible odeur!
Les vieux sont bourrés du matin au soir dans l’immeuble
Les jeunes ont les narines explosées par la snif de la coke.
Une nuit un cambrioleur c'est introduit dans votre logement et vous vole une toile d’un grand peintre.
Un tableau rare qui appartenait à votre famille.
Avec laquelle vous étiez en froid, depuis les histoires d’héritages.
Votre cambrioleur, c’est fait interpeller par la police en tentant de le vendre la toile, sur une brocante.
C’est ainsi, enfin que les services publiques ont remontés sur les restes de votre dépouille.…
Léo : "tu es décédé d’une gangrène gazeuse, suite à une incubation infectieuse, constate le médecin légiste."
Rappel toi Léo:" tu t’étais blessé au travail un jeudi, en marchant sur un objet pointu
cela avait traversé ta chaussure…
Combien de fois tu avais réclamé à corps et cris une paire de chaussures de sécurité à ton patron.
Bof ! Pas la peine de faire une déclaration d’accident de travail.
Pas de temps à perdre !
Léo : Tu étais volontariste dans la nouvelle logique « Du travaillez plus. »
Mon pauvre Léo, tu es un DELTA- CHARLIE –DELTA dans une chambre froide
Ta discréte disparition ne sera même pas comptabilisé dans les statistiques de « L’HORREUR ECONOMIQUE ! »
Oscar
Attention ce texte de fiction d’imagination est terriblement pessimiste.
Si vous avez des tendances dépressives, ne pas lire!
Vous êtes seul à votre domicile, depuis que votre femme vous a quittée.
Puis un samedi matin, vous vous levez avec une fière de cheval…
Bof, cela va se passer avec une aspirine.
Le dimanche matin suivant, vous avez des tremblements…
Bof, vous vous dites : « j’irai consulter plus tard, en récupération RTT. »
Le lundi matin, vous ne pouvez plus bouger dans votre lit..
Lentement, vous sombrez dans une sorte d’engourdissement général, avec un début de perte de connaissance.
Votre cité H L M est reconnu « zone sensible » abandonné de tous les services publique.
Il n’y a plus de médecin, parti récemment à la retraite.
Le pharmacien agressé violement, depuis il est retourné dans sa province.
En quelque sorte : « votre quartier est devenu une cité fantôme. »
Où la nuit, déambule des individus louches malfaisants…
Et vous êtes là!...Vous sur votre lit, sans vous en rendre compte : « vous êtes tranquillement en train de mourir dans la discrétion générale. »
Vous y êtes maintenant à la frontière irréversible entre deux états, avant la grande rupture avec le reste du monde.
Encore, un petit soubresaut respiratoire…
Vous êtes maintenant mort !
Le temps passe… Une semaine, ensuite trois mois, vos factures d’eau, d’électricité s’accumulent, dans votre boite aux lettres, ainsi qu’un avis de recommandé de licenciement de votre employeur pour abandon de poste…
Quatre mois après votre anonyme mort…Voici le premier avis de passage d’un huissier à votre domicile…
Pendant ce temps, votre corps est en phase décomposition dans votre appartement,
L’odeur est intenable.
(Un pêcheur de gardon serait heureux de récolter tous les asticots qui gigotent sur la moquette.)
Vos voisins ne sentent pas l'horrible odeur!
Les vieux sont bourrés du matin au soir dans l’immeuble
Les jeunes ont les narines explosées par la snif de la coke.
Une nuit un cambrioleur c'est introduit dans votre logement et vous vole une toile d’un grand peintre.
Un tableau rare qui appartenait à votre famille.
Avec laquelle vous étiez en froid, depuis les histoires d’héritages.
Votre cambrioleur, c’est fait interpeller par la police en tentant de le vendre la toile, sur une brocante.
C’est ainsi, enfin que les services publiques ont remontés sur les restes de votre dépouille.…
Léo : "tu es décédé d’une gangrène gazeuse, suite à une incubation infectieuse, constate le médecin légiste."
Rappel toi Léo:" tu t’étais blessé au travail un jeudi, en marchant sur un objet pointu
cela avait traversé ta chaussure…
Combien de fois tu avais réclamé à corps et cris une paire de chaussures de sécurité à ton patron.
Bof ! Pas la peine de faire une déclaration d’accident de travail.
Pas de temps à perdre !
Léo : Tu étais volontariste dans la nouvelle logique « Du travaillez plus. »
Mon pauvre Léo, tu es un DELTA- CHARLIE –DELTA dans une chambre froide
Ta discréte disparition ne sera même pas comptabilisé dans les statistiques de « L’HORREUR ECONOMIQUE ! »
Oscar