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itsmeagainagain
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Une image vaut mille mots,
Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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- Message n°627
Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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- Message n°628
Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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- Message n°629
Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Monsieur C- Grand
râleur - Nombre de messages : 1788
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Re: Une image vaut mille mots,
itsmeagainagain- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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itsmeagainagain- Se défoule à fond
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- Message n°636
Re: Une image vaut mille mots,
Jean-pierre- Se défoule à fond
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- Message n°637
Re: Une image vaut mille mots,
Ça serait sympa de mettre ce genre de réveil en spoiler, il y a des enfants qui peuvent venir sur le Défouloir.
LibrePenseur- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
LibrePenseur- Se défoule à fond
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- Message n°639
Re: Une image vaut mille mots,
Jean-pierre- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
Sadique et sanguinaire suffisent.
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Jean-pierre- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Jean-pierre- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Monsieur C- Grand
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Re: Une image vaut mille mots,
Jean-pierre- Se défoule à fond
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- Message n°644
Re: Une image vaut mille mots,
C'est interdit de nos jours et il y a longtemps de ça.
Et dire que nous étions fier d'avoir des bons points et des images !
Les temps ont bien changé.
Et dire que nous étions fier d'avoir des bons points et des images !
Les temps ont bien changé.
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Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
Michel- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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LibrePenseur- Se défoule à fond
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- Message n°647
Re: Une image vaut mille mots,
Quand on voit à quel point on pousse sur les bagnoles électriques alors qu'on aurait pu commencer par les véhicules de chantier, les tracteurs, etc...
ça au moins, ça n'a pas de longue distance à faire et ça pollue plutôt pas mal.
ça au moins, ça n'a pas de longue distance à faire et ça pollue plutôt pas mal.
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LibrePenseur- Se défoule à fond
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Re: Une image vaut mille mots,
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Re: Une image vaut mille mots,
Jean-pierre a écrit:Sadique et sanguinaire suffisent.
Un énième truc que tu n'auras pas assez creusé... pour le juger...
Je ne suis pas en admiration, mais "sadique" et "sanguinaire" ne correspondent pas non plus !
Ceux, comme toi et moi, qui mériteraient d'être qualifié ainsi, sont déjà ceux qui consomment de la viande.
Cette culture est très proche de ce que la nature applique froidement: La selection naturelle.
Les taureaux qui sont à la hauteur ne sont pas tués, mais deviennent de super reproducteurs !
Et leur fin de vie est exceptionnelle.
Avec tout le respect qu'on les éleveurs et les admirateurs de cet impressionnant animal.
Bref, ne pas comprendre amène à des jugements qui ne peuvent que créer des conflits.
simone82- Défoulé actif
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Re: Une image vaut mille mots,
provence a écrit:bonjour ce 1er mais porte bonheur ici il pleut par intermitence ,le soleil s'amuse et il repart enfin c'est la nature qui en profite..pierre va bien il a commencer la radiotherapie en raison de 20mn chaque jour jusqu'au 6 juin mais il faut aller dans la ville voisine a Mougin...moi je vais prendre rdv pour faire un irm et un scanner pour la têt et le genoux gauche j'ai souvent bien mal depuis que je suis tomber...les animaux super bien mais grizou refuse tout cachet pour le sida dans le thon,la viande cru,les sachets au saumon, boeuf,et poisson ...enfin ras le bol ...lola le soir s'en va danser en boite et revient a 1 ou 2 h le matin,et moi je ne dors pas
Le but ultime de l'eau est d'aller à la mer
L'eau doit retourner à la mer, c'est bien son but, sa mission.
Elle peut y aller directement, tel un fleuve qui se dirige sans détour
et se joue de tous les obstacles.
Souvent cependant, l'eau rencontre des obstacles.
L'eau met au point différentes stratégies.
Parfois, elle attend :
elle s'accumule lentement devant l'obstacle jusqu'au moment
où elle arrive à passer au-dessus.
Souvent l'eau choisit de prendre un chemin détourné.
Elle serpente alors en petits ruisseaux,
en plus grandes rivières,
elle contourne les obstacles,
même quand cela implique de s'éloigner quelque temps de la mer.
Mais la mer reste son seul objectif.
Et elle y parvient à la mer.
Devons-nous toujours être le fleuve ?
Ne devons-nous pas parfois, souvent,
être le ruisseau qui choisit un chemin différent et plus à notre portée ?
Qu'importe le chemin suivi, si nous arrivons à nos objectifs ?
Si nous arrivons à accomplir notre mission ?
Xavier Guyaux, librement inspiré de « Le Guerrier de la Lumière » de P. Coelho
Magnifique inspiration d'un texte de P. Coelho...
Très beau texte à méditer...
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Monsieur C- Grand
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Re: Une image vaut mille mots,
UN MÉTIER INSOLITE : LES RÉVEILS HUMAINS
Avant les réveils, les ouvriers anglais étaient réveillés par des tapeurs de fenêtres, véritables réveils humains.
Le travailleur moderne se lève du lit, gémit et éteint le réveil. Mais les travailleurs britanniques et irlandais de l'ère industrielle avaient recours à une méthode différente pour se lever chaque matin. Au XIXe siècle et pendant une bonne partie du XXe siècle, un réveil humain connu sous le nom de "knock-up" sillonnait les rues et réveillait les clients payants pour qu'ils arrivent à l'heure au travail.
Pendant l'ère industrielle, les gens travaillaient à des heures inhabituelles dans les mines ou les usines. Ils utilisaient peut-être des réveils : ceux-ci avaient été inventés au milieu du XIXe siècle, mais ils étaient encore relativement chers et peu fiables.
Mary Anne Smith Moore était la plus célèbre : elle réveillait les dormeurs en jetant des pois secs aux fenêtres de ses clients.
Brandissant des cannes ou des lance-pois, les rabatteurs sont devenus des personnages familiers dans tout le Royaume-Uni. Beaucoup d'entre eux étaient plus âgés et ont réveillé les gens professionnellement pendant de nombreuses années ; ils ne quittaient souvent pas le domicile des gens avant d'être sûrs qu'ils étaient réveillés.
L'une d'entre elles, Mary Anne Smith, est devenue une présence bien-aimée, accompagnée de son fidèle lance-pois, dans l'East End de Londres dans les années 1930. John Topham, qui a pris des photos de Smith en action, se souvient que "tous les matins, même le dimanche, elle se levait à trois heures du matin pour frapper aux fenêtres des ouvriers du quartier, à l'aide d'une arme à feu à pois". Il demandait six pence par semaine et son concurrent le plus proche était un vieil homme à trois miles de là qui faisait le même travail en utilisant une canne à pêche pour faire tomber les fenêtres du dessus.
Si cette pratique s'est poursuivie dans certaines régions du Royaume-Uni jusque dans les années 1970, elle a décliné à mesure que les réveils et l'électricité se sont répandus et sont devenus plus abordables. Certes, les réveils et les smartphones qui diffusent de la musique le matin sont plus simples et plus pratiques, mais ils n'ont rien à envier au réveil par le toucher doux et distinctif du tireur de pois de Mary Smith.
La fille de Mary Smith, Molly, aurait été le dernier Knocker-up d'Angleterre.
Avant les réveils, les ouvriers anglais étaient réveillés par des tapeurs de fenêtres, véritables réveils humains.
Le travailleur moderne se lève du lit, gémit et éteint le réveil. Mais les travailleurs britanniques et irlandais de l'ère industrielle avaient recours à une méthode différente pour se lever chaque matin. Au XIXe siècle et pendant une bonne partie du XXe siècle, un réveil humain connu sous le nom de "knock-up" sillonnait les rues et réveillait les clients payants pour qu'ils arrivent à l'heure au travail.
Pendant l'ère industrielle, les gens travaillaient à des heures inhabituelles dans les mines ou les usines. Ils utilisaient peut-être des réveils : ceux-ci avaient été inventés au milieu du XIXe siècle, mais ils étaient encore relativement chers et peu fiables.
Mary Anne Smith Moore était la plus célèbre : elle réveillait les dormeurs en jetant des pois secs aux fenêtres de ses clients.
Brandissant des cannes ou des lance-pois, les rabatteurs sont devenus des personnages familiers dans tout le Royaume-Uni. Beaucoup d'entre eux étaient plus âgés et ont réveillé les gens professionnellement pendant de nombreuses années ; ils ne quittaient souvent pas le domicile des gens avant d'être sûrs qu'ils étaient réveillés.
L'une d'entre elles, Mary Anne Smith, est devenue une présence bien-aimée, accompagnée de son fidèle lance-pois, dans l'East End de Londres dans les années 1930. John Topham, qui a pris des photos de Smith en action, se souvient que "tous les matins, même le dimanche, elle se levait à trois heures du matin pour frapper aux fenêtres des ouvriers du quartier, à l'aide d'une arme à feu à pois". Il demandait six pence par semaine et son concurrent le plus proche était un vieil homme à trois miles de là qui faisait le même travail en utilisant une canne à pêche pour faire tomber les fenêtres du dessus.
Si cette pratique s'est poursuivie dans certaines régions du Royaume-Uni jusque dans les années 1970, elle a décliné à mesure que les réveils et l'électricité se sont répandus et sont devenus plus abordables. Certes, les réveils et les smartphones qui diffusent de la musique le matin sont plus simples et plus pratiques, mais ils n'ont rien à envier au réveil par le toucher doux et distinctif du tireur de pois de Mary Smith.
La fille de Mary Smith, Molly, aurait été le dernier Knocker-up d'Angleterre.
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