Allemagne : après son agression, un journaliste est réduit au silence

Le présentateur du journal de 20 heures (Tagesschau), Constantin Schreiber, a déclaré qu’à l’avenir, il ne « commenterait plus rien qui ait un lien, même le plus lointain, avec l’islam ». Il a déclaré à Die Zeit (hebdomadaire d’information et d’analyse politique à couverture nationale, n.d.t.) : « Je n’écrirai plus aucun livre à ce sujet, je refuse les demandes de participation à des émissions – c’est fini. »

Manque de solidarité
Agressions et discussions toxiques à répétition
Comme nous l’avions relaté, des étudiants d’extrême gauche ont agressé Schreiber à l’université de Jena le 29 août 2023. Ainsi que le montre une vidéo, un inconnu l’a alors frappé au visage avec un gâteau pendant que d’autres l’agressaient verbalement. Mais ce n’est pas tout : Schreiber se plaint de la pression croissante exercée sur lui au fil des années : « Je ne m’attendais pas à être un jour entraîné dans des discussions si toxiques qu’elles débordent dans la vie quotidienne. »

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C'est là qu'on mesure la dangerosité et toxicité de l'extrême gauche qui n'hésite pas à commettre un attentat sur un journaliste qui devrait être couvert par le droit à l'information libre.

L'extrême gauche de Mélenchon comme celle de tous les autres pays sont dangereuses, parce qu'ils n'acceptent pas le débat ni la discussion, tu es de leur bord ou tu es d'extrême droite, il n'y a pas de milieu pour eux.

L'extrême gauche est aussi islamogauchiste, islamocollabo... ceci expliquant cela...

C'est exact, c'est tellement passé dans les mœurs que je n'ai pas jugé utile de le préciser.

En fait, ce que l'on appelle la gauche est constitué de gens sans arguments qui s'énervent très rapidement et physiquement face à ceux qui en ont ?

Ça fait un moment que la gauche sait qu'ils n'ont plus d'argument, ni d'idée, ni de programme.

C'est pour ça qu'ils sont dans la propagande et la fausse nouvelle.

Jean-pierre a écrit:Ça fait un moment que la gauche sait qu'ils n'ont plus d'argument, ni d'idée, ni de programme.

C'est pour ça qu'ils sont dans la propagande et la fausse nouvelle.

Et dans l'invective... l'accusation de "complotisme", d'"extrême droite", d"antisémitisme"...

Voilà, c'est pour ça qu'au bout de trois phrases, ils traitent les autres de facho

Jean-pierre a écrit:Ça fait un moment que la gauche sait qu'ils n'ont plus d'argument, ni d'idée, ni de programme.

C'est pour ça qu'ils sont dans la propagande et la fausse nouvelle.

Par principe, non ils ne le savent pas...

C'est justement pour cela qu'ils sont tant à la peine.

S'ils le savent, mais comme ils ne peuvent pas se renier et avouer que leurs idées ne sont pas bonnes, voire catastrophiques, ils sont dans l'invective, dans le wokisme, le progressisme.

Seulement ça, ce n'est pas un programme social ni économique.

Jean-pierre a écrit:S'ils le savent, mais comme ils ne peuvent pas se renier et avouer que leurs idées ne sont pas bonnes, voire catastrophiques, ils sont dans l'invective, dans le wokisme, le progressisme.

Seulement ça, ce n'est pas un programme social ni économique.

Ce que tu dis n'a aucune cohérence...

Quelqu'un qui sait qu'il a de mauvaises idées, va perdurer dans ce sens plutôt que d'en chercher d'autres ?

Il y a des gens qui ont une volonté d'exister avant celle d'avoir des idées et quand on les confronte, là ils tentent d'apporter des idées et de montrer qu'eux aussi peuvent en avoir.

Et c'est là qu'on se rend compte de leurs incompétences, incapacités, etc...

Le gouvernement actuel est bourré de ce genre d'incapables...

Le problème, le vrai problème, ce sont les décisions prises sur ces mauvaises idées imposées par la hiérarchie, si celui qui dirige est con, les autres doivent obéir en espérant qu'il soit révélé rapidement que l'idée est mauvaise et qu'on en change...

Mais quand ce sont des chantiers sur des années, l'argent, le temps, l'énergie, la nervosité, la déception, la souffrance que ça va engendrer n'est pas quantifiable.

Et celui qui aura eu l'idée, aura depuis longtemps disparu, se trouvant une place bien au chaud quelque part.

LibrePenseur a écrit:Quelqu'un qui sait qu'il a de mauvaises idées, va perdurer dans ce sens plutôt que d'en chercher d'autres ?

Oui, bien sûr, par feignatise, par peur des reproches, par peur d'être mis au ban de la profession, pour le politiquement correct, pour la réputation et la paye qui va avec.

Si aux fonctionnaires des médias d'Etats on leur disait qu'ils seront payés sur la véracité de leurs écrits et plus n'auront la paye qui tombe tous les mois, à ton avis combien resteraient ?