En matière de poulets et de volailles en général, les Français feraient volontiers jouer la préférence nationale : s’ils le pouvaient, ils seraient 87 % à acheter une bête estampillée « volaille française ». Ce qui les en empêche ? D’une part, le prix : un bon poulet français coûte beaucoup plus cher qu’un poulet importé. D’autre part, le poids de ces importations : 43 % en 2022, 45,2 % sur les six premiers mois de 2023. « Le marché français est ainsi assailli d’importations à bas coût, ne répondant pas aux mêmes exigences réglementaires et sanitaires que la Volaille Française. La lutte contre ce phénomène est donc prioritaire. C’est pourquoi la filière demande l’appui des pouvoirs publics, tant au niveau français qu’européen, pour l’accompagner dans la reprise de son développement et la sécurisation de sa production », écrivait, dans un communiqué du 8 septembre, l’ANVOL [Association nationale interprofessionnelle de la volaille de chair, NDLR], qui représente vingt et une organisations professionnelles de la filière.
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Là où les Polonais, les Bulgares et autres pays font des lois pour protéger leurs agriculteurs, notre ministre de l'agriculture lui méprise le travail de qualité de nos producteurs et préfère faire manger de la m****e aux gens juste par idéologie.
Bref, nous avons un ministre qui préfère l'Ukraine à la France, on peut se demander ce qu'il fait au gouvernement de la France au lieu d'être fusil à la main et casque sur la tête dans le régiment de mercenaire se battant pour l'Ukraine.