La défense des libertés est plus que jamais l’enjeu du XXIe siècle. Actuellement, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) menace de confisquer à notre pays sa souveraineté en matière de politique de santé publique, avec bien sûr la complicité paresseuse de nos gouvernants. Plus particulièrement, c’est le futur traité international sur les pandémies qui attire notre attention.
Ce traité est un accord qui vise à « améliorer la prévention, la préparation et la riposte face aux futures pandémies ». Qui s’opposerait à une telle initiative ? Cependant, il risque de conférer à cette organisation des pouvoirs contraignants en cas d’instauration d’un régime de pandémie mondiale, dont nous avons vu les aspects liberticides pendant la crise du Covid. Bien que l’OMS se défende d’un quelconque transfert de souveraineté en arguant que les États peuvent amender le texte en discussion, une fois le traité signé, l’OMS possédera de forts moyens de pression sur les États. Un texte final doit être présenté en mai 2024 à l’Assemblée mondiale de la santé. En attendant, la direction prise par les travaux est inquiétante.
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C’est le meilleur moyen pour cet organisme et derrière lui le lobby pharmaceutique de mettre au pas des pays comme la Suède qui avait pris des dispositions différentes sur le confinement, ce qui a permis de faire un point de comparaison avec les autres pays d’Europe.
Tous les pays de l’Union européenne aux ordres, plus de contestation possible contre les décisions prises par l’O.M.S. et reprises par des pays lâches dont les gouvernants veulent la gloire de la fonction, mais pas les risques qui vont avec.