Deux Britanniques affirment que le général Ahmed Naser Al-Raisi a supervisé les tortures qu’ils ont subies dans les geôles émiraties, selon le « Guardian ».
ai personnellement subi des tortures et des abus sous son autorité. » Ali Issa Ahmad, un Britannique arrêté lors de ses vacances aux Émirats arabes unis pour avoir porté un maillot de football du Qatar, accuse un haut responsable émirati d’être impliqué dans les sévices qu’il affirme avoir subis en détention. Si la polémique enfle, c’est que l’intéressé, le général Ahmed Naser Al-Raisi, pourrait bien devenir le prochain patron d’Interpol, comme le relatent nos confrères du Guardian, dimanche 21 novembre. L’universitaire Matthew Hedges, un autre Britannique emprisonné dans le pays du golfe arabo-persique pendant sept mois, accuse également l’Émirati de tortures. Les deux hommes se sont lancés dans une campagne pour l’empêcher de prendre les rênes de la vénérable institution, qui regroupe 194 pays.
Ahmed Naser Al-Raisi, qui fait face à un seul concurrent pour diriger Interpol, occupe la fonction d’inspecteur général du ministère de l’Intérieur émirati. « Il a un rôle de surveillance des prisons, y compris celles qui ont commis des actes de torture », a déclaré Rodney Dixon, l’avocat des deux victimes présumées. « Il est absolument coupable de tortures », confirme l’universitaire Matthew Hedges, finalement gracié après des accusations d’espionnage, selon qui « sa candidature envoie le message que vous pouvez avoir recours à de tels actes et vous en tirer ».
de mieux en mieux
ai personnellement subi des tortures et des abus sous son autorité. » Ali Issa Ahmad, un Britannique arrêté lors de ses vacances aux Émirats arabes unis pour avoir porté un maillot de football du Qatar, accuse un haut responsable émirati d’être impliqué dans les sévices qu’il affirme avoir subis en détention. Si la polémique enfle, c’est que l’intéressé, le général Ahmed Naser Al-Raisi, pourrait bien devenir le prochain patron d’Interpol, comme le relatent nos confrères du Guardian, dimanche 21 novembre. L’universitaire Matthew Hedges, un autre Britannique emprisonné dans le pays du golfe arabo-persique pendant sept mois, accuse également l’Émirati de tortures. Les deux hommes se sont lancés dans une campagne pour l’empêcher de prendre les rênes de la vénérable institution, qui regroupe 194 pays.
Ahmed Naser Al-Raisi, qui fait face à un seul concurrent pour diriger Interpol, occupe la fonction d’inspecteur général du ministère de l’Intérieur émirati. « Il a un rôle de surveillance des prisons, y compris celles qui ont commis des actes de torture », a déclaré Rodney Dixon, l’avocat des deux victimes présumées. « Il est absolument coupable de tortures », confirme l’universitaire Matthew Hedges, finalement gracié après des accusations d’espionnage, selon qui « sa candidature envoie le message que vous pouvez avoir recours à de tels actes et vous en tirer ».
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