séquence nostalgie

Jean-pierre a écrit:

Oscar a écrit:Quand tu es GO les gentils membres viennent à toi sans l'ombre d'une résitance.

C'est l'avantage lorsque tu organises les choses, il y a plein de gentilles personnes qui s'intéressent à toi.

Jean Pierre avec ton activité d'organisateur de randonné , tu ne dois pas être en reste .

Où je me suis fait le plus dragué est club Med comme GO (maître nageur) .
Le soir, je participais au spectacle avec la troupe des autres GO. (répétition des sketchs de 14 h à 17 h crevant )
J'ai fait qu'une saison travailler 12 h par jour pour un dérisoire  SMIC.
Faut pas déconner !

Plains-toi, ça fait 10 ans que j'organise des marches quasiment tous les week-end et gratuitement en plus.

Pire ça me coûte des sous parce que la plupart du temps, j'offre des dattes ou des abricots séchés à la fin du pique-nique.

Ceci-dit j'aurais sûrement adorer être G.O. dans un club med, je pense que ça aurait été sympa.

Jean-pierre a écrit:Plains-toi, ça fait 10 ans que j'organise des marches quasiment tous les week-end et gratuitement en plus.

Pire ça me coûte des sous parce que la plupart du temps, j'offre des dattes ou des abricots séchés à la fin du pique-nique.

Ceci-dit j'aurais sûrement adorer être G.O. dans un club med, je pense que ça aurait été sympa.

Bonsoir Jean Pierre !
une ambiance de fêtes permanente...  

Mais hyper crevant , pour les amourettes d'un soir.
Tu te faisais draguer au bar de la piscine.
Une jolie GM m'avait glissé dans mon maillot de bain un petit papier m’indiquant l'heure  et le nom
de sa paillote "Rome".

Un soir, c'est deux filles qui m'attendaient , le matin j'étais sur les rotules pour ma surveillance de piscine.  

Fort heureusement à cette époque, nous avions pas encore le Sida...

Je pense que tu n'as pas mis ton message au bon endroit, Nicou, ça arrive.

Vivement que l'opération soit passée.

Pas besoin d'être G.O. pour avoir des avances de ces dames, j'aurais bien quelques anecdotes à raconter sur le sujet mais là on rentre dans le domaine du personnel.

["Jean-pierre"
Pas besoin d'être G.O. pour avoir des avances de ces dames, j'aurais bien quelques anecdotes à raconter sur le sujet mais là on rentre dans le domaine du personnel.

Pourquoi, je parle de drague !
Aujourd'hui, dans ce domaine, le changement est aussi très visible.

Les jeunes ne draguent plus en boite de nuit , mais sur les réseaux sociaux.

Tout passe par le multiple média
Finit l'époque de la drague pendant les vacances.(encore un peu au travail)

Cet été à Saint-Raphaël sur la plage , j'ai assisté devant moi à des séances selfie de groupes de filles de 18 à 21 ans
dans des pauses très suggestives.

Je suppose ensuite , elles vont balancer leurs photos sur les réseaux sociaux.
(Une sorte de pêche au filet virtuel )
Afin d'avoir un retour réactif des mecs salivant d'envie.

Je me marre d'un tel contraste d'époque dans nos moeurs.
Finit les appels du pied sous la table ...
Les petits mots dans le maillot de bain...
Les allusions cryptée en voile : "sais-tu tendre ton phoque ! "

L'époque est vraiment plus la même , pas étonnant que ce certains ne savent plus où ils habitent.

J'avoue que je me pose sacrément la question de savoir comment font les jeunes pour draguer de nos jours ?

Plus de slows pour conclure de la musique boum boum toujours sur le même rythme, je suppose qu'en fait, il n'y a plus de drague, je te plais, tu me plais, on va faire notre petite affaire le plus près possible.

Les temps ont bien changé en la matière.

Jean-pierre a écrit:
Les temps ont bien changé en la matière.

T'en fais pas les chagrins d'amour sont toujours d'actualité parmi les jeunes ..

Possible, j'avoue que je suis totalement déconnecté et que je n'aimerai pas avoir 20 ans dans cette époque de m...

Jean-pierre a écrit:Possible, j'avoue que je suis totalement déconnecté et que je n'aimerai pas avoir 20 ans dans cette époque de m...

En plus, nous avons toujours le sida qui rôde en compagnie de coronavirus !

Chose que nous n'avions pas et il me semble que nous étions plus libres à l'époque ou que les rencontres étaient plus faciles.

Lorsque je vois tous ces jeunes le nez dans leurs smartphones ou tablettes, je me dis que nous étions quand même plus heureux lorsqu'on sortait pour se retrouver en bande dans un coin quelconque du quartier ou du village.