La France est à prendre, voici comment réagissent certaines « figures » de la diaspora tchétchène en Russie dont j’ai rencontré deux membres « haut placés » ce matin à Moscou.
Tout d’abord une chose très claire : qu’ils soient en France, en Allemagne, au Brésil ou ailleurs, qu’ils aient fui la Tchétchénie en désaccord avec Kadyrov (Président de Tchétchénie) ou tout simplement pour organiser quelques trafics, les Tchétchènes à l’étranger restent toujours en contact avec leur base à Grozny, capitale de la Tchétchénie.
Et il se trouve que beaucoup d’entre eux se trouvent à Moscou généralement pour blanchir les millions de dollars déversés par la Russie pour soi-disant « reconstruire » la Tchétchénie. Et puis on vit beaucoup mieux à Moscou qu’à Grozny sous le règne de la loi islamique…
Les événements de Dijon ont donc été très suivis par les « figures » de la diaspora, qui ont en fait, après avoir montré leur détermination et leur force, imposé « leur » paix à Dijon, face aux voyous arabo-nègres.
Une rencontre a été organisée hier dans une mosquée de Dijon où étaient présents un imam tunisien représentant les voyous dijonnais, un imam tchétchène venu d’une autre ville française, le père de la victime à l’origine des troubles (un adolescent passé à tabac par les voyous dijonnais), plusieurs « représentants » des deux communautés, et curieusement « des journalistes »… du moins pour une partie des négociations.
En présence des journalistes, les palabres ont en fait été courtes : Les « Dijonnais » reconnaissent leurs torts et présentent des excuses au père de la victime. Tous récitent quelques prières et se quittent bons amis.
Ceci est la version « officielle », mais la réalité est quelque peu différente. Une fois les journalistes partis et le père de la victime rentré chez lui, les véritables palabres ont commencé, hors la présence des 2 imams qui ont été priés d’aller voir ailleurs.
Les Tchétchènes ont alors exigé un « dédommagement matériel » de 100 000 euros, faute de quoi ce serait « un bain de sang » chez les Afro-Maghrébins. Et en « signe de bonne volonté » ils ont accepté de fournir des armes aux voyous immigrés de Dijon, moyennant finances bien entendu ! Ils ont par contre accepté de rester à l’écart des trafics de narcotiques à Dijon, trafics où d’ailleurs ils n’étaient nullement impliqués.
Une transaction a été acceptée à 80 000 euros, dont 30 000 iront à la victime, et 50 000 à la « communauté tchétchène », et une première commande d’armes serait déjà en cours de discussion.
Et maintenant, le meilleur si on peut dire : une fois les accords passés, les deux imams ont été priés de revenir et ont entériné « la paix entre les communautés » – sans en connaître les détails – au nom d’Allah!
La conclusion des « figures » de la diaspora tchétchène rencontrées à Moscou est très claire : « On a compris que la France est à prendre ». Et selon ce qu’ils ont laissé entendre, ils ne vont pas en rester là. » À Dijon on est en, paix inch’Allah, mais il n’y a pas que Dijon en France »!
Leur plus grande surprise a été l’absence totale des forces de police.
Comme ils ont dit « À Grozny ou à Moscou, ceci serait impensable ».
Eh oui. Mais en France tout est possible !
ripostelaique.com
J'émets quand même quelques doutes sur l'accord financier que nous donnes cet article, d'autant que si le tchétchène est cinglé, il n'est pas majoritaire dans le pays.
Là où c'est grave c'est que ce soit deux imams qui aient régler l'histoire et que la police n'est pas intervenu pendant l'échauffourée ni après pour récupérer les armes qu'on a vu dans les mains des arabes de Dijon.