Vive le cinéma !

Oui, c'est évident, mais comme on avait un peu dévié sur le cine français....mais Woody Allen me laisse de glace, Monty python idem ,Pasolini
Aussi tout le monde a ses navets.

bonsoir !
Mon deuxième fils m'a téléchargé 5 films intéressants
En particulier le film "Ridicule"

EXTRA,Tu vas te regaler un des derniers films avec Giraudeau.

Moi qui ai regardé des centaines de films U.S. que j'avais téléchargés, les U.S.A. ont produit un nombre incalculable de navet.

Jean-pierre a écrit:Moi qui ai regardé des centaines de films U.S. que j'avais téléchargés, les U.S.A. ont produit un nombre incalculable de navet.

Le cinéma américain fabrique des films en fonction d'un panel de divers spectateurs .
Des jeunes , des moins  jeunes et spectateur âgés.

Ils sont tous dans une  salle de cinéma un laboratoire testing.
Sur leur fauteuil: un boitier électronique avec un curseur en 5 positions des avis.
0: je déteste
1: mauvais
2: moyen
3: bien
4: très bien
5: exceptionnel

Ensuite on leur passe des séquences types, spectaculaire tout s'effondre , des scènes d'actions, des intrigues à rebondissement , le complotisme scènes d'amour, dialogues percutants, scène de joug psychologique. scène d'amitié entre personnage, scène de patriotisme , scène de tireur d'élite, scène d'un érudit scientifique, scène  d'un policier d'élite, scène de la représentation d'autorité femme blonde ou noire...

Chaque spectateur devra appuyer sur le curseur d'évaluation  pendant la diffusion  des scènes typiques qu'il préfère.
Le résultat final de l'ensemble des spectateurs testing sera analysé...

Pour confectionner "un press book" de références typiques, afin d' écrire
un scénario qui corresponde au sondage de la diversité  des demandes de séquences.

On programme les séquences types.
trois poursuites de voiture ,
5 fusillades,
deux scènes de sexe
rebondissement de l’intrigue..

Ensuite le réalisateur, les scénaristes  rentrent dans la danse du projet du nouveau film.
Ils doivent en concert confectionner  une intrigue qui relie les séquences préférés
des spectateurs  .

Dernier paramètre:  trouver un producteur qui finance l'aventure du film .

La cerise sur la gâteau d'un film à gros budget  est le choix  du nom d'un acteur ou d'une actrice star .
Comme Tom Cruise ou d'autres qui sont au hit parade du box office .

Dans le cinéma américain tout est calculé en fonction des retours sur investissement .
Vive le capitalisme !

J'adore le film le "Titanic"
l'armateur donne l'ordre au capitaine prudent,(soumission à l'autorité c'est ma scène préféré)
" il faut foncer malgré les icebergs."
l’armateur: "Il faut qu'on parle de nous !"
Les vigiles négligents  qui ne prennent pas leurs jumelles !

Nous allons vivre en France la même tragédie que le Titanic...
Toutes les séquences sont en place.
Pas assez de barques avec un remède efficace contre le mutant  covid 20 .

2021 une année "Titanesque"  et ce n'est pas du cinéma.
bonjour chez vous

Le cinéma est une industrie, c'est fait pour gagner plein de fric, les Étasuniens l'ont compris et ils en donnent pour leur argent au gens qui viennent -.

Les Français, dans la plupart des cas, ne font que des films prise de tête qui se regardent aussi bien à la télé qu'au cinéma et ce genre de film ne sortira même plus dans les salles d'ici quelque temps.

Il y a aussi quelques films russes qui sont sympas et qui valent largement les navets français ou U.S.

Un film de Georges Lautner « Mort d’un pourri ».

Peut être le meilleur film avec Alain Delon.
C'est celui là que je préfère par l'impact des dialogues.

Une intrigue tirée d'une histoire vraie (le scandale de Broglie).
Qui renvoie dos à dos politiciens véreux, et homme vertueux dont les vertus
cachent en fait le pire extrémismes.

Une scène finale d'une vérité superbe sur l’ultralibéralisme.
Un film étrangement pessimiste dans son discours final.
Une des plus grinçantes réussites du dialoguiste Michel Audiard.

Voici le texte du dialogue entre Claus Kinski cyniquement hautain et Alain Delon.

CLAUS KINSKI :
« Monsieur Maréchal (Delon) le climat politique n’est pas bon !
En attendant qu’il installe L’INTERNATIONAL DU PROLO…
On a mis en place L’INTERNATIONAL DU POGNON…
C’est quand même un peu plus sérieux… Croyez-moi !
Des mots comme belligérants, alliés n’ont plus de sens.
Nous n’avons plus d’amis, nous avons des partenaires…
Nous n’avons plus d’ennemis, nous avons des clients…
Le capital ne connaît plus de frontière. »

DELON :
« La corruption non plus je suppose ? »

KINSKI :
« La vérité ne changera rien fondamentalement,
Deux TROIS GUIGNOLS POLITIQUES iront en prison.
La morale ne correspond plus en rien.
Votre dernier GRAND CHEF ETAT (De Gaulle) ne vous pas l’envoyer dire
« QUE VOUS ÉTIEZ DES VEAUX ! »
En quoi ça dérange-t-il le veau :
Qu’un secrétaire d’état, où un directeur de cabinet s’enrichisse un
peu trop rapidement !
Croyez-vous que la situation économique en soit affectée ?
Allons donc !
L’essentiel est de construire, de produire et donner aux veaux ce qu’ils désirent :
à bouffer, à boire, à baiser et donner aux veaux à partir le samedi sur l’herbe,
avec quelque transhumance en attitude en hiver. »

La toute dernière réplique du film dans la bouche Delon.
DELON:
« Deux fléaux qui menacent l’humanité : LE DÉSORDRE, ET L’ORDRE !
La corruption me dégoûte, et l‘ordre me donne le frisson…
DORMEZ, BONNES GENS !...DORMEZ BRAVES GENS !
Vos voitures ne brûleront pas cette nuit la police des politiciens pourris veille ! »
Un grand moment de cinéma politique Français.


Dialogue génial fabuleux de lucidité, mieux que 100 discours d'hommes politiques actuel.
L’Europe, la mondialisation était déjà en marche .
Aujourd’hui, le Barnum économique  est bloqué par le coronavirus variant .

Voilà un film pas comme les autres "La Horde sauvage" 1969, de Sam Peckinpah.

Il inaugure un nouveau mode violence au cinéma d'action avec des jets saccadés d'hémoglobine.

Les impacts de balles de très gros calibre font éclater les corps en les projetant d'avant en arrière.

Dans une sorte de ballet hystérique.
Pour donner plus d'ampleur à une scène de tuerie le réalisateur Sam Peckinpah
utilise le ralentit de la caméra.

Est-ce pour montrer le réalisme, une nouvelle forme visuelle d'esthétisme  ?
On est au antipode du classique western pépère "Le train sifflera trois fois!"
Avec un Garry Cooper au regard  triste, mélancolique.
La lenteur du film  pour aboutir à l'ultime scène finale du duel.    
https://youtu.be/6JkQ1UeOKIA

Le cinéma américain a subi plusieurs mutations dans la fabrication de ses films.
Plus adultes ?
Plus rentre dedans sans concession?

Aujourd'hui, le cinéma USA on le prend en pleine face.
Et n'ayons pas peur de l'avouer , nous aimons ça!

Bof comme je l'ai dit, le dernier film que j'ai vu au cinéma c'était le Seigneur des anaux, j'avoue que plus ça va et moins j'adhère au cinéma d'aujourd'hui.

Jean-pierre a écrit:Bof comme je l'ai dit, le dernier film que j'ai vu au cinéma c'était le Seigneur des anaux, j'avoue que plus ça va et moins j'adhère au cinéma d'aujourd'hui.

Ce genre de film ne m’intéresse pas JP

Voila un film étonnant , un groupe d'amis font une orgie alimentaire...
Peut-on se suicider en bouffant ?
Je ne le pense pas ...
L'alcool est plus pratique ..  

J'ai voulu voir le Seigneur des Anaux parce que j'avais lu à plusieurs reprise les livres de Tolkien et que je voulais voir ce que ça donnait au cinéma.

A vrai dire, je n'ai me pas vraiment le cinéma, de nos jours il y a de bons écrans qui permettent de voir des films dans de bonnes conditions chez soi et puis j'avoue que le cinéma moderne ce n'est pas ma tasse de thé.

Je préfère nettement revoir un vieux film comme la Grande Bouffe qu'un de ces trucs modernes avec des cascades improbables.

film culte du réalisateur  Bryan Singer

Sur ce gentil forum, il est souvent question de "complot" de "manipulation" des individus.

Un super film policier évoque de façon, subtile l’engrenage d’une manipulation d’un groupe malfaiteur et des inspecteurs de police.

En jetant  en plein milieu du scénario un leurre au nom  « Keyser Soze »
une sorte de bandit fantôme qui tire les ficelles dans l'ombre.

Tout monde cours après « Keyser Soze » dans le film.
Mais qui est-il ?
Où est-il ?
Quelle est sa motivation de dégommer ses complices.
« Keyser Soze » se cache-t-il  dans la bande  de gangsters  ?

C’est le diable  personnifié « Keyser Soze »

La fin du film machiavélique.
Keyser Söze va nous donner le grand frisson,  va nous mettre la tête
à l’envers dans vos apriorismes du conformismes.

Bon sang que ce film est diaboliquement jubilatoire .
Bonjour chez vous !  

Le cinéma américain surprenante scène jubilatoire dans certains films.
Souvent mes commentaires sont issues d’extraits  des dialogues de films.

Comme part exemple dans le film :
"CHUTE LIBRE " Réalisé par  Joel Schumacher

Une courte séquence montre un type désespéré  avec une pancarte où il était inscrit :
" ÉCONOMIQUEMENT PAS VIABLE " se promenant sur  un trottoir dans les rues de New York.
A beau dire, les américains ne se voilent pas toujours la face sur les nombreux impondérables de leur société.      
Bonjour chez vous !

Salut j'ai vu ce film...Décapant et triste

Les Anglo-saxons sont des pragmatiques, ils ne se cachent pas derrière leur petit doigt et surtout ce ne sont pas des assistés comme le sont les français.

Avec le covid on ne peut pas s'empêcher de penser à certains films de cinéma.

Quatre  films "Le survivant" et "Seul au monde" "The Truman Show "
et pour finir "Zardoz"

L'histoire devient cauchemardesque quand la pandémie « covid varrior »
tue 99% de la population mondiale.

https://youtu.be/sVrzOXwBXsM

Le village Zarroz où tous les riches du monde sont rassemblés.
Ils ont tout le confort de vie possible ...
Ce beau monde évidemment s'ennuie. (référence la série Prisonnier)

https://youtu.be/agprGJXaAzE

Le producteur de spectacle Morand a eu l'idée géniale de déposer sur quatre îles des gens avec des conteneurs de survie

L'île Morlan : Un seul homme (35 ans)
L'île Pomard : un homme et une femme. (19/21 ans)
L'îles Bascus : deux hommes et une femmes (âges 25/32 ans)
L'île Barmity un panel de 51 individus représentatifs d'une micro société.

Toutes les îles sont sous une discrète surveillance vidéo
Le producteur de spectacle Morand fabrique en temps réel, un spectacle de télé-réalité sur quatre canaux des quatre îles pour les spectateurs du beau monde du village Zarroz.
https://youtu.be/198AApQ9Abo

Un monde disloqué par pandémie mortelle, quel sera l'ultime destin des survivants...
Je vous laisse deviner ... quel sera la dernière séance "Zarroz" ou "seul dans le nouveau monde" ? .

Jamais entendu parler de ce truc-là ! C'est nouveau ?

Jean-pierre a écrit:Jamais entendu parler de ce truc-là ! C'est nouveau ?

Bonjour Jean Pierre !
c'est normal, j'ai inventé cette histoire ...
(sur l'inspiration de certain films)

Un résumé d'un de mes scénarios

L'île est le symbole l'Odyssée des récits, l'île apparaît souvent comme
le lieu (l'étape) de l'errance d'un voyage initiatique.

L'île est surtout point d'ancrage imaginaire utopique d'un rêve d'habitation.
Où tout commence, ou recommence une sorte "de bateau mère"
au milieu de nulle part.

Comme la terre dans une autre dimension qui est aussi une île dans les espaces
infinis de l'univers
L'espace d'une nouvelle base d'un cycle d'aventure humaine, espace protégé,
clos sur lui-même.

L'île est le sanctuaire, "un no-mad-land intemporel" d'un segment de la diversité humaine.

Le capitaine "Norbet Nemos" est toujours là, entre deux eaux, en protection rodant autour de ses îles de survivants.

Pourquoi l'île attire-t-elle ?
Elle est l'espace romanesque, une base de départ psychobiologique pour de très longs voyages dans l'avenir.

L'île mythologie d'un nouveau monde, enfin débarrassée du chaos chronique de cette
ancienne "humanité" qui a raté la marche de son évolution.

Cela vous rappelle rien:
"Jupiter, en même temps, je suis le maître des horloges,  il est en cordée"... avec qui ?  

Le capitaine du sous-marin nucléaire "Norbert Nemos" avait raison finalement sur sa vision globale du monde.
"Pour vivre heureux vivons caché !"

Bonjour chez vous !...
"Vous n'avez pas encore fait vos valises , Ha!.. je vois, vous n'êtes pas sélectionné
Ne vous inquiétez pas les vaccins de survies arrivent ."  

J'aime bien une île comme La-Réunion qui est super pour les randonnées, pour la plage et pour la gentillesse des gens, mais je n'y vivrais pas en permanence, j'aurai l'impression de tourner en rond et d'avoir tout vu au bout d'un moment.

Ceci dit, une île où il y a des ouragans et des éruptions volcanique, je dois dire que ça doit mettre du piment dans la vie.

Il avait a plus que d’habitude  au « BUFFET FROID » du « 36 QUAI DES ORFÈVRES ».

Gérard n’allait pas bien dans la « POLICE » ses « COMPÈRES » ne cessaient de lui dire ta « DERNIÈRE FEMME » est « TROP BELLE POUR TOI »...
Curieux « ANGES GARDIENS » ses collègues.

Gérard on l’appelait « L’INSPECTEUR LA BAVURE » « PAS SI MÉCHANT QUE ÇA »
avec « VINCENT, FRANÇOIS PAUL ET LES AUTRES »
Une bande de « GASPARDS » qui recherchaient avec lui « LA DERNIÈRE FEMME ».

Sacré « LOULOU » ce Depardieu, il avait pour « MAÎTRESSE » la femme
de « RENÉE LA CANNE » en  « TENUE DE SOIRÉE » il passait son temps pour la rencontrer entre la « RIVE DROITE ET RIVE GAUCHE ».

Sous « UN PONT ENTRE DEUX RIVES » « DRÔLE ENDROIT POUR UNE RENCONTRE » curieuse relation « SOUS LE SOLEIL DE SATAN » cela serait le « Bouquet » si n’avait plus de répondant dans ses « VALSEUSES »…
:xptdr:

Bonsoir tout monde !

Quand je fais ma marche, je n'écoute plus la radio.
j'écris des minis textes sur les scripts tendances du cinéma de science Fiction.

De nouveaux concepts sont très mode...
"Le Dôme"
"La bulle temporelle"
" le voyage dans l'espace"
" le voyage dans le temps"
" la vie extraterrestre"
" les robots." (cyberespace, modifications génétiques, nanotechnologies).
Il existe de grands thèmes majeurs (la révolte des intelligences artificielles, les univers parallèles)

Dans certains films et séries , je relève tous les éléments symboliques et certains dialogues.
Ensuite , je regarde si il y a un parallèle dans les descriptions avec d'autres réalisations.

Il semblerait que oui , où les scénaristes vont piocher leurs idées.
bonjour chez vous !

J'ai une idée de scénario improbable.

Il était une fois un virus qui se nommait C....

Jean-pierre a écrit:J'ai une idée de scénario improbable.

Il était une fois un virus qui se nommait C....

Jean Pierre !
avec le covid, on n'a l'impression qu'on nous cache l’essentiel.
Ce que je trouve suspect par les médias c'est le forcing dans la dramatisation.
Le gavage de l'information pour foutre la trouille au peuple.

Deux références de films .
Dans "rencontre du troisième type" les autorités pour écarter les curieux d'un site atterrissage de OVNI
Font croire à une épidémie...
Dans "2001 l’odyssée de l'espace" , la station spatiale est contaminée par un virus afin d'écarter les Russes d'une découverte extraordinaire.

Ceci pour dire que l'option pandémie mortelle est un excellent vecteur de diversion au cinéma.

Dans la réalité est-ce plausible ?
Je ne sais pas... mais l'interrogation est posée.

N'empêche qu'un scénariste aurait écrit un pareil scénario, les gens auraient dit que ce n'était pas crédible.

L'information, ce sont les médias et les médias sont aux ordres.

Essaye de compter le nombre de spots T.V. ou radios étant des informations du gouvernement et tu auras une idée du pognon que l'état déverse aux médias.

Comment veux-tu qu'avec cette manne financière, ils se dressent réellement contre le gouvernement ?

Les banques et la mondialisation ont crée une distorsion de l'espace et temps dans la notion du travail et de l’argent.

Le banquier peut spéculer "le produit argent" des autres en une seconde et le déplacer en UN clic.
Les forces vives du travail réel  ne peuvent pas se battre contre le monde de la banque.

Les activistes du travail n’ont aucun contrôle sur un groupe bancaire, c'est lui qui a le contrôle.

Depuis l’aube des temps cette singularité monstrueuse dominante  ne cesse d’exploiter les producteurs du travail.

L’interrogation est la suivante :"Les banques centrales maintiennent-elles artificiellement en vie un système économique qui est déjà mort ?"
Le covid va t-il sauver la mondialisation???

bonjour chez vous !