par Jean-pierre Lun 23 Déc - 23:30Le président Trump a déjà installé 187 juges à la magistrature fédérale. La marque conservatrice de ce record a déjà des effets destructeurs sur les priorités des gauchistes.
Après trois ans au pouvoir, le président Trump a profondément remanié la magistrature fédérale, assurant un virage conservateur pour les décennies à venir, peu importe l’issue de l’élection de novembre 2020.
La nomination de deux juges à la Cour suprême a fait beaucoup de bruits, et retentit jusque dans les médias internationaux. Mais elle cache une autre réalité plus profonde encore : Les juges nommés par le président Trump représentent un juge fédéral sur quatre aux États-Unis.
Et la semaine dernière, pendant que la Chambre des représentants creusait sa tombe en votant la destitution du président, le Sénat a discrètement confirmé la nomination de 13 autres juges choisis par Trump.
Au total, M. Trump a donc pour l’instant installé 187 juges à la Cour fédérale.
La marque de Trump sur l’appareil judiciaire a déjà des effets profonds sur la législation et les priorités de gauche. Pas plus tard que la semaine dernière, le 5e circuit a annulé une disposition liberticide de l’assurance maladie Obamacare. L’un des deux juges d’appel qui ont statué contre cette loi très controversée – et dont les Démocrates eux-mêmes ne veulent plus – a été nommé par Trump.
La Cour suprême – où deux des neuf juges sont des conservateurs choisis par Trump – pourrait éventuellement entendre cette affaire.
Les cours fédérales sont les deuxièmes plus puissantes de la nation, servant de dernier recours pour les appels des décisions des tribunaux inférieurs, à moins que les affaires ne soient prises en charge par la Cour suprême.
En comparaison, à ce stade du premier mandat du président Obama, il en avait confirmé 25. À la fin de ses huit ans, il n’avait nommé que 55 juges.
Les nominations de M. Trump ont fait basculer trois cours vers la majorité Républicaine, y compris une Cour d’appel des États-Unis pour New York. Le président a également choisi des conservateurs plus jeunes pour ces nominations à vie, ce qui garantit que son impact se fera sentir pendant de nombreuses années.
« Ne laissez aucun poste vacant » avait déclaré publiquement Mitch McConnell, le Républicain et chef de la majorité au Sénat, et avec une majorité de 53 contre 47 au Sénat, il a pu pourvoir les postes vacants à une vitesse fulgurante.
« J’ai toujours entendu dire que lorsque l’on devient président, la chose la plus importante que l’on puisse faire est de nommer des juges fédéraux », a déclaré M. Trump lors d’un événement organisé à la Maison-Blanche en novembre dernier.
A cela, Trump a ironisé sur la stupidité d’Obama, qui lui a laissé tant de postes vacants à pourvoir.
Il ne reste qu’un seul poste vacant à pourvoir, mais d’autres pourraient se libérer l’an prochain. Si Trump gagne en novembre, il y aura des postes vacants à pourvoir lors de son deuxième mandat, et il n’en manquera aucun.
Cour suprême : un ou deux juges en vue, cauchemar Démocrate absolu
Il y a aussi la possibilité de postes supplémentaires à la Cour suprême : Ruth Bader Ginsburg, nommée par le président Bill Clinton en 1993, a 86 ans et des problèmes de santé. Le juge Stephen Breyer, un autre nommé par Clinton, a lui aussi plus de 80 ans. Si cela se produit, nous verrons en direct des arrêts cardiaques de journalistes et d’élus Démocrates sur CNN.
Chris Kang, conseiller juridique principal de Demand Justice, un groupuscule gauchiste qui reçoit des financements de l’organisation Soros, a déclaré :
« Ces juges fédéraux siègent à vie ; c’est un point que nous tenons pour acquis, mais que beaucoup d’Américains ne comprennent pas. L’empreinte de Trump sur ce pays se fera sentir pendant des décennies à travers ses tribunaux.
Nous pourrions nous retrouver dans une situation où une majorité conservatrice très forte à la Cour d’appel et à la Cour suprême annulerait un grand nombre de décisions prises par un futur président Démocrate et par le Congrès », a-t-il ajouté.
Que du bon.
dreuz.info
Beaucoup de gens pensent que Trump est un benêt qui est arrivé par hasard à la maison blanche mais c'est faux, c'est un fin stratège, ça lui à permis d'être le 45 ème présidents des USA et de mener la politique qu'il veut mener pour le bien de son pays.
Bien sur ses décisions vont dans le sens de son pays et ça n'arrange pas l'Europe en général et la France en particulier mais force est de reconnaître qu'il a été élu pour un job et qu'il le fait bien.
