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Le Défouloir
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    POUR la liberation des infirmières bulgares

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    Message par clio Ven 22 Déc 2006 - 17:29

    TEXTE



    Prénom, Nom
    Profession
    Adresse
    code postal Ville


    Mr Ammar Altayef Ministre du Tourisme
    Tripoli
    Libye

    Monsieur le Ministre,

    Le 9 février 1999, cinq infirmières bulgares et un médecin palestinien ont
    été arrêtés et accusés d¹avoir inoculé le virus du SIDA à des centaines
    d¹enfants de l¹hôpital pédiatrique de Bengazi en Libye. Au terme d¹un procès
    truqué où les droits de la défense ont été violés, à la suite de tortures
    physiques et psychologiques, et alors que d¹éminents spécialistes libyens et
    internationaux (dont le professeur Luc Montagnier) ont confirmé que ces
    accusations n¹étaient pas fondées, les infirmières et le médecin ont été
    condamnés à mort.

    Nous demandons aux autorités libyennes la libération immédiate de Christiana
    Malinova Valcheva, Valia Georgieva Cherveniashka, Nasia Stoitcheva Nenova,
    Valentina Manolova Siropulo, Snezhana Ivanova Dimitrova et Ashraf Ahmad
    Jum'a et l¹abolition de la peine de mort.

    ============================

    Libérez les infirmières bulgares et le médecin palestinien emprisonnés en
    Libye!
    http://www.abolition.fr/ecpm/french/petitions.php?ref=18
    Appel : Ensemble contre la peine de mort, Avocats sans frontières France et
    l¹Observatoire marocain des prisons lancent un Appel urgent pour la
    libération des infirmières bulgares et du médecin palestinien emprisonnés en
    Libye.

    Christiana, Valia, Valentina, Nazia, Snezhana, infirmières bulgares, et
    Ashraf, médecin palestinien, connaissent l'enfer des geôles Libyennes depuis
    plus de sept ans !

    Mobilisons-nous pour demander leur libération !

    Le 9 février 1999, cinq infirmières bulgares et un médecin palestinien ont
    été arrêtés et accusés d¹avoir inoculé le virus du SIDA à des centaines
    d¹enfants de l¹hôpital pédiatrique de Bengazi en Libye. Au terme d¹un procès
    truqué où les droits de la défense ont été violés, à la suite de tortures
    physiques et psychologiques, et alors que d¹éminents spécialistes libyens et
    internationaux (dont le professeur Luc Montagnier) ont confirmé que ces
    accusations n¹étaient pas fondées, les infirmières et le médecin ont été
    condamnés à mort. Le 25 décembre 2005, jour de Noêl, les condamnations à
    mort ont été cassées mais un nouveau procès a été immédiatement ordonné !

    Dans cette affaire, des innocents sont désignés comme bouc-émissaires par le
    gouvernement libyen et victimes d¹une machination politique dont la peine de
    mort, comme trop souvent, est l¹instrument. En outre, Maîtres Emmanuel
    Altit, Antoine Alexiev, Mariela Petrova, Ivan Paneff, avocats au Barreau de
    Paris et défenseurs des infirmières, ont rencontré les plus grandes
    difficultés à exercer leur mission : refus de visa, empêchement de se rendre
    en Libye, impossibilité d¹accéder à la copie intégrale du dossierS Avocats
    sans frontières parle d¹un véritable assassinat judiciaire.

    L¹opinion publique internationale ne peut rester silencieuse !

    Nous appelons les responsables politiques, personnalités, organisations,
    avocats et citoyens d¹Europe, d¹Afrique et du monde entier à se joindre à
    nous pour demander leur libération.

    Nous demandons aux autorités libyennes la libération immédiate de Christiana
    Malinova Valcheva, Valia Georgieva Cherveniashka, Nasia Stoitcheva Nenova,
    Valentina Manolova Siropulo, Snezhana Ivanova Dimitrova et Ashraf Ahmad
    Jum'a et l¹abolition de la peine de mort.


    Ambassade de Lybie à Paris. 2, rue Charles Lamoureux - 75116 Paris Tel :
    01.47.04.71.60 Fax : 01.47.55.96.25

    ADRESSE D ENVOI

    mailto:bpj.france@gmail.com



    merci
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    Message par crahau Ven 22 Déc 2006 - 17:40

    je vais signer la pétition, mais j'y crois pas trop...
    il y là des enjeux qui nous dépassent :
    l'argent apparemment il y a des tractations les sommes demandées seraient égales à la somme que la lybie doit comme compensation pour un attentat d'avion...
    de plus cette affaire est très médiatisée là bas. si les usa ne s'en mêlent pas je pensent pas qu'elles soient prêtes à rentrer chez elles....
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    Message par clio Ven 22 Déc 2006 - 17:52

    Je suis aasez de ton avis Crahau.....
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    Message par Jean-pierre Ven 22 Déc 2006 - 19:46

    Je vais la signer aussi mais je suis de l'avis de crahau ça ne va pas servir à grand chose, c'est une histoire de gros sous.

    De plus je ne pense pas que Kadafi soit sensible à une pétition quelle qu'elle soit.

    Avec ce genre de personnage c'est la menace ou la force qui prévalent.
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    Message par Moi Sam 23 Déc 2006 - 12:05

    petit écho "avocat du diable" : on est sûr à 100% de leur innocence ?
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    Message par Jean-pierre Sam 23 Déc 2006 - 12:52

    Même si elle ne le sont pas vraiment je ne crois pas qu'elles méritent la peine de mort.

    Je ne les ai pas gardé mais j'ai lu plusieurs articles qui disaient que selon les scientifiques il n'était pas possible que les infirmière soit coupable de ce que le gouvernement Lybien les accusaient.

    Je précise qu'il ne s'agissait pas de scientifique bulgare ou palestinien puisque, et on l'oublie, il y a aussi un médecin palestinien imliqué dans l'affaire.
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    Message par Moi Sam 23 Déc 2006 - 14:43

    de toute façon, c'est sûr que la peine de mort est idiote : imaginons qu'on l'applique et puis qu'on se rende compte que le condamné exécuté était innocent ?...
    On fait comment pour réparer ???
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    Message par crahau Sam 23 Déc 2006 - 18:14

    Moi a écrit:de toute façon, c'est sûr que la peine de mort est idiote : imaginons qu'on l'applique et puis qu'on se rende compte que le condamné exécuté était innocent ?...
    On fait comment pour réparer ???
    c'est une des 3 raisons pour laquelle les exécutions capitales diminuent aux usa! depuis une dizaine d'année grâce aux test ADN.

    apparemment les enfants aurraient contactés le sida de plusieurs souches et avant l'arrivée des infirmières...
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    Message par Jean-pierre Sam 23 Déc 2006 - 18:40

    C'est ce que démontre les rapport des scientifiques.

    Mais je crois que l'on est là dans une affaire politique et non judiciaire.

    Ces infirmières Bulgare et ce médecin Palestinien ne sont accusé que pour donner une leçon aux puissances qui ont condamné la Lybie lors de l'attentat.

    Que c'est personnes restent 7 ans en prison n'est absolument pas le soucis de Kadafi.
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    Message par Sande Ven 11 Mai 2007 - 11:06

    Tripoli, le jeudi 10 mai 2007 – La grande difficulté à laquelle se heurtent les responsables des discussions diplomatiques menées afin d’obtenir la libération des cinq infirmières bulgares et du médecin palestinien, détenus depuis plus de huit ans en Libye, est liée à la défense sans nuance par les dirigeants libyens, mais également par la presse et une grande partie de l’opinion publique de l’indépendance et de la noblesse de leur justice. Aussi, l’argument imparable qui consisterait à rappeler que la libération des soignants s’impose en raison de leur innocence ne peut être entendu par ceux qui considèrent comme une profonde insulte toute discréditation de leur système judiciaire. En outre, pour conserver la possibilité de discuter avec les représentants libyens, toute mention du sort des six professionnels de santé doit immédiatement être accompagnée d’une pensée profonde pour les enfants contaminés par le virus du Sida. Ce pays a en effet toujours considéré que la fatalité et les manquements aux règles d’hygiène qui ont condamné 439 enfants supposent le même traitement émotionnel (et diplomatique) que l’arbitraire qui a frappé l’existence de cinq femmes et d’un homme.

    Nicolas Sarkozy épinglé par les médias libyens
    Ces règles tacites, et qui ne supposent nulle exception, du jeu diplomatique auraient été oubliées par le nouveau président de la République, Nicolas Sarkozy, à l’heure de son élection. Le message adressé dès dimanche par le chef de l’Etat à l’intention des prisonniers aura souvent été remarqué pour souligner l’erreur de Nicolas Sarkozy qui a en effet assuré de son soutien les infirmières « libyennes ». Si la confusion a suscité la déception des Bulgares, particulièrement impressionnés ces dernières semaines par la détermination affichée dans ce dossier par le candidat de l’UMP, la mention par Nicolas Sarkozy du sort des infirmières bulgares comme priorité de son quinquennat dès son élection a également particulièrement courroucé les médias libyens. C’est ainsi que l’on pouvait lire dès le 7 mai dans le journal Al-Shams un éditorial témoignant combien est refusée toute remise en cause de la justice libyenne. Evoquant le nouveau président de la République française, le texte dénonçait ainsi : « S’il est de son droit d’être Européen, il est tout autant notre droit d’être Libyens, fiers de la transparence et de l’équité de la justice libyenne ». L’éditorialiste révélait également une volonté d’établir une certaine « concurrence » entre les jeunes victimes du virus du Sida et les prisonniers des geôles libyennes : « Sarkozy n’a pas le droit de traiter la question des enfants libyens malades du sida comme s’il n’y avait pas plus de 400 victimes », se plaisait-il notamment à rappeler.

    Diffamation
    Ces lignes étaient publiées au lendemain d’une nouvelle séance du tribunal de première instance de Souk Jumaa, devant lequel les infirmières bulgares et le médecin palestinien doivent désormais comparaître pour répondre de l’accusation de « diffamation ». Au cours de leurs procès devant le tribunal pénal de Benghazi en 2004 et en 2006, les professionnels de santé se sont à maintes reprises plaints d’avoir été torturés. Face à ces déclarations, les officiers de police libyenne responsables de la surveillance des prisonniers ont décidé de se retourner contre eux et de porter plainte pour diffamation. Après plusieurs reports, le tribunal de première instance a annoncé ce dimanche que le verdict définitif dans cette nouvelle affaire serait rendu le 27 mai prochain. L’avocat de la défense devra remettre avant le 20 mai ses conclusions. Elles s’appuient notamment sur le fait que le procès ne repose sur aucune base légale : nulle plainte n’ayant été déposée par les infirmières et le médecin contre les agents de police. Les seules déclarations des accusés au cours de leurs procès devraient cependant suffire pour aboutir le 27 mai prochain à un verdict où la justice libyenne devrait avoir à cœur une nouvelle fois de prouver son « indépendance ».



    L.C.
    JIM (journal international medical)
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    Message par Sande Mer 20 Juin 2007 - 22:31

    Libye: peine de mort requise à l'encontre des infirmières bulgares, verdict le 11 juillet
    Les juges de la cour suprême de Libye, le 20 juin 2007 à Tripoli

    Le procureur de la cour suprême de Libye a requis mercredi la confirmation de la peine de mort à l'encontre de cinq infirmières et d'un médecin bulgares condamnés pour contamination d'enfants par le sida, et qui avaient fait appel.

    La cour doit rendre son verdict le 11 juillet.
    "Je demande la confirmation de la peine extrême" à l'encontre des cinq infirmières et du médecin d'origine palestinienne, qui vient d'obtenir la nationalité bulgare, a affirmé le procureur devant la cour, selon des correspondants de l'AFP.

    "Les preuves ont été établies et montrent clairement l'implication des accusés dans l'inoculation délibérée du virus du sida aux enfants", a-t-il lancé, avant que le président Fathi Dahane n'annonce la mise en délibéré du verdict au 11 juillet.

    Mais un responsable de la Fondation Kadhafi, très impliquée dans les négociations entre l'Union européenne et les familles des victimes, a affirmé mercredi à l'AFP qu'un règlement de l'affaire serait annoncé vendredi.

    "Un communiqué sur un compromis entre les familles des enfants victimes du virus du sida et l'Union européenne sera publié vendredi", a affirmé ce responsable qui s'exprimait sous le couvert de l'anonymat.

    Par ailleurs, le porte-parole des familles des enfants, Idriss Lagha, a affirmé à l'AFP qu'un accord avec l'Union européenne interviendra "dans moins d'une semaine sur le montant des compensations qui seront versées aux familles".

    En cas de compromis financier, une confirmation de la condamnation à mort n'aurait aucune valeur, selon Idriss Lagha. Elle serait alors commuée en peine de prison par le conseil supérieur des instances judiciaires, la plus haute instance judiciaire, selon des sources libyennes.

    Les condamnés pourraient alors purger leur peine dans leur pays d'origine, la Libye et la Bulgarie étant liées par un accord d'extradition.
    Emprisonnés depuis huit ans, les infirmières et le médecin n'étaient pas présents à l'audience, ouverte vers 10H00 (08H00 GMT).

    Il s'agissait du dernier recours pour les six Bulgares accusés d'avoir délibérément inoculé le virus du sida à 438 enfants de Benghazi (1.000 km à l'est de Tripoli), dont 56 sont décédés. Ils s'affirment innocents et sont appuyés par les témoignages d'experts internationaux, dont le codécouvreur du virus du sida Luc Montagnier.
    Cependant leur sort est surtout tributaire des tractations euro-libyennes en cours en vue du paiement de compensations financières aux familles des enfants contaminés. Le procès a eu lieu à la veille d'un sommet de l'Union européenne, dont des émissaires sont venus récemment en Libye.
    Cette affaire a suscité une mobilisation internationale, le président américain George W. Bush en personne appelant à la libération des condamnés, et a tendu les relations de Tripoli avec l'UE.
    A l'audience, comme le procureur, les avocats des parties civiles avaient réclamé la confirmation de la peine de mort.
    L'avocat du médecin, Me Touhani Toumi, a demandé l'annulation du verdict et indiqué que les "aveux" de son client avaient été extorqués sous la torture.
    Il a été relayé par l'avocat libyen des infirmières, Me Othman Bizanti, qui a également demandé l'"acquittement". A défaut, il a demandé à la cour "de commuer la peine de mort en peine de prison pour négligence" et "d'examiner la possibilité de verser une +diya+ (prix du sang) aux familles, conformément à la loi libyenne et à la loi islamique".
    La peine capitale avait été prononcée en première instance en 2004, puis confirmée fin 2006.

    Les infirmières Kristiana Valtcheva, Nassia Nenova, Valia Tcherveniachka, Valentina Siropoulo et Snejana Dimitrova étaient arrivées en Libye dans les années 1990, après la fin du communisme, espérant mieux y gagner leur vie qu'en Bulgarie.

    Quant au médecin Achraf Joumaa Hajouj, il effectuait un stage dans un hôpital libyen au moment de son arrestation.

    Devant le tribunal, entouré d'un imposant dispositif de sécurité, une dizaine de membres de familles de victimes ont manifesté, en montrant des photos des enfants contaminés ou morts.

    http://news.fr.msn.com/france/Article.aspx?cp-documentid=5298369


    J'ai signé et fait passer la pétition sur le site d'Amnesty international que faire de plus

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