par Loupolo Ven 29 Déc - 10:24Je poste le reste de l'article car il est capital
Et les victimes chrétiennes dans tout ça ? Rien. Zéro, il n’en est surtout pas question. Si elle se pose vaguement la question de l’identification des auteurs tout en prenant grand soin d’éviter toute référence stigmatisante à Boho Haram, au jihad, à l’islam ou aux musulmans, sur l’identité des victimes en revanche, la dépêche du Midi se vautre dans le sordide absolu, dans le déni des causes réelles du massacre. Il n’en est tout simplement pas fait mention. 200 morts, 500 blessés chrétiens un soir de ”Noël noir”, circulez y’a rien à voir, la Dépêche du Midi ne trouve rien à nous dire des victimes. Il ne faudrait surtout pas que la population française prenne peur, car tout le monde a bien compris que de tels massacres sont sur le point de se produire, chez nous, ici en France. Tout le monde sent confusément qu’on a évité la catastrophe à Noël. Tout le monde sent confusément que si la guerre de religions avance pour le moment à bas bruit en France, on n’est pas loin du moment où elle va basculer dans un affrontement plus direct et massif.
Le pouvoir et ses relais d’influence tétanisés par la menace des massacres de masse en France. Après les émeutes raciales de juin en France, après l’attaque du 7 octobre contre des Juifs en Israël, après le coup de rezzou de Crépol, après l’arrestation d’un groupe terroriste qui préparait l’attaque d’un village et le massacre de sa population, après les arrestations de différents groupes terroristes en France, en Allemagne, en Autriche, en Espagne qui préparaient des attaques de masses contre contre des messes de minuit et contre des marchés de Noël, la menace contre les chrétiens n’a jamais été aussi forte. Dans ce contexte global d’affrontement universel de l’islam contre le reste du monde, il ne faut surtout pas affoler en parlant de massacres de masses, d’attaques contre des villages où que ce soit dans le monde. Surtout ne pas affoler le population française.
Surtout ne pas mettre en perspective les massacres de chrétiens par des musulmans qui se produisent actuellement partout dans le monde. Tout est fait pour qu’on n’ait aucune vision d’ensemble du jihad mondial. Tout est fait pour cacher l’information, pour tenir les populations dans l’ignorance de ce qui les attend.
Le pouvoir et ses relais d’influence sont aux abois. Ils savent que des massacres de masse vont se produire en France. Ils savent qu’ils sont incapables d’y faire face. Ils taisent l’information, ils se terrent en attendant la catastrophe.
Oui, des attaques bien coordonnées vont se produire en France.
Non, l’État en faillite totale ne pourra pas nous protéger.
Oui, la situation est hors de contrôle.
Oui, le peuple de France abandonné par ses élites doit se préparer à faire face comme il le pourra.
Martin Moisan
Et les victimes chrétiennes dans tout ça ? Rien. Zéro, il n’en est surtout pas question. Si elle se pose vaguement la question de l’identification des auteurs tout en prenant grand soin d’éviter toute référence stigmatisante à Boho Haram, au jihad, à l’islam ou aux musulmans, sur l’identité des victimes en revanche, la dépêche du Midi se vautre dans le sordide absolu, dans le déni des causes réelles du massacre. Il n’en est tout simplement pas fait mention. 200 morts, 500 blessés chrétiens un soir de ”Noël noir”, circulez y’a rien à voir, la Dépêche du Midi ne trouve rien à nous dire des victimes. Il ne faudrait surtout pas que la population française prenne peur, car tout le monde a bien compris que de tels massacres sont sur le point de se produire, chez nous, ici en France. Tout le monde sent confusément qu’on a évité la catastrophe à Noël. Tout le monde sent confusément que si la guerre de religions avance pour le moment à bas bruit en France, on n’est pas loin du moment où elle va basculer dans un affrontement plus direct et massif.
Le pouvoir et ses relais d’influence tétanisés par la menace des massacres de masse en France. Après les émeutes raciales de juin en France, après l’attaque du 7 octobre contre des Juifs en Israël, après le coup de rezzou de Crépol, après l’arrestation d’un groupe terroriste qui préparait l’attaque d’un village et le massacre de sa population, après les arrestations de différents groupes terroristes en France, en Allemagne, en Autriche, en Espagne qui préparaient des attaques de masses contre contre des messes de minuit et contre des marchés de Noël, la menace contre les chrétiens n’a jamais été aussi forte. Dans ce contexte global d’affrontement universel de l’islam contre le reste du monde, il ne faut surtout pas affoler en parlant de massacres de masses, d’attaques contre des villages où que ce soit dans le monde. Surtout ne pas affoler le population française.
Surtout ne pas mettre en perspective les massacres de chrétiens par des musulmans qui se produisent actuellement partout dans le monde. Tout est fait pour qu’on n’ait aucune vision d’ensemble du jihad mondial. Tout est fait pour cacher l’information, pour tenir les populations dans l’ignorance de ce qui les attend.
Le pouvoir et ses relais d’influence sont aux abois. Ils savent que des massacres de masse vont se produire en France. Ils savent qu’ils sont incapables d’y faire face. Ils taisent l’information, ils se terrent en attendant la catastrophe.
Oui, des attaques bien coordonnées vont se produire en France.
Non, l’État en faillite totale ne pourra pas nous protéger.
Oui, la situation est hors de contrôle.
Oui, le peuple de France abandonné par ses élites doit se préparer à faire face comme il le pourra.
Martin Moisan
(GTD) est une base de données open source comprenant des informations sur les événements terroristes dans le monde de 1970 à 2020 (avec des mises à jour annuelles supplémentaires prévues pour le futur). Contrairement à de nombreuses autres bases de données d'événements, la GTD comprend des données systématiques sur les incidents terroristes nationaux, transnationaux et internationaux survenus au cours de cette période et inclut désormais plus de 200 000 cas. Pour chaque incident GTD, des informations sont disponibles sur la date et le lieu de l'incident, les armes utilisées et la nature de la cible, le nombre de victimes et, lorsqu'il est identifiable, le groupe ou l'individu responsable.
