Le 1er février, les prix augmentent. Alken-Maes et InBev revoient le prix de leurs bières à la hausse. Les voyageurs de la SNCB, qui n’ont pas leur billet, devront payer un supplément de 7 euros. La Stib augmente le prix de certains billets.
Dès le 1er février, le prix de la bière et certains billets de la Stib augmente alors qu’un supplément de 7 euros sera demandé à tous les voyageurs de la SNCB qui n’ont pas leur titre de transport.
Alken-Maes, deuxième groupe brassicole en Belgique, et le leader InBev revoient dès ce 1er février le prix de leurs bières à la hausse. Le montant de la hausse chez Alken-Maes n’est pas précisé, il variera en fonction du produit et la plupart des bières du groupe vont augmenter. C’est ensuite aux gérants de commerces horeca et de grandes surfaces de décider de répercuter ou non ces hausses de prix aux clients.
Alken-Maes détient notamment les pils Maes et Cristal ainsi que la gamme de bières d’abbaye Grimbergen.
Chez AB inBev, la hausse sera d’1,7 centime d’euro en moyenne par verre. InBev Belgium justifie cette augmentation de prix par la nécessité de financer ses investissements à long terme. L’entreprise entend ainsi continuer à innover pour satisfaire aux demandes changeantes des consommateurs et continuer à investir dans des processus de production renouvelés dans ses brasseries.
La SNCB, elle, introduit son « tarif à bord » qui vaudra pour tout voyageur occasionnel ou abonné lorsque celui-ci achètera son billet dans le train. Ce geste coûtera en effet 7 euros de plus désormais.
Le voyageur ne disposant pas de titre de transport valable devra acheter son ticket à bord, ce qui lui coûtera donc le prix du voyage majoré de 7 euros. Si un navetteur sans billet ou abonnement valable n’achète pas de ticket à bord, l’accompagnateur sera tenu de dresser un constat d’irrégularité dont le coût s’élève à 75 euros.
Dans le cas d’un voyageur disposant d’un abonnement périmé, il faudra également acquérir un ticket au « tarif à bord » (prix du billet + 7 euros).
En cas d’oubli de l’abonnement, il faudra aussi acheter un ticket au « tarif à bord ». L’abonné disposera ensuite de 14 jours pour se présenter à un guichet muni de son abonnement et du ticket acheté le jour de l’oubli, afin de solliciter un remboursement de ce dernier. Si malgré l’oubli de son abonnement, l’usager n’achète pas de ticket à bord, un constat d’irrégularité (75 euros) sera dressé. L’abonné pourra se présenter au guichet dans les 14 jours avec le constat et son abonnement. Le constat d’irrégularité sera clôturé mais il restera à l’abonné à s’acquitter de 8 euros de frais administratifs.
ertains tarifs de produits de la STIB seront également modifiés ce 1er février. On note ainsi des modifications pour l’Airport Line. Un abonnement d’un mois à 60 euros fait son apparition, tandis que les tarifs de certains billets sont modifiés : le billet d’1 voyage vendu hors véhicule passe ainsi de 4 à 4,5 euros, celui de 10 voyages passe de 28 à 32 euros.
Pour les jeunes, l’abonnement « J » Bruxelles ne sera plus valable à partir du 1er février sur le réseau De Lijn. La « Brussels Card » ne sera plus disponible à cette date.
De Lijn, la société régionale flamande de transports en commun, modifie aussi certains tarifs.
sudinfo.be
En gros tout augmente sauf les salaires
En fait bientôt nous aurons de quoi gagner le montant des titres de transports mais plus assez pour prendre une petite bière le soir après le travail ou l'inverse.
Comment veulent-ils que les gens prennent les transports en commun à une époque ou le pétrole baisse et ou les prix des transports en communs augmentent
Parfois je me demande ce qu'il se passe dans la tête des grands bureaucrates qui gouvernent