"Rien ne va plus!"

« LE DERNIER RECOURS LE 17 ! »

OUI FAITES LE 17 !...
La police est à toute les sauces !...
Elle devra être partout, pour
temporiser les problèmes de société !...

Protéger en cas d' agression un médecin
dans un hôpital.

La police est donc une fois de plus,
sollicitée en renfort contre les maux
de notre société vacillante.

Désormais, elle devra être présente
partout et en même temps, à la fois !

Les stades, les écoles, les cités, les hôpitaux,
les gardes statistiques, les différents
familiaux, les accidents de la
routes, accompagné les pompiers
dans leurs missions d’urgences.

Les péages et parkings d’autoroutes
où les routiers se font régulièrement
dévalisés…

Les lieux de cultes, et même les cimetières.
Même une fois mort et enterrer, vous n’êtes
pas l’abri de cinglés !..
.Qui viennent vous troubler dans votre
dernière demeure.

La police doit surveiller le vandalisme des radars automatiques.

Alors devant se déferlement de protection,
je pose une question paradoxale :
« QUI VA PROTEGER LA POLICE ? »

La boucle est bouclée dans la folie collective !

La demande sécuritaire est forte progression.
Il faudrait des nouveaux effectifs pour
les forces de l’ordre.
« Pourquoi pas, un policier, derrière
chaque citoyen?"

Ce qui permettrait de résoudre du même
coup, le chômage !

La société est minée, par un mal indéfinissable.
Les comportements dangereux se multiplient en se banalisant.

Afin, de répondre aux indignations alarmistes des requérants.

La police est priée de passer devant !...
Et en toute circonstance, elle devra
garder son sang froid…

A la première bavure…démocratie oblige…
On lui tira dans le dos !...

A ce train-là, les policiers, qui ne sont pas
des Supermans finiront en hôpital psychiatrique.

Mais aura-t-il encore un service public hospitalier pour les accueillir !

Amicalement à tous Oscar.

Et encore on en est pas à la police de proximité, brillante idée des socialistes, ou les policiers devaient servir de nounou aux délinquants de quartier.

Ceux ci devaient beaucoup rigoler de bavarder avec les gentils policiers le jours et perpétrer leur forfait la nuit pendant que monsieur le policiers prenant ces RTT obligatoires.

Et oui les policiers sont en première ligne de 30 ans d'inconséquence en matière d'émigration et d'intégration.

Les beaux parleurs de la politique sont obligés de cacher leurs cuisants échecs derrière l'uniforme de pauvre gars qu'ils envoient quasi a l'abattoir.

Malheureusement tant que la Kärcher ne sera pas passer pour assainir certain endroit les policiers seront en première ligne risquant leur vie ou leur intégrité physique pour qu'un semblant d'ordre règne.

je crois que les gouvernements successifs sont trop timorés, peur de la réaction des citoyens que nous sommes. En fait, la justice devrait fonctionner sur ses deux jambes : Repression/Prévention....Tous s'accrochent à la prévention, visiblement mal faite...resultat : un jeune a écopé d'une peine de prison pour un vol de pains au chocolat...il faut dire que c'est un récidiviste notoire, fait parti d'une bande bien organisée qui terrorise les habitants du quartier. A tel point que ces habitants ne portent plus plainte!!! CELA NE SE SERAIT JAMAIS PRODUIT SI on l'avait baffé d'entrée!! Mais non....à force de laisser courrir, on sombre.

Les gouvernements successifs n'ont pas fait leur boulot en stockant les émigrés dans des banlieues et en déversant des tonnes de frics pour cacher la misère au lieu de s'en occupé dans une politique d'intégration sur tout le territoire.

Dans la banlieue de saint cucu les oies il n'y a pas de soucis avec les jeunes.

le principe du ghetto est toujours mauvais et finit toujours mal, mais hélas ! l'histoire n'apprend rien et les hommes refont toujours les mêmes erreurs.

Les font surtout l'erreur de croire que quelques subventions suffisent a calmer le jeu.

Le problème c'est que de l'argent il en faut toujours plus et que a un moment ça coince.

ça peut être aussi un problème de magistrats (en partie, car les pauvres ont de nouvelles lois tous les 2 ans ). apparemment ils seraient le même nombre qu'au XVIIIème, alors que la population a énormément augmentée. et je parle pas des prisons surpeuplés, où l'on n'arrive même pas à trouver une place pour un préfet ou un politicien véreu...