C’est un nouveau constat qui est dressé par Europe Truckinfo à la suite d’une histoire qui nous a été rapportée cette nuit du 31 octobre au 1er novembre.
Un chauffeur belge nous a téléphoné en nous expliquant ce qui lui arrivait. Celui-ci était dépassé par les évènements et nous a contacté afin d’obtenir de l’aide.
Après une longue incapacité de travail suite à un accident de travail, ce chauffeur reprend le travail. On lui attribue un camion qui avait été accidenté plusieurs semaines avant cette nuit. Le marche pieds du camion avait été arraché suit à l’accident. Le chauffeur qui avait eu cet accident s’était fait très mal puisqu’en descendant du camion, il n’avait pas vu qu’il n’y avait plus da marche pieds…
Notre chauffeur nous a contactés car le certificat de contrôle technique était périmé depuis plus d’un an. Son employeur peu scrupuleux lui aurait dit de prendre ce camion sous la menace d’être licencié pour refus de travail ce qui correspond à une faute grave et donc, des sans indemnité de rupture de contrat ainsi qu’avec à la clé, une pénalité de l’ONEM plongeant le travailleur dans la précarité financière.
Après avoir pris contact avec nous, le dossier a été confié à Alain Durant du Syndicat des Ouvriers du Transport et de la Logistique (UBOT-FGTB). Celui-ci s’est immédiatement renseigné afin de savoir ce qu’il était possible de faire afin de pénaliser les actes de l’employeur. La réponse est sans aucun appel : Si la Police intervient, le chauffeur sera verbalisé également car il ne devait pas prendre le camion sans un contrôle technique en ordre. Le travailleur devrait porter plainte à l’Auditorat du travail afin qu’il y ait un contrôle des documents des véhicules. Etant donné que le chauffeur a discuté avec son employeur avant de démarrer, le lien entre l’éventuel contrôle et cette discussion serait très vite fait. Le travailleur s’attirerait toutes les foudres de l’employeur sur la tête…
Cette pratique démontre, une fois de plus, que la législation est très mal faite et qu’elle sert les intérêts des employeurs qui ne respectent pas les règles…
Un chauffeur belge nous a téléphoné en nous expliquant ce qui lui arrivait. Celui-ci était dépassé par les évènements et nous a contacté afin d’obtenir de l’aide.
Après une longue incapacité de travail suite à un accident de travail, ce chauffeur reprend le travail. On lui attribue un camion qui avait été accidenté plusieurs semaines avant cette nuit. Le marche pieds du camion avait été arraché suit à l’accident. Le chauffeur qui avait eu cet accident s’était fait très mal puisqu’en descendant du camion, il n’avait pas vu qu’il n’y avait plus da marche pieds…
Notre chauffeur nous a contactés car le certificat de contrôle technique était périmé depuis plus d’un an. Son employeur peu scrupuleux lui aurait dit de prendre ce camion sous la menace d’être licencié pour refus de travail ce qui correspond à une faute grave et donc, des sans indemnité de rupture de contrat ainsi qu’avec à la clé, une pénalité de l’ONEM plongeant le travailleur dans la précarité financière.
Après avoir pris contact avec nous, le dossier a été confié à Alain Durant du Syndicat des Ouvriers du Transport et de la Logistique (UBOT-FGTB). Celui-ci s’est immédiatement renseigné afin de savoir ce qu’il était possible de faire afin de pénaliser les actes de l’employeur. La réponse est sans aucun appel : Si la Police intervient, le chauffeur sera verbalisé également car il ne devait pas prendre le camion sans un contrôle technique en ordre. Le travailleur devrait porter plainte à l’Auditorat du travail afin qu’il y ait un contrôle des documents des véhicules. Etant donné que le chauffeur a discuté avec son employeur avant de démarrer, le lien entre l’éventuel contrôle et cette discussion serait très vite fait. Le travailleur s’attirerait toutes les foudres de l’employeur sur la tête…
Cette pratique démontre, une fois de plus, que la législation est très mal faite et qu’elle sert les intérêts des employeurs qui ne respectent pas les règles…