« LE MORAL DES CADRES ! »
D’après un sondage, le moral des cadres serait
très fluctuant...
Peut-être trop de stress ?...
Trop de responsabilité ?...
Trop de contrainte ?
Comment recadrer les cadres dans leur mission ?....
Le séminaire évidemment !...
Ce n’est pas pour rien, qu’on les envoient
nos cadras tous en cœur.
Réactualiser les chansonnettes sur l’efficacité
et les dernières méthodes pour gérer du personnel difficile.
Dans des stages de travail :
« Aux Antilles, Cuba, ou Saint-Domingue ...
Au choix !...De ces messieurs, mesdames
ne sont-ils pas l’ossature et le nerf de l’entreprise ?... »
Les CADRES reprennent le travail avec un moral d’acier,
«ils ont toucher du bois pendant les vacances ! »
Tout bronzés, dopés par leurs souvenirs de vacances,
c est presque primesautiers, avec une confiance
toute nouvelle.
Ils retrouvent le chemin du bureau : ils croient désormais
en leur bonne étoile.
Si l’on en croit la dernière livraison du sondage,
baromètre Louis Harris.
Avouez, un CADRE QUI VA DE TRAVERS,
dans le DECOR d’une entreprise !
Cela, l’affiche mal!
A ce propos examinons ensemble les différents facettes,
DES CADRES fréquemment rencontrés dans les administrations
et entreprises.
A : Le petit cadre de proximité, il encadre très serré,
deux ou trois employés, qu’il a sous sa responsabilité!
B : Le cadre moyen, il a plus GRANDE SURFACE
A COUVRIR, mais il se fait aider des petits
cadres de proximité !
C : Le grand cadre, on ne le voit jamais dans
l’entreprise, toujours en réunion, ou en séminaire
sur la cote d’azur.
Eventuellement, vous pouvez le rencontrer,
entre deux portes, ou dans le confinement
d’un ascenseur.
Synthétiser en deux mots votre propos, car
il n’a jamais le temps de vous recevoir !
Puis, vous avez le CADRE : « Qui vaut pas un CLOU ! »,
qu’on se donne pas la peine de le SUPPORTER
physiquement, à contacter exclusivement que par email !
Qui fait une FIXATION, et ne PEUT PAS VOIR EN PEINTURE
les représentants syndicaux, avec lesquels, il s’accroche
par principe.
J’ai connu, une certaine époque un DRH heureux :
« Un artiste ».
A ses heures perdues des séminaires en Province,
il peignait des natures mortes !
Et Il les ACCROCHAIT sur les murs de son bureau.
Quand, nous rentions dans son bureau, pour des
négociations professionnelles, nous ne voyons plus
que ses chef-d’œuvres !...
Au point d’en oublier complètement LE CADRE ET
SON CONTEXTE!
Amicalement à tous Oscar.
D’après un sondage, le moral des cadres serait
très fluctuant...
Peut-être trop de stress ?...
Trop de responsabilité ?...
Trop de contrainte ?
Comment recadrer les cadres dans leur mission ?....
Le séminaire évidemment !...
Ce n’est pas pour rien, qu’on les envoient
nos cadras tous en cœur.
Réactualiser les chansonnettes sur l’efficacité
et les dernières méthodes pour gérer du personnel difficile.
Dans des stages de travail :
« Aux Antilles, Cuba, ou Saint-Domingue ...
Au choix !...De ces messieurs, mesdames
ne sont-ils pas l’ossature et le nerf de l’entreprise ?... »
Les CADRES reprennent le travail avec un moral d’acier,
«ils ont toucher du bois pendant les vacances ! »
Tout bronzés, dopés par leurs souvenirs de vacances,
c est presque primesautiers, avec une confiance
toute nouvelle.
Ils retrouvent le chemin du bureau : ils croient désormais
en leur bonne étoile.
Si l’on en croit la dernière livraison du sondage,
baromètre Louis Harris.
Avouez, un CADRE QUI VA DE TRAVERS,
dans le DECOR d’une entreprise !
Cela, l’affiche mal!
A ce propos examinons ensemble les différents facettes,
DES CADRES fréquemment rencontrés dans les administrations
et entreprises.
A : Le petit cadre de proximité, il encadre très serré,
deux ou trois employés, qu’il a sous sa responsabilité!
B : Le cadre moyen, il a plus GRANDE SURFACE
A COUVRIR, mais il se fait aider des petits
cadres de proximité !
C : Le grand cadre, on ne le voit jamais dans
l’entreprise, toujours en réunion, ou en séminaire
sur la cote d’azur.
Eventuellement, vous pouvez le rencontrer,
entre deux portes, ou dans le confinement
d’un ascenseur.
Synthétiser en deux mots votre propos, car
il n’a jamais le temps de vous recevoir !
Puis, vous avez le CADRE : « Qui vaut pas un CLOU ! »,
qu’on se donne pas la peine de le SUPPORTER
physiquement, à contacter exclusivement que par email !
Qui fait une FIXATION, et ne PEUT PAS VOIR EN PEINTURE
les représentants syndicaux, avec lesquels, il s’accroche
par principe.
J’ai connu, une certaine époque un DRH heureux :
« Un artiste ».
A ses heures perdues des séminaires en Province,
il peignait des natures mortes !
Et Il les ACCROCHAIT sur les murs de son bureau.
Quand, nous rentions dans son bureau, pour des
négociations professionnelles, nous ne voyons plus
que ses chef-d’œuvres !...
Au point d’en oublier complètement LE CADRE ET
SON CONTEXTE!
Amicalement à tous Oscar.