Décidement !

07.05.05 | 17h51





a moitié des Autrichiens considèrent que la Seconde Guerre mondiale est un chapitre clos, et près d'un quart d'entre eux estiment que la souffrance des Juifs dans les camps nazis a été "exagérée", selon un sondage publié samedi.Un Autrichien sur deux "veut clore ce chapitre (de la guerre) et ne plus en parler", selon le sondage de l'institut IMAS publié dans le quotidien Die Presse.L'enquête d'opinion, qui a également été menée dans huit pays d'Europe centrale et orientale, montre que, pour 23% des Autrichiens, "la souffrance des Juifs dans les camps de concentration a été exagérée".Au total 41% d'entre eux - contre seulement 19% des Allemands - ne sont "pas sûrs" que la fin de la guerre doive être considérée comme une "libération" ou, au contraire, "une défaite militaire".En Allemagne, 52% des personnes interrogées estiment que l'arrivée des Alliés a été une libération pour leur pays.L'Autriche est devenue en 1938 le premier pays annexé par Adolf Hitler et s'est longtemps considérée comme "la première victime de l'agresssion hitlérienne", une expression empruntée à la déclaration faite par les Alliées en 1943 à Moscou dans laquelle ils s'engageaient à libérer ce pays.Cependant, un rapport commandé par les autorités autrichiennes et publié en 2003 révèle que les Autrichiens ordinaires ont collaboré avec enthousiasme avec le régime nazi pour opprimer les Juifs.L'ancien chancelier socialiste autrichien, Franz Vranitzky, a été le premier dirigeant politique à admettre, en 1991, que ses concitoyens avaient leur part de responsabilité dans les crimes commis par le IIIème Reich au cours de la Seconde Guerre mondiale.Le quotidien Die Presse, qui publie le sondage, cite aussi un historien de Vienne, Gerhard Botz, pour qui "le développement politique fondamentalement différent de l'Autriche et de l'Allemagne après 1945" signifie qu'en Autriche, la nostalgie pour le national-socialisme a été perçue comme un problème bien plus tard qu'en Allemagne.

Désolé de remettre ça mais je ne comprends pas comment on peut parler d'exageration

Tiens moi aussi j'ai envie d'exagerer. Les autrichiens sont des GROS CONS

Désolé de remettre ça

Je sois pas désolé c´est exactement le but de ce forum .

Si quelque chose t´enerve tu le mets ici .

Si des sont intérésser il reagissent .

Sinon au moins ça t´auras défouller .

Et pour réagir ton message je dirai que tout ça me gonfle .

Attention je ne remets pas en cause l´histoire les evenemnt de la dérniere guerre le comportement des nasi le génocide et toute les horreurs qui ont été comise .

Comme toi je m´insurge contre c´est sondage contre les propos et le comportement des autrichiens et des allemands enfin de certain et c´est vrais que les sondage que tu as mis ont de quoi révolter .

Ce qui me gonfle c´est un peu toute c´est commémoration ou on vois des hommes politiques se montrer avec une gueule de quize pied alors qu´il n´ont pratiquement rien connu de cette époque .

On a droit a la commémoration de chaque quand a grand renfort de pub et de déclaration .

Que l´on oublie pas oui .

Que l´on nous le sorte a toute les sauces non .

Exact que les autrichiens se sont bien accomodés du nazisme et que leur accueil vis-à-vis des étranger reste encore à parfaire. Mais, sans vouloir refaire l'histoire, il ne faut pas oublier que d'autres pays ont nagé en eau trouble avec les idéologies nazies. Je ne citerai que certains pays nordiques (Suède e.a) et la si jolie suisse qui après avoir entassé le pognon des juifs dans leur coffre se sont empressé de renvoyer ceux-ci aux frontières allemandes dans des buts pas très avouables et dont l'histoire ne se fait pas trop l'écho. Tout ca pour se protéger de leur sacro-sainte neutralité. Et les juifs qui ont survécu peuvent toujours courir pour essayer de retrouver un franc dans les coffres helvètes.
Et puis ceux que je déteste le plus dans cette bien pénible guerre, ce sont les collabo; des français qui n'ont pas hésités à dénoncer leur compratriotes à l'autorité allemande; ca, c'est impardonnable et 10 x pire que les autrichiens.

Une bonne partie de ces enfoirés a été exécuté sans jugement à la fin de la guerre.

Malheureusement, certains sont encore vivants aujourd'hui alors qu'il devraient être six pieds sous terre.

Ca, c'est définitivement un des moments les plus douloureux de l'histoire du pays

ce sont les collabo; des français

Et les autre de la collaboration il y en a eu dans tout les pays .

Et si il y a quelque chose qui me fous en ROGNE

c´est bien la délation sous quelque forme que se soit

Malheureusement, certains sont encore vivants aujourd'hui alors qu'il devraient être six pieds sous terre.

Ils courent encore mais on ne les oublie pas .

Crée le 20/04/2004 à 0 h 00

Le tribunal militaire de La Spezia, en Ligurie, juge dés aujourd’hui, par contumace, trois anciens soldats de la Waffen S.S pour le massacre de 560 civils italiens, froidement exécutés le 12 août 1944.



Fallait il libérer Papon ? Le débat fut houleux et la décision sage. La démocratie a libéré l’ordure cacochyme, dardant ainsi les rayons de l’humanisme jadis tant bafoué. Qu’importe le sort physique des fossiles nazis mais justice doit être faite. Le tribunal militaire de La Spezia ne s’y est pas trompé. C’est donc par contumace que s’ouvre le procès du sous-lieutenant Gerhard Sommer, 83 ans ; du sergent Alfred Schnonenberg, 83 ans et du sergent Ludwig Sonntag, 80 ans. Tous trois sont suspectés (oserions nous dire indéniablement suspectés) d’avoir organisé la fusillade de 560 habitants du village de Sant’Anna di Stazzema, en Toscane, le 12 août 1944. Anciens soldats et survivants vont témoigner à charge contre les trois assassins qui avaient rassemblé la population de la bourgade contre le mur de l’église, avant de faire ouvrir le feu. Pour le procureur Marco de Paolis, « il s’agit d’un acte planifié et non d’une opération de représailles ». Pour l’opinion publique, il s’agit vraisemblablement de l’un des derniers procès de criminels de la seconde guerre mondiale. Soyons clairs : il ne sortira probablement rien de ce procès. Qu’importe. La justice rassemble ici ses deux notions, la vertu et l’institution. Là réside le devoir de mémoire.




Auteur : Simon Marty