Chasseneuil, dans la Vienne.
.Le 2 décembre, les routes du département sont très glissantes... Ce matin là, Nicolas part travailler sur une route transformée en patinoire. Lorsqu'il arrive à Grand-Pont, cela circule beaucoup mais lentement, il se prépare à aborder un feu rouge, où il sait qu'un radar est installé. Lorsque le feu passe à l'orange, il essaie de freiner mais il glisse et le feu devient rouge... Dans son dos, un flash, celui du radar, raconte La Nouvelle République.
Comme lui, nombreux sont les automobilistes qui se sont fait surprendre ce jour là ! Mais Nicolas est en colère et se rend à la gendarmerie. Il plaide la bonne foi et demande si dans ce cas on va lui envoyer quand même un PV ? La réponse est oui, parce que « le radar est automatique » et il n'y a aucun recours selon ce journal.
Le 29 décembre, le PV arrive effectivement à son domicile et il a 4 points en moins sur son permis... Alors, Nicolas n'a qu'une solution pour essayer de faire supprimer ce PV, qu'il trouve un peu stupide, s'adresser au centre automatisé de constatation des infractions routières (CACIR) à Rennes.
La Nouvelle République a appelé cet organisme pour savoir ce qu'il est possible de faire dans son cas. Il peut contester ce PV dans un délai de 45 jours en envoyant un courrier recommandé où il expliquera la situation, mais il doit payer une consignation de 135 € pour éviter le retrait de points. Ensuite des Officiers du centre étudieront son cas
Zigonet
.Le 2 décembre, les routes du département sont très glissantes... Ce matin là, Nicolas part travailler sur une route transformée en patinoire. Lorsqu'il arrive à Grand-Pont, cela circule beaucoup mais lentement, il se prépare à aborder un feu rouge, où il sait qu'un radar est installé. Lorsque le feu passe à l'orange, il essaie de freiner mais il glisse et le feu devient rouge... Dans son dos, un flash, celui du radar, raconte La Nouvelle République.
Comme lui, nombreux sont les automobilistes qui se sont fait surprendre ce jour là ! Mais Nicolas est en colère et se rend à la gendarmerie. Il plaide la bonne foi et demande si dans ce cas on va lui envoyer quand même un PV ? La réponse est oui, parce que « le radar est automatique » et il n'y a aucun recours selon ce journal.
Le 29 décembre, le PV arrive effectivement à son domicile et il a 4 points en moins sur son permis... Alors, Nicolas n'a qu'une solution pour essayer de faire supprimer ce PV, qu'il trouve un peu stupide, s'adresser au centre automatisé de constatation des infractions routières (CACIR) à Rennes.
La Nouvelle République a appelé cet organisme pour savoir ce qu'il est possible de faire dans son cas. Il peut contester ce PV dans un délai de 45 jours en envoyant un courrier recommandé où il expliquera la situation, mais il doit payer une consignation de 135 € pour éviter le retrait de points. Ensuite des Officiers du centre étudieront son cas
Zigonet
Pauvre France !!! C'est ca le ...progrés ...bête et discipliné ...YAPUKA , YFOKON !!!