Belgique : Ils font l'amour dans le train et ...bloquent la ligne !!!

Décidément, il se passe toujours quelque chose sur la ligne 96 entre Bruxelles et Mons. Mercredi dernier, le motif du retard ne manquait pas de piquant. Un couple impatient s'est retrouvé dans les toilettes... Une autre passagère a fait scandale.

Publié le 03/01 à 12h02

Ce mercredi 29 décembre, le train Bruxelles-Mons n'a pas échappé à la règle des retards à répétition. C'est Luc Leens, Montois et fidèle utilisateur de la ligne, qui nous raconte ces dernières péripéties, liées aux ébats d'un couple impatient... Tout semblait pourtant se dérouler normalement pour l'IC 1742 au moment de quitter la gare centrale à 21 h 26. Toutefois, quelques instants après l'arrêt à Bruxelles-Midi, un couple s'éclipse discrètement vers les toilettes. Cet événement n'aurait sans doute pas eu de conséquence si une autre voyageuse n'avait souhaité utiliser à son tour les commodités.

Elle se présente devant la porte translucide à l'instant précis où, dans le feu de l'action, le monsieur plaque son postérieur dévêtu contre la vitre de la porte. Bien que le verre soit dépoli et ne laisse généralement rien deviner de ce qui se passe à l'intérieur, la dame voit se profiler les fesses de l'amant en pleine besogne.

La voyageuse se met à hurler qu'elle veut séance tenante utiliser les toilettes et que c'est un scandale que deux dégoûtants personnages la monopolisent de cette manière.

La contrôleuse arrive et ouvre d'autorité les toilettes avec sa clé de service, mettant brutalement un terme aux ébats des amoureux. Ceux-ci ne semblent guère contrits et affichent une ironie narquoise qui semble ulcérer de plus en plus la contrôleuse, à tel point qu'elle décide que les deux indécents doivent quitter son train à la prochaine gare.

Malheureusement, en gare de Braine-le-Comte, les deux impatients refusent obstinément de quitter le train, estimant que l'on fait une montagne avec un incident somme toute bénin. La contrôleuse, le sous-chef de gare, Sécurail, tout le monde s'y met pour les convaincre de descendre sans devoir recourir à la force. Finalement, la décision est prise de faire appel à la police. Au bout d'une vingtaine de minutes, les deux finissent par céder et par quitter le train, qui peut alors poursuivre sa route.

Sud Presse

C'est faire scandale de peu de chose en effet mais là ou je ne suis plus d'accord c'est sur leur altitude après, ils auraient du quitter le train sans plus de scandale et en prendre un autre ensuite et rien que pour ça si la SNCB les poursuivait ça ne me choquerait pas.

Entirement d'accord avec toi !! Dans ce cas on obtempére sans faire d'esclandre en effet !!!!!!!!!!!!!