Cet ouvrier de 59 ans va déposer son chèque sur
son compte bancaire.
Et on peut imaginer que
cette fois-ci, le directeur de l’agence va se déplacer en personne pour
l’accueillir et lui déplier le « tapis rouge ».
Ce
n’est pas tous les jours qu’un « petit » client dépose un chèque de 42
218 533 euros...
Cette somme faramineuse est le montant du
gain remporté par ce quinquagénaire au tirage de
l’Euro Millions, il y a deux semaines.
Une somme qui désormais peut
lui rapporter en intérêts, 2.000 euros par jour, précise Le
Parisien.
Soit l’équivalent de son salaire actuel…
mensuel !
Cet homme est venu retirer son chèque dans les
locaux de la Française des jeux à
Boulogne-Billancourt, dans les Hauts-de-Seine.
Pour
l’occasion il était accompagné de sa fille, âgée de 28 ans.
Depuis
deux ans, cet heureux gagnant joue les mêmes numéros.
Et
le soir du tirage, il a découvert les numéros gagnants sur l’écran de
son ordinateur :
« Je n’arrivais pas à le croire ».
Un
père de famille qui ne veut pas que cet argent lui monte à la tête,
précise Le Parisien.
Il se veut prudent :
« Pas
question de changer de vie. On n’est pas habitués au luxe ».
Et
surtout hors de question que tout le monde soit au courant de cette
nouvelle fortune.
« On vit dans un petit bled. Les cancans
peuvent faire beaucoup de mal » explique l’heureux gagnant.
Sa
fille ajoutant :
« Je pense qu’il est plus sage d’être
méfiant et discret ».
Et le père de
surenchérir :
« On va continuer à faire nos courses à
l’Intermarché et à négocier s’il le faut ».
Un
homme qui a quand même un souhait :
« J’aimerais que ma
femme arrête de travailler ».
Son premier achat, il va
aussi le consacrer à sa femme.
Il souhaite lui acheter
une nouvelle alliance, car comme les doigts de son épouse ont gonflé,
ils ont été obligés de couper la bague.
La famille souhaite
s’acheter une maison avec une piscine « couverte et chauffée » et aussi
une voiture :
« J’achetais d’occasion, mais là, on
prendra un modèle neuf ».
Sa fille, de son côté
aimerait bien également remplacer sa vieille voiture qui affiche 100.000
km au compteur contre une neuve.
Elle va aussi abandonner
son appartement HLM, à 300€ de loyer mensuel, pour que quelqu’un d’autre
en profite, une personne qui en aura « vraiment besoin ».
Elle
envisage d’acheter un appartement avec « au moins deux chambres ».
Et
cette secrétaire en CDD rêve surtout de décrocher un CDI…
Une
famille qui décidément semble avoir les pieds sur terre.
C’est
en tout cas l’avis de Thierry Gallois, un psychologue, spécialiste des
addictions :
« A première vue, ils ont l’air de bien
percevoir les menaces liées à cette somme vertigineuse ».
Qui
ajoute :
« Leur comportement, presque paranoïaque, traduit
leur frayeur de changer de repères. Ces gens ont sans doute très peur
d’un monde où l’argent n’est pas leur quotidien ».
Un
psychologue qui met toutefois en garde cette famille :
« Il
va falloir que cette famille fasse aussi attention. On ne peut pas
vivre en se cachant. L’argent est aussi un objet de partage ».
Et
Thierry Gallois d’imaginer que « petit à petit il serait préférable
qu’ils en fassent profiter les gens qu’ils aiment ».
(Source:
Le Parisien)
MIA.Item.genererHtmlContact(1);
son compte bancaire.
Et on peut imaginer que
cette fois-ci, le directeur de l’agence va se déplacer en personne pour
l’accueillir et lui déplier le « tapis rouge ».
Ce
n’est pas tous les jours qu’un « petit » client dépose un chèque de 42
218 533 euros...
Cette somme faramineuse est le montant du
gain remporté par ce quinquagénaire au tirage de
l’Euro Millions, il y a deux semaines.
Une somme qui désormais peut
lui rapporter en intérêts, 2.000 euros par jour, précise Le
Parisien.
Soit l’équivalent de son salaire actuel…
mensuel !
Cet homme est venu retirer son chèque dans les
locaux de la Française des jeux à
Boulogne-Billancourt, dans les Hauts-de-Seine.
Pour
l’occasion il était accompagné de sa fille, âgée de 28 ans.
Depuis
deux ans, cet heureux gagnant joue les mêmes numéros.
Et
le soir du tirage, il a découvert les numéros gagnants sur l’écran de
son ordinateur :
« Je n’arrivais pas à le croire ».
Un
père de famille qui ne veut pas que cet argent lui monte à la tête,
précise Le Parisien.
Il se veut prudent :
« Pas
question de changer de vie. On n’est pas habitués au luxe ».
Et
surtout hors de question que tout le monde soit au courant de cette
nouvelle fortune.
« On vit dans un petit bled. Les cancans
peuvent faire beaucoup de mal » explique l’heureux gagnant.
Sa
fille ajoutant :
« Je pense qu’il est plus sage d’être
méfiant et discret ».
Et le père de
surenchérir :
« On va continuer à faire nos courses à
l’Intermarché et à négocier s’il le faut ».
Un
homme qui a quand même un souhait :
« J’aimerais que ma
femme arrête de travailler ».
Son premier achat, il va
aussi le consacrer à sa femme.
Il souhaite lui acheter
une nouvelle alliance, car comme les doigts de son épouse ont gonflé,
ils ont été obligés de couper la bague.
La famille souhaite
s’acheter une maison avec une piscine « couverte et chauffée » et aussi
une voiture :
« J’achetais d’occasion, mais là, on
prendra un modèle neuf ».
Sa fille, de son côté
aimerait bien également remplacer sa vieille voiture qui affiche 100.000
km au compteur contre une neuve.
Elle va aussi abandonner
son appartement HLM, à 300€ de loyer mensuel, pour que quelqu’un d’autre
en profite, une personne qui en aura « vraiment besoin ».
Elle
envisage d’acheter un appartement avec « au moins deux chambres ».
Et
cette secrétaire en CDD rêve surtout de décrocher un CDI…
Une
famille qui décidément semble avoir les pieds sur terre.
C’est
en tout cas l’avis de Thierry Gallois, un psychologue, spécialiste des
addictions :
« A première vue, ils ont l’air de bien
percevoir les menaces liées à cette somme vertigineuse ».
Qui
ajoute :
« Leur comportement, presque paranoïaque, traduit
leur frayeur de changer de repères. Ces gens ont sans doute très peur
d’un monde où l’argent n’est pas leur quotidien ».
Un
psychologue qui met toutefois en garde cette famille :
« Il
va falloir que cette famille fasse aussi attention. On ne peut pas
vivre en se cachant. L’argent est aussi un objet de partage ».
Et
Thierry Gallois d’imaginer que « petit à petit il serait préférable
qu’ils en fassent profiter les gens qu’ils aiment ».
(Source:
Le Parisien)
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