par NIKOL Ven 4 Juin - 9:41Hier matin vers 10 h 30, un drame a failli se jouer à l’école maternelle les Glycines de Mormant. Armée d’un couteau, une mère de famille, dont le petit garçon de 4 ans venait d’être retiré sur la décision d’un juge des enfants de Melun, a escaladé le mur d’enceinte de l’école et pénétré dans l’établissement.
Quelques instants auparavant, deux personnes de l’aide sociale à l’enfance avaient pris en charge son petit garçon dans le cadre de mesures familiales. Il n’était donc plus à l’école au moment où elle a fait irruption.
Tenant son couteau en main, elle a attrapé un petit garçon de moyenne section au hasard et l’a menacé avec l’arme. Elle lui aurait mis le couteau sous la gorge, demandant à ce qu’on lui rende son enfant. L’institutrice qui se trouvait là est parvenue à la raisonner. Profitant de la courte accalmie, l’enseignante a pris soin de mettre la petite victime à l’écart. C’est à ce moment-là que la directrice de l’école est intervenue.
En la voyant, la mère de famille est une nouvelle fois sortie de ses gonds et l’a menacée directement avec son couteau, puisqu’elle n’avait toujours pas lâché son arme. Heureusement, dans l’intervalle, le personnel de l’établissement avait alerté les gendarmes de Mormant. Sur place, les militaires ont eu beaucoup de mal à maîtriser la maman. Ils ont d’ailleurs dû utiliser la force physique pour y arriver avant de lui passer les menottes et de la conduire à la brigade où elle a été placée en garde à vue.
« C’est une situation difficile pour cette maman. Elle était désespérée. Heureusement, il n’y a eu aucune victime, note Jacques Marchal, l’inspecteur d’académie. Chacun a joué son rôle. » Effectivement, une cellule psychologique a été aussitôt mise en place. Une réunion d’information s’est également tenue en fin de journée en présence des parents. L’un d’entre eux se dit scandalisé par ce qui s’est passé : « Que l’on puisse entrer de cette façon dans une école maternelle, c’est un comble. Et la sécurité dans tout ça! Il faudrait davantage surveiller les entrées. On est passé à deux doigts d’un drame. L’enfant pris en otage aurait pu être le mien. J’en tremble rétrospectivement. »
Les cours devraient reprendre normalement aujourd’hui
Le Parisien
Quelques instants auparavant, deux personnes de l’aide sociale à l’enfance avaient pris en charge son petit garçon dans le cadre de mesures familiales. Il n’était donc plus à l’école au moment où elle a fait irruption.
Tenant son couteau en main, elle a attrapé un petit garçon de moyenne section au hasard et l’a menacé avec l’arme. Elle lui aurait mis le couteau sous la gorge, demandant à ce qu’on lui rende son enfant. L’institutrice qui se trouvait là est parvenue à la raisonner. Profitant de la courte accalmie, l’enseignante a pris soin de mettre la petite victime à l’écart. C’est à ce moment-là que la directrice de l’école est intervenue.
En la voyant, la mère de famille est une nouvelle fois sortie de ses gonds et l’a menacée directement avec son couteau, puisqu’elle n’avait toujours pas lâché son arme. Heureusement, dans l’intervalle, le personnel de l’établissement avait alerté les gendarmes de Mormant. Sur place, les militaires ont eu beaucoup de mal à maîtriser la maman. Ils ont d’ailleurs dû utiliser la force physique pour y arriver avant de lui passer les menottes et de la conduire à la brigade où elle a été placée en garde à vue.
« C’est une situation difficile pour cette maman. Elle était désespérée. Heureusement, il n’y a eu aucune victime, note Jacques Marchal, l’inspecteur d’académie. Chacun a joué son rôle. » Effectivement, une cellule psychologique a été aussitôt mise en place. Une réunion d’information s’est également tenue en fin de journée en présence des parents. L’un d’entre eux se dit scandalisé par ce qui s’est passé : « Que l’on puisse entrer de cette façon dans une école maternelle, c’est un comble. Et la sécurité dans tout ça! Il faudrait davantage surveiller les entrées. On est passé à deux doigts d’un drame. L’enfant pris en otage aurait pu être le mien. J’en tremble rétrospectivement. »
Les cours devraient reprendre normalement aujourd’hui
Le Parisien
Elle doit être bien malheureuse cette pauvre femme néanmoins il était temps de lui retirer son enfant !!
