La patronne, maîtresse et dominatrice, sa femme de ménage, amante, complice puis prostituée, et des clients semble-t-il dominés... C'est à une histoire de moeurs bien particulière que le tribunal correctionnel d'Evry (Essonne) a dû se frotter pour juger d'une histoire de proxénétisme.
La femme de 60 ans était accusée d'avoir gagné de l'argent en prostituant sa femme de ménage lors de «séances de domination» de clients pendant près de quatre ans.
Le tribunal l'a condamné à un an de prison avec sursis et 6 000 euros d'amende pour «proxénétisme», a-t-on appris de source judiciaire.
Des séances facturées entre 100 et 120 euros
La sexagénaire dominatrice recevait à son domicile de Viry-Châtillon (Essonne) des clients pour ces «séances de domination» qu'elle facturait entre 100 et 120 euros. La maîtresse serait parvenue à convaincre sa femme de ménage de se prostituer et de participer à ces «séances» particulières. Cette dernière, qui n'a fait l'objet d'aucune poursuites et a qui refusé de se constituer partie civile, aurait touché environ la moitié de l'argent issu de ses prestations.
Selon l'avocat de sa patronne, Me Arnaud Simonar, les deux femmes étaient tout d'abord amies, avant de devenir amantes puis complices de ces «séances de domination». Sa cliente a reconnu sa responsabilité à l'audience, tout en expliquant qu'il n'y a pas eu d'accord tacite avec sa femme de ménage, que si leur relation aurait glissé, c'était «sous l'effet de l'improvisation». Elle a par ailleurs affirmé que leurs actes n'étaient pas tarifés, toujours selon cette même source judiciaire.
Le pot aux roses a été découvert après qu'un homme eut alerté les gendarmes. Revenant d'une «séance» à Viry-Châtillon, il leur avait exprimé ses craintes d'avoir été empoisonné chez cette femme, dont il avait trouvé le numéro de téléphone sur un blog. Il s'est avéré qu'il avait été victime d'un malaise vagal après s'être injecté du Viagra ou un produit similaire.
Le Parisien
La femme de 60 ans était accusée d'avoir gagné de l'argent en prostituant sa femme de ménage lors de «séances de domination» de clients pendant près de quatre ans.
Le tribunal l'a condamné à un an de prison avec sursis et 6 000 euros d'amende pour «proxénétisme», a-t-on appris de source judiciaire.
Des séances facturées entre 100 et 120 euros
La sexagénaire dominatrice recevait à son domicile de Viry-Châtillon (Essonne) des clients pour ces «séances de domination» qu'elle facturait entre 100 et 120 euros. La maîtresse serait parvenue à convaincre sa femme de ménage de se prostituer et de participer à ces «séances» particulières. Cette dernière, qui n'a fait l'objet d'aucune poursuites et a qui refusé de se constituer partie civile, aurait touché environ la moitié de l'argent issu de ses prestations.
Selon l'avocat de sa patronne, Me Arnaud Simonar, les deux femmes étaient tout d'abord amies, avant de devenir amantes puis complices de ces «séances de domination». Sa cliente a reconnu sa responsabilité à l'audience, tout en expliquant qu'il n'y a pas eu d'accord tacite avec sa femme de ménage, que si leur relation aurait glissé, c'était «sous l'effet de l'improvisation». Elle a par ailleurs affirmé que leurs actes n'étaient pas tarifés, toujours selon cette même source judiciaire.
Le pot aux roses a été découvert après qu'un homme eut alerté les gendarmes. Revenant d'une «séance» à Viry-Châtillon, il leur avait exprimé ses craintes d'avoir été empoisonné chez cette femme, dont il avait trouvé le numéro de téléphone sur un blog. Il s'est avéré qu'il avait été victime d'un malaise vagal après s'être injecté du Viagra ou un produit similaire.
Le Parisien
Pauvre monde decidemment !!! Je te les dominerais moi ces mabouls je vous jure ! Et l'autre qui s'injecte du Viagra !