Après les séquestrations de dirigeants de Sony, 3M, Caterpillar et plus récemment Scapa, trois organisations patronales se déclarent mercredi "préoccupées". Lire la suite l'article
"Quelle que soit la gravité des situations rencontrées, il ne peut pas être accepté que l'on déroge à la loi", écrivent dans un communiqué commun la CGPME (Confédération générale des petites et moyennes entreprises), le MEDEF (Mouvement des entreprises de France) et l'UPA (Union professionnelle artisanale).
"Cela vaut pour toutes les infractions à la loi, qu'il s'agisse de menaces physiques, de séquestrations ou d'atteintes à la sécurité des personnes et des biens", poursuivent les trois organisations patronales.
Selon elles, "les réponses à apporter à des conflits sociaux doivent se trouver par la négociation libre et consentie entre les parties, par l'intervention des pouvoirs publics dans le cadre de leurs prérogatives, le cas échéant par recours à la justice". AP
C'est le sport national en ce moment et après tout pourquoi pas puisqu'il y a des entreprises qui ont négocier après la séquestration d'un de leur dirigeant.
Malheureusement tans qu'il n'y aura pas d'accident grave et de plainte sérieuse de déposer se sport continuera.
Que les gens qui sont licenciés revendiquent et tentent de négocier je suis tout à fait d'accord c'est on ne peut plus normal mais retenir par la force et contre sa volontée un dirigeant d'entreprise c'est une aliénation du droit à la liberté et ça c'est inacceptable.
D'autre part, pour l'image de marque ça ne va pas aidé à ce que les entreprises investissent dans le pays, ils auront trop peur de se retrouver pris en otage en cas de crise financière et c'est assez compréhensible si ils investissent dans des pays plus calmes.
Je suis a peu près sur qu'ils y a des multinationale comme Acélor-Mital qui profitent de la crise pour se désengager de la France et de sa dictatures sociale.