Tirs en direct sur un plateau de télévision, gardiens de prison ou policiers pris en otages, écoles et magasins fermés: l'Equateur est plongé, selon son président, dans un "conflit armé interne" avec les gangs de narcotrafiquants qui a déjà fait au moins 10 morts.
Dans un décret mardi, au troisième jour de la crise sécuritaire, le président Daniel Noboa a ordonné "la mobilisation et l'intervention des forces armées et de la police nationale" pour "garantir la souveraineté et l'intégrité nationale contre le crime organisé, les organisations terroristes et les belligérants non-étatiques".
M. Noboa, 36 ans, plus jeune président de l'histoire du pays et élu en novembre sur la promesse de rétablir la sécurité, avait décrété lundi l'état d'urgence pour 60 jours dans tout le pays, au lendemain de l'évasion d'un chef de gang redouté. Il a fourni mardi une liste exhaustive des bandes criminelles dont il veut la "neutralisation", soulignant la nécessité pour les forces armées d'agir "dans le respect des droits de l'homme".
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Voilà, c'est comme ça qu'il faut faire avec la racaille des narcotrafiquants, on tire dans le tas et on arrange le truc pour les droits de l'homme par la suite.
Ce gouvernement ferait bien de s'en inspirer pour éradiquer la racaille des banlieues avant qu'il ne soit vraiment nécessaire de faire intervenir l'armée.