C’est un amendement qui est passé un peu inaperçu, mardi soir, alors que le gouvernement, les centristes et les sénateurs LR finalisaient leur accord sur l’article 3 du projet de loi immigration et intégration, ouvrant en grand la voie vers une adoption du texte au sein de la chambre haute.
Peu de temps après le vote par les sénateurs de la suppression de l’Aide médicale d’État, qu’ils proposent de transformer en Aide médicale d’urgence, la sénatrice LR du Val-d’Oise Jacqueline Eustache-Brinio prend le micro. Elle défend au nom de 39 députés LR un amendement visant à conditionner à cinq années de résidence stable et régulière en France l’ouverture des droits aux prestations sociales non contributives. Si le jargon a de quoi rebuter, la proposition LR vise des dispositifs bien connus des Français, à savoir les allocations familiales, l’Aide personnalisée au logement (APL), le droit opposable au logement ou encore la prestation de compensation du handicap.
bon reste que ça passe à l'assemblée et comme moussa ne s'y est pas opposé .........on va surement faire des économies