Anastasie, vous connaissez ? C’est le sobriquet donné à la censure française pendant la guerre de 14/18. Notre bonne vieille Anastasie est en grande forme à l’Assemblée nationale où un « groupe de députés transpartisans » prépare une proposition de loi instaurant une nouvelle censure sur les sujets touchant à l’environnement en général et au climat en particulier.
« Faire progresser le traitement médiatique des enjeux écologiques »
Un peu de verbatim de l’Institut Rousseau
Explication de texte
La loi Gayssot associée au climat
« Faire progresser le traitement médiatique des enjeux écologiques »
C’est sous ce titre en apparence anodin que deux associations, Quota Climat et l’Institut Rousseau, avec l’appui d’un groupe de députés fidèles serviteurs d’Anastasie, préparent une proposition pour encadrer liquider le peu de liberté d’expression qui pourrait subsister. Les deux associations sont liées et parmi les contributeurs de l’Institut Rousseau on retrouve deux fondatrices de Quota Climat, Eva Morel et Anne-Lise Vernières, toutes deux collaboratrices parlementaires.
Un peu de verbatim de l’Institut Rousseau
Reprenons une partie de l’argumentation sur le site de l’institut Rousseau, les phrases en caractères gras ont été reprises telles quelles.
Lire la suite sur : ojim.fr
Normalement, une telle loi devrait être retoquée par le Conseil constitutionnel, le mot liberté ne figure-t-il pas dans la constitution de notre pays.
Ceci dit, à une époque où la dictature et l'obscurantisme avancent à grands pas dans notre pays, il se pourrait bien que critiquer la doxa en matière de réchauffement climatique devienne hors la loi et qu'il ne restera que les médias confidentiels et alternatifs pour en parler.