Jean-pierre a écrit:Les médias alternatifs donnent une information que les autres médias ne donnent pas et comme ils n'ont pas d'annonceurs ni de subsides, ils disent ce qu'ils pensent, si ça plaît aux téléspectateurs, c'est bien, sinon ils n'en n'ont rien à faire.
Et après ils pleurent quand ils sont au bord de la banqueroute...
Ils voudraient pouvoir avoir un ton libre, la liberté d'expression, mais ils n'en sont pas moins tributaires de la satisfaction de leur public.
Le monde en 2024 : vers un ordre multipolaire ? - Politique & Eco n°417 avec Stanislas Berton
"Nous vivons des changements tels qu'il n'en arrive qu'une fois par siècle". Cette déclaration du président chinois adressée à son homologue russe laisse libre cours à toutes les interprétations, pour le meilleur et pour le pire. Quel sort nous réservent les puissants ? A quoi ressemblera notre monde en 2024 ? Quelles sont les grandes tendances qui se dégagent ? Le bloc russo-chinois a en tout cas sonné la fin de la récréation : la dédollarisation déjà engagée va se poursuivre avec toujours plus de nouveaux partenaires. De son côté, l'empire américain et ses alliés ont pris du plomb dans l'aile n'agissent plus de manière rationelle. Si le Congrès américain, exsangue, a refusé l’aide financière à l’Ukraine de Zelensky pour continuer la guerre, il semble que la Chine soit la nouvelle cible : Taïwan concentre toutes les attentions. Quoiqu'il en soit, l'année 2024 sera l'année d'une montée en puissance des monnaies numériques de banques centrales, dernière lubie des tenants de la société de surveillance. De Washington à Pékin, en passant par Moscou et Francfort, tous s'y mettent. Le clivage mondialistes/patriotes est-il toujours d'actualité ? L'analyste économique, Stanislas Berton, analyse les forces en présence et dresse un panorama complet pour l'année 2024. La France saura-t-elle retrouver sa puissance d'équilibre ? Réponse dans ce numéro de "Politique & Eco" !
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Réponses au procès fait à Tintin-Hergé ! - Le Zoom - Martin Peltier TVL
Reporter comme le héros de la bande dessinée Tintin, Martin Peltier a fait une longue carrière dans la presse non conformiste. Classé auteur "hors système", il a conservé ce statut, dit-il, par la paresse… ou par fierté. Dans son nouvel ouvrage "Le procès Tintin", l’auteur rappelle que Tintin, Milou et leurs amis, sont l’objet de théories farfelues et d’un procès permanent de leurs mœurs et opinions, en particulier politiques. Scrutant les 23 albums signés Hergé, des Soviets aux Picaros, Martin Peltier apporte des réponses précises aux accusations colportées autour de la bande dessinée européenne la plus populaire du XXème siècle. Et il répond à la seule vraie question valable : comment expliquer le succès mondial de Tintin et le fait qu’un enfant en 2023 parcourt avec plaisir les aventures que son grand-père (ou son arrière-grand-père) lisait déjà avec passion ?
Tintin mis à toutes les sauces.
C'est bien qu'on décrypte le rôle de tintin dans la sociaulogie, mais d'une manière neutre.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Scandale des prêts COVID : sortons de l'esclavage bancaire - Politique-Eco 411 avec A. Impellizzeri
Avec plus de 4 000 défaillances d'entreprises par mois depuis le début de l'année 2023, la gestion gouvernementale du covid fait encore des ravages dans les entreprises françaises. La plupart d'entre elles sont dans l'incapacité de rembourser les prêts garantis par l'Etat, les fameux PGE. La dette totale des TPE-PME s'élève aujourd'hui à 37 milliards d'euros... Et quand il s'agit de remboursement, certaines grandes entreprises voient leur PGE être purement et simplement effacés quand les "petits patrons" sont toujours harcelés par leur banque. Face au cataclysme en cours, le chef d'entreprise Antonio Impellizzeri sonne la révolte et appelle tous les entrepreneurs à le rejoindre au sein d'un organisme qu'il a fondé il y a un an : le CSIERP (https://www.csierp.fr/) pour Collectif syndical interprofessionnel des entrepreneurs résilients et proactifs. Son mot d'ordre : ne remboursez rien ! Lancé dans une procédure au tribunal de commerce, il observe qu'aucune banque n'a pris le soin de s'enquérir des capacités de remboursement des emprunteurs alors que la réglementation les y oblige. Antonio Impellizzeri n'a qu'une stratégie : tenir tête à l'Etat et à ses relais bancaires pour inverser le rapport dominant-dominé. La survie de son entreprise en dépend.
Comment peut-on être aussi diabolique pour ruiner les petits au profit de ses amis de la finance ?
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
2060 : dans l’enfer d’une France inclusive, antiraciste, woke au pouvoir ! - Le Zoom - Dénis Cieslik
Haut fonctionnaire, Dénis Cieslik se bat contre l’expansion de la folie woke. Cela donne "Inclure", un roman drôle et cynique qui ne manque pas de faire réfléchir. 2060, la France est donc sous la botte d’un pouvoir "woke", incarné par Rokhaya Diallo. La société marche au pas de l’inclusion et le nouveau régime a "modernisé" les rapports sociaux afin d’éviter toute forme de discrimination. Théophile, antihéros allégorique de la modernité, évolue dans un monde inspiré de la dystopie orwellienne qui dévoile une société où l’absurde et l’idéologie ont remplacé le bon sens : formulaires obligatoires de consentement mutuel à l’acte sexuel, contrôle des tâches ménagères du foyer, atteintes à l’inclusion passibles de réclusion criminelle, choix du genre à l’âge de dix ans… Sans pitié, Dénis Cieslik pousse le délire progressiste à son paroxysme, pour mieux le démolir.
Ce roman prémonitoire est un simulateur de wokisme à lire avant qu’il ne soit trop tard… Ils rêvent de soumettre le réel à leurs idées… Ce roman soumet leurs idées au réel !
Livre d'anticipation qui fait froid dans le dos si on écoute ce que l'auteur nous dit dans cet entretien.
Je pense que je vais le commander.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
La France, le coupe-gorge du tandem Macron-Darmanin - Le Zoom - Xavier Raufer - TVL
Violences, cambriolages, agressions, assassinats, les Français subissent et l’Etat détourne le regard. Depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, les fondamentaux régaliens ont été laissés à l’abandon. L’ordre n’est plus que vexatoire et porté à l’égard des braves gens, la répression, elle, est réservée aux opposants. Pendant que Darmanin se pavane en vantant sa dureté, les Français prennent chaque jour en pleine face les ravages de l’insécurité dont les causes sont systématiquement tues par l’Etat. Ils s’appellent Lola, Thomas, Philippe, Enzo et bien d’autres prénoms qui ont illustré par le sang le désintérêt total du pouvoir pour la base des libertés : vivre en sécurité.
Vu dans un autre sujet, mais intéressant de le mettre ici pour le retrouver si nécessaire.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Défaite de l'Ukraine : les conséquences - Têtes à Clash n°137 - TVL
Franck Tanguy reçoit Philippe Pascot, Olivier Piacentini, Laurent Izard et Jacques Georges.
Au programme des débats : 1) Défaite de l'Ukraine : est-ce possible ? Quelles conséquences ? 2) Faut-il avoir peur de l'IA ? 3) En cas de dissolution de l'Assemblée : le RN doit-il aller à Matignon ou attendre la présidentielle ?
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Au cœur du XIXe siècle, le monde militaire brille de faste et de superficialité. Entrant dans une église pour la première fois depuis longtemps, Joseph de Frénilly, jeune saint-cyrien plein d’ambition, fait le pari d’aller se confesser. Déjoué par le prêtre, il fait une promesse d'honneur qui ne sera pas sans conséquence... Au cœur de ce court-métrage, nous célébrons le retour à la foi d'un jeune homme "plus étourdi que mauvais" selon les mots de Mgr de Ségur. Chrétiens ou non, nous espérons toucher les cœurs avec cette recontextualisation émouvante de la parabole du fils prodigue.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Et si on parlait enfin du racisme anti-blanc - Cette année-là - TVL
Pour cette nouvelle édition, "Cette année-là" revient sur les polémiques autour du racisme anti-blanc, tabou de l’antiracisme officiel, mis sous le tapis de la République. Or, le drame de Crépol a jeté une lumière crue sur ce racisme qui ne dit pas son nom et auquel les nouvelles générations sont tout particulièrement exposées. Avec Patrick Lusinchi, directeur artistique d’Éléments, François Bousquet, rédacteur en chef, Olivier François, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart. Au menu : les non-dits du vivre-ensemble, la guerre des yeux, l’inassimilation, l’hyperviolence, la question d’un néonationalisme ethnique qui traverse à peu près toutes les communautés. Le rendez-vous musclé et impertinent du magazine des idées.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Combat identitaire : la réponse d'un souverainiste à Daniel Conversano - Rodolphe Cart
Rodolphe Cart, journaliste auteur de "Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires" aux éditions La Nouvelle Librairie.
Ce n'est pas le tout d'être souverainiste, il faut encore l'expliquer et c'est ce qui est fait dans cette vidéo.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Rencontre avec les cannibales - Les livres de Monsieur Maulin - TVL
Histoire d’un voyage en terre de Brésil par Jean de Léry
L’histoire de Jean de Léry est intimement liée à celle de la France antarctique, soit l’établissement d’une petite colonie au Brésil sous la conduite de Nicolas Durand de Villegagnon. C’est à l’amiral de Coligny que l’on doit cette extraordinaire aventure. Depuis sa découverte en 1500 par les Portugais, le Brésil fascine. Les marins normands s’y livrent au commerce du bois et à la course contre les Portugais. Ils considèrent cette terre comme leur chasse gardée et le roi les soutient. Vers le milieu du siècle, Coligny met sur pied un véritable projet colonial avant l’heure. Chef du parti protestant quand éclatera la guerre civile (1562), tué à la Saint Barthélémy dix ans plus tard, il entend pour lors concurrencer les puissances ibériques en profitant des liens tissés avec les Indiens par les marins normands. Le 15 novembre 1555, 600 Français s’installent sur un îlot à l’entrée de la baie de Guanabara. Ils cultivent de bonnes relations avec les Indiens Tupinamba, au point que certains « truchements » s’installent dans leurs villages et adoptent leurs mœurs cannibales ; ils serviront d’intermédiaires aux Français. Mais la petite colonie vacille dès l’origine. Villegagnon ne supporte pas la nudité des Indiennes et la « paillardise » de ses hommes qu’il tente de remettre dans le droit chemin par des méthodes musclées. Ce chevalier de Malte est certes catholique mais il admire Luther et compte parmi ses amis Calvin, avec qui il a étudié le droit à Orléans. C’est d’ailleurs à ce dernier, réfugié à Genève, qu’il finit par demander le renfort d’hommes plus vertueux pour peupler sa colonie : Calvin lui envoie quatorze protestants, parmi lesquels Jean de Léry, un cordonnier de 22 ans originaire de Bourgogne. Débarqué le 7 mars 1556 au Fort Coligny, il y restera dix mois qui lui donneront la matière de son maître-livre publié vingt ans plus tard.
Un épisode de l'histoire que je ne connaissais pas et qui me semble intéressant.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Je porte un catholicisme fier, identitaire, décomplexé ! - Le Zoom - Abbé Matthieu Raffray
Prêtre, professeur, docteur en philosophie, l’abbé Matthieu Raffray est devenu, depuis quelques années, une figure des réseaux sociaux. Il y porte une parole peu entendue : celle d’un catholicisme fier, conquérant, décomplexé et traditionnel. Dans son ouvrage "Le plus grand des combats", avec des propos recueillis par Pierre Saint Servant, l’abbé Raffray considère qu'il est urgent de parler, de dire la vérité au monde, de "gueuler" si nécessaire qu’un immense champ d’apostolat s’ouvre aujourd’hui pour l’Eglise en France ! Les défis des décennies à venir sont immenses pour ceux qui ont choisi d’être des hommes debout. Alors que pointe la tentation du découragement, l’abbé Raffray nous invite, à contre courant, à compter sur le trésor immense de la foi, sur la troupe innombrable des héros et des saints qui ont façonné la Chrétienté.
Enfin un caholiscisme qui ne se cache pas.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Fléau du porno : ces industries qui détruisent la santé mentale et la jeunesse - Thérèse Hargot
Thérèse Hargot, spécialiste de la sexualité, thérapeute de couple et essayiste ; Auteur de “Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque)” (aux éd. Albin Michel en 2016) et “Tout le monde en regarde (ou presque) : Comment le porno détruit l'amour”
Une bonne émission qui apprend pas mal de chose.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Je l'ai écouté cet après-midi, il n'est pas tendre avec les banques ni avec la finance, mais il a l'air de savoir de quoi il parle et il a l'air bien informé.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Violence : comment se préparer au pire ! - Le Zoom - Aton - TVL
Avant de devenir acteur et comédien, Aton a été membre du GIGN, gendarme d’élite dont les faits d’armes lui ont valu les honneurs. De son expérience professionnelle au GIGN aux crises dont il a été le témoin, Aton a décidé de préparer ses compatriotes à vivre dans une société où la violence est devenue quotidienne. Cela donne un ouvrage "Se préparer au pire" en forme de guide de survie face à l’insécurité, à une police submergée, à une justice laxiste et dépassée et à des prisons surpeuplées. Aton consacre une partie importante du livre aux violences faites aux femmes. Il multiplie les conseils et les leçons pour survivre dans des quartiers devenus de plus en plus dangereux pour gérer son stress et ses peurs, pour se préparer physiquement. Au détour de l’ouvrage réalisé en collaboration avec Jean-Luc Riva, l’auteur pose la question de la légitime défense et l’attitude de gouvernements qui se montrent impuissants à protéger leurs concitoyens. Un livre qui nous prépare à vivre dans une société où la violence est désormais devenue quotidienne.
Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)