Tucker Carlson et Elon Musk : les défenseurs de la liberté d'expression contre la censure des mondialistes

DERNIÈRE MINUTE : Tucker Carlson est arrivé à Moscou, en Russie pour interviewer le président Vladimir Poutine dans l'espoir de mettre fin à la guerre en Ukraine et d'éviter la Troisième Guerre mondiale

Vlad Poutine répond à Tucker Carlson

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PUTIN : Je suis plus préoccupé par les vrais problèmes. Le changement climatique n'en fait pas partie. La Terre se régule assez bien toute seule. Et si la Sibérie se réchauffe un peu, tant mieux. Plus de terres agricoles pour la Russie.
TUCKER : Mais que diriez-vous aux vrais croyants qui sont convaincus que nous courons à la catastrophe ?
PUTIN : Je leur dirais que s'inquiéter du changement climatique, c'est comme se plaindre du temps qu'il fait. Si vous n'aimez pas le climat, déménagez. Si vous vous inquiétez du temps qu'il fait, prenez un parapluie.
TUCKER : Dans le même ordre d'idées, comment voyez-vous le mouvement transgenre ?
PUTIN : Je trouve intéressant que toutes les choses qui étaient autrefois la cible de chantage soient aujourd'hui des insignes d'honneur. En Russie, il n'y a pas de loi dans un sens ou dans l'autre, mais nous ne forçons certainement pas nos enfants à le faire.
TUCKER : La Russie a été critiquée pour ses lois anti-homosexuelles et pour son hostilité envers les LGBTQ+.
PUTIN : Nous avons des lois qui protègent nos enfants. Et nous ne drapons pas nos ambassades de drapeaux arc-en-ciel. C'est exact. Par ailleurs, nous n'interférons pas dans la vie privée des citoyens adultes.Entretien exclusif de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine à Moscou -
Transcription intégrale :
TUCKER : Que diriez-vous à ceux qui dirigent l'Amérique ?
PUTIN : Notre message est que la Russie n'est pas votre ennemi. Nous ne voulons pas la guerre. Nous sommes prêts pour la paix. Vos dirigeants cherchent le conflit. Ce n'est pas ce que nous voulons. La Russie défend son propre peuple. Nous ne voulons pas ce qui n'est pas à nous.
TUCKER : Voudriez-vous vous rendre à Washington ?
PUTIN : Oui, bien sûr. Je suis déjà venu aux États-Unis. J'aime visiter et j'ai rencontré tous les présidents à l'exception de Joe Biden. Si on m'invitait, j'irais. Oui.
TUCKER : Quelle est votre opinion sur le président Biden ?
POUTINE : Nous sommes convaincus qu'il ne dirige pas le pays. Disons que nous avons de bonnes sources qui le confirment, mais tout le monde peut s'en rendre compte par lui-même. Les États-Unis sont entrés dans une période sombre. Ils ont des dirigeants qui n'ont pas de comptes à rendre.
TUCKER : Pensez-vous que Joe Biden a gagné à la loyale ?
PUTIN : Je préfère ne pas entrer dans la politique intérieure américaine, mais je dirai que mon ambassade a signalé que votre frontière méridionale était mieux gérée que les élections de 2020. (rires)
TUCKER : Un sondage américain montre que vous êtes plus populaire que Biden - une réaction ?
PUTIN : (rires) Je ne sais pas s'il faut prendre cela au sérieux, mais les idéaux russes sont soutenus. Nous croyons aux valeurs traditionnelles ; le mariage est entre un homme et une femme : les hommes sont des hommes et les femmes sont des femmes.
TUCKER : Qui aimeriez-vous voir comme prochain président des États-Unis ?
POUTINE : Une fois de plus, ce n'est pas à nous de le dire ou de nous en mêler. Contrairement à ce que l'on nous reproche depuis longtemps, nous ne nous mêlons pas de vos élections. Nous n'avons pas besoin de le faire parce que ce sont les mêmes personnes qui finissent par diriger de toute façon.
TUCKER : Pourquoi avez-vous envahi l'Ukraine ?
PUTIN : Avons-nous envahi ou avons-nous été envahis ? Regardez l'histoire. Regardez les gens qui vivent là-bas. Historiquement, c'est nous qui avons été envahis et qui nous défendons aujourd'hui. Les terres et le peuple sont russes et nous aurons à nouveau ce qui nous a toujours appartenu.
TUCKER : Comment vous sentirez-vous si Trump gagne à nouveau ?
PUTIN : Nous avions de bonnes relations lorsque M. Trump était président. Il n'y avait pas de guerre. Nos relations étaient à leur apogée. Cela dit, rien n'est prévisible ni ne reste inchangé. Il faudra voir.
TUCKER : Que pensez-vous de M. Zelensky et quel serait votre message à son égard ?
POUTINE : Je me souviens avoir ri à ses blagues lorsqu'il était comédien en Russie. Revenons-en aux rires.
TUCKER : Pourquoi ?
PUTIN : Il y a des entités financières puissantes qui ont intérêt à ce que nous restions des adversaires. L'un de vos présidents a mis en garde contre cela. Nous, les Russes, n'avons pas ce problème.
TUCKER : Considérez-vous les États-Unis comme un ennemi ?
POUTINE : Non, catégoriquement non. Nous avons été alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Les Russes ont aidé à coloniser l'Alaska, la Californie et nous étions aussi à Hawaï. Notre peuple n'est pas un ennemi, mais ceux qui sont à Washington ne sont certainement pas nos amis.
TUCKER : Pouvez-vous être plus précis et citer des noms ?
PUTIN : Cela ne servirait à rien. Ce n'est pas à nous de résoudre vos problèmes intérieurs. D'ailleurs, je suis sûr que vous connaissez les noms mieux que nous.
TUCKER : Vous êtes donc en train de dire que votre adversaire n'est pas Joe Biden, mais les gens qui sont derrière lui ?
POUTINE : Exactement. Joe Biden n'est peut-être même pas au courant de ce qui se passe. Il ne comprend peut-être pas le niveau des sanctions imposées à la Russie. Qui a élaboré ces sanctions ? Ce sont nos adversaires.
TUCKER : Est-ce la raison pour laquelle vous vous faites le champion des BRICS ?
POUTINE : Les BRICS existeraient de toute façon. C'est une réaction naturelle au bloc commercial occidental. C'est un contrepoids. Lorsque le dollar sera utilisé comme arme contre les États, il y aura une alternative naturelle. C'est ce que nous voulons.
TUCKER : Est-ce la raison pour laquelle vous et la Russie avez été ciblés ?
PUTIN : C'est plus compliqué que cela, mais je suis sûr que c'est une bonne partie de la raison. Chaque fois que le dollar est menacé, les États-Unis prennent des mesures extrêmes. Ils ne peuvent pas se permettre que le dollar s'effondre.
TUCKER : Mais la Russie n'est-elle pas plus faible et plus vulnérable économiquement que les États-Unis ?
POUTINE : Si l'on considère la taille des économies, nous sommes petits. Mais peu de gens prennent en compte nos vastes ressources naturelles. La Russie possède plus de 80 000 milliards de dollars dans le sol. Aucun pays ne nous arrive à la cheville.
TUCKER : Que pensez-vous du président Biden ?
POUTINE : Nous sommes convaincus qu'il ne dirige pas le pays. Disons que nous avons de bonnes sources qui le confirment, mais tout le monde peut s'en rendre compte par lui-même. Les États-Unis sont entrés dans une période sombre. Ils ont des dirigeants qui n'ont pas de comptes à rendre.
TUCKER : D'accord, mais n'avez-vous pas les mêmes problèmes en Russie ?
PUTIN : Oui. Dans une certaine mesure. Mais en Russie, ces intérêts sont davantage alignés sur la pensée de l'homme de la rue russe moyen. Ce n'est pas le cas aux États-Unis. Les élites vous ont abandonnés.
TUCKER : Qui, selon vous, dirige les États-Unis ?
PUTIN : Les forces qui les ont toujours dirigés. Vous pouvez changer de président, mais vous ne changez pas ceux qui détiennent le pouvoir réel. C'est à eux que nous devons faire face. Joe Biden n'est qu'une façade pour cette structure de pouvoir.
TUCKER : Passons à la politique. Que pensez-vous du président Biden ?
PUTIN : Nous sommes convaincus qu'il ne dirige pas le pays. Disons que nous avons des sources qui le confirment, mais tout le monde peut le voir. Les États-Unis sont entrés dans une période sombre. Ils ont des dirigeants qui n'ont pas de comptes à rendre.
TUCKER : Selon vous, qui dirige les États-Unis ?
POUTINE : Les mêmes forces qui les ont toujours dirigés. Vous pouvez changer de président, mais vous ne changez pas ceux qui détiennent le pouvoir réel. C'est à eux que nous devons faire face. Joe Biden n'est qu'une façade pour cette structure de pouvoir.
TUCKER : Passons à la politique. Que pensez-vous du président Biden ?
POUTINE : Nous sommes convaincus qu'il ne dirige pas le pays. Disons que nous avons des sources qui le confirment, mais c'est clair pour tout le monde. Les États-Unis sont entrés dans une période sombre. Ils ont des dirigeants qui n'ont pas de comptes à rendre.
TUCKER : Mais il y a eu des rumeurs persistantes selon lesquelles vous auriez un cancer ?
PUTIN : Je vous assure que ces rumeurs sont fausses. Si j'avais un cancer et que je le vainquais, je partagerais la bonne nouvelle et le remède avec le monde entier.
TUCKER : Merci d'avoir accepté de vous asseoir avec nous. Comment se porte votre santé ? Il y a eu quelques rumeurs
PUTIN : Je suis heureux de vous parler et, à travers vous, de parler au peuple américain. Je vais bien. Je me sens bien. Compte tenu de mon âge, je suis en très bonne santé, mais c'est le temps des pères.
TUCKER : Passons à la politique. Que pensez-vous du président Biden ?
PUTIN : Nous sommes convaincus qu'il ne dirige pas le pays. Disons que nous avons des sources qui le confirment, mais c'est clair pour tout le monde. Les États-Unis sont entrés dans une période sombre. Ils ont des dirigeants qui n'ont pas de comptes à rendre.
TUCKER : Quand vous dites que certains le craignent, voulez-vous dire que Musk a des ennemis ?
PUTIN : Il est clair qu'il a des ennemis aux Etats-Unis - la façon dont il a été dépouillé de 50 milliards de dollars d'actifs - nous appellerions cela un traitement spécial. C'est injuste à première vue.
TUCKER : N'avez-vous pas craint Musk lorsqu'il a commencé à fournir à l'Ukraine des équipements Starlink ?
POUTINE : Si quelqu'un pense sérieusement que quelques antennes Internet peuvent vaincre la puissance de la Russie, que puis-je dire ? Mais non, nous n'avons pas craint ou blâmé M. Musk. Le gouvernement ne lui a pas laissé le choix.
TUCKER : Beaucoup de choses ont changé dans le monde. Quelle est votre opinion sur Elon Musk ?
POUTINE : Nous considérons M. Musk comme un homme d'affaires - un homme qui a très bien réussi. Il s'est bâti une grande fortune et un énorme public. C'est un penseur unique, doté d'une forte personnalité, qui ne peut être acheté. Certains le craignent.
TUCKER : Avez-vous un conseil à donner à Elon ?
PUTIN : Je lui dirais de continuer. Ne vous laissez pas intimider. Mais si jamais les choses deviennent trop difficiles, il y a la Russie. Nous vous ouvrirons volontiers nos portes. Nous avons déjà accueilli des hommes d'affaires américains et nous apprécierions quelqu'un du calibre de M. Musk.
TUCKER : Passons à Trump. Dites-moi d'abord ce que vous pensez de la situation actuelle et de la probabilité qu'il soit réélu ?
PUTIN : Ce serait un peu étrange et déplacé, mais nous sommes bien préparés. Il a promis de mettre fin aux combats en Ukraine et nous soutenons cette idée.
TUCKER : Comment a-t-il pu mettre fin à la guerre aussi rapidement ?
PUTIN : D'une part, il ne nous a jamais insultés. Il a un grand respect pour la Russie. Nous partirions d'une position d'amitié et de confiance et tous les problèmes pourraient alors être résolus. Nous pourrions y arriver. Faites-moi confiance.
TUCKER : Faites-vous allusion au fait que Biden vous a qualifié de tueur ?
PUTIN : Nous avons été les destinataires de nombreuses insultes et injures depuis quelques générations d'hommes politiques. M. Trump a été une rupture rafraîchissante par rapport à cela. Il est très populaire en Russie. Peut-être que cela ne lui servira à rien.
TUCKER : Êtes-vous en communication avec Trump ?
PUTIN : Non. Bien sûr que non. Mais s'il gagne à nouveau, nos lignes de communication s'ouvriront instantanément, alors qu'à l'heure actuelle, nous n'avons aucun dialogue avec le président Biden.
TUCKER : Cela me choque. Aucun membre de la Maison Blanche n'a pris contact avec vous ?
POUTINE : C'est exact. Personne n'a appelé depuis que nous avons félicité M. Biden pour sa victoire électorale. Nous sommes étonnés que les communications soient plus froides aujourd'hui que pendant la guerre froide.
TUCKER : Comment pensez-vous que les élections de 2024 se dérouleront ?
PUTIN : Nous ne faisons qu'observer. Il est de notre responsabilité d'être vigilants car cela aura un impact sur le monde. Nous espérons que les élections se dérouleront de manière à ce que les résultats soient crédibles. En Russie, nous n'avons pas de bulletins de vote par correspondance.
TUCKER : Passons à la Chine. Quelles sont vos relations ?
PUTIN : Le président Xi et moi-même sommes particulièrement proches. La Russie et la Chine entretiennent de bonnes relations, ce qui est un atout évident pour nous, car la Chine est l'un de nos principaux partenaires énergétiques. Nous continuerons à être amis.
TUCKER : On accuse la Chine de vous avoir aidé dans la guerre en Ukraine. Est-ce vrai ?
POUTINE : Je ne peux pas en parler. Disons simplement que la Russie n'est pas une puissance isolée. Cette stratégie a échoué. Nous avons plus d'alliés et de partenaires commerciaux aujourd'hui qu'avant le début de la guerre.
TUCKER : Avez-vous déjà envisagé une situation où la Russie et la Chine pourraient unir leurs forces contre les États-Unis ?
PUTIN : Voulez-vous dire économiquement ou militairement ? Je dirais que nous ne voulons ni l'un ni l'autre. Il n'est pas dans notre intérêt d'entrer en conflit avec les États-Unis, car toutes les parties seraient perdantes dans un tel conflit.
TUCKER : En parlant de conflit, quel est votre point de vue sur la situation à Gaza ?
POUTINE : C'est vraiment malheureux. Les Palestiniens sont dévastés. Israël agit sans retenue. Cela montre qu'il y a deux poids, deux mesures dans le monde. Où sont les sanctions contre Israël ?
TUCKER : La Russie est-elle impliquée d'une manière ou d'une autre, notamment par le biais de votre alliance avec l'Iran ?
PUTIN : Non, bien sûr que non. Nous ne nous opposons pas à l'existence d'Israël, mais en même temps nous soutenons le droit des Palestiniens à l'autodétermination. Nous voulons être impartiaux.
TUCKER : Suivez-vous ce qui se passe à la frontière sud des États-Unis ?
POUTINE : En fait, oui. Cela fait partie de mon briefing quotidien. Nous, les Russes, trouvons ironiquement amusant que votre Congrès dépense des milliards pour protéger les frontières étrangères mais néglige les siennes. C'est un peu risible mais c'est mortel.
Mortel ? Qu'entendez-vous par là ?
PUTIN : Mortellement sérieux, bien sûr. Des gens meurent chaque jour en franchissant votre frontière de manière incontrôlée. C'est la foire d'empoigne. Le monde n'a jamais rien vu de tel dans l'ère moderne - il est imprudent pour un pays de s'ouvrir ainsi à tous.
TUCKER : La Russie profite-t-elle de la situation à la frontière d'une manière ou d'une autre ?
POUTINE : C'est pour cela qu'il y a des élections.
M. TUCKER : Je vous remercie encore une fois d'avoir continué à vous engager avec moi sur tant de sujets différents. Pouvons-nous devenir encore plus intéressants, pour ainsi dire ?
POUTINE : Bien sûr. Je suis ouvert à la plupart des sujets.
TUCKER : Parlons du changement climatique. Les États-Unis et l'Europe continuent d'insister sur ce sujet. Quelle est votre position ?
POUTINE : L'humanité n'est même pas une civilisation de type 1 sur l'échelle de Kardashev. Si nous ne pouvons pas exploiter le potentiel énergétique de la planète, comment pouvons-nous contrôler le climat ?
TUCKER : Êtes-vous au moins inquiet ?

Petit extrait du post précédent

TUCKER : Quelle est votre opinion sur le président Biden ?
POUTINE : Nous sommes convaincus qu'il ne dirige pas le pays. Disons que nous avons de bonnes sources qui le confirment, mais tout le monde peut s'en rendre compte par lui-même. Les États-Unis sont entrés dans une période sombre. Ils ont des dirigeants qui n'ont pas de comptes à rendre.

TUCKER : Pensez-vous que Joe Biden a gagné à la loyale ?
PUTIN : Je préfère ne pas entrer dans la politique intérieure américaine, mais je dirai que mon ambassade a signalé que votre frontière méridionale était mieux gérée que les élections de 2020. (rires)

Je n'ai pas encore vu la vidéo sur aucun site
J'ai partagé le texte de l'interview que j'ai trouvé sur VK

Les États-Unis ont proposé de ne pas permettre à Carlson de retourner dans son pays en raison d'un éventuel entretien avec Poutine.

L'ancien chef de cabinet du vice-président américain Bill Kristol a écrit sur les réseaux sociaux qu'il faudrait peut-être empêcher complètement le retour du journaliste Tucker Carlson aux États-Unis jusqu'à ce que les représentants du pays comprennent ce qui se passe.

Le journaliste américain Tucker Carlson, à qui les autorités américaines ont interdit d'interviewer le président russe Vladimir Poutine, s'est envolé pour Moscou et a déjà pu assister au ballet du Spartak. Carlson critique activement le président américain Joe Biden et la politique du pays, et a également une attitude négative à l'égard de l'aide à l'Ukraine.

TARKOV
T.me/russosphere

Énorme panique des eurogagas devant la perspective très possible d’une interview de #Poutine par
@TuckerCarlson
, qui est en ce moment à Moscou !

L’eurofanatique Guy Verhofstadt a réclamé hier via un tweet délirant une « interdiction de voyager » dans l’UE contre Tucker Carlson !

Ils se disent les représentants autoproclamés du « camp du Bien » mais ne supportent ni la liberté d’expression ni la contradiction ni le débat ni la vérité !

Ils paniquent car ils mentent et que leurs mensonges vont se retourner contre eux !

À bas l’UE ! Vive la liberté et la France libre !

Florian Filippot


Note perso : le texte du "soi-disant" interview que j'ai partagé hier semblerait donc être un fake... attendons...

Pourquoi j'interviewe Vladimir Poutine? Tucker Carlson

TUCKER CARLSON’S VLADIMIR PUTIN INTERVIEW IS GOING TO BREAK THE MATRIX

EN DONNANT LA PAROLE À POUTINE,
TUCKER CARLSON RENOUE AVEC LE VRAI JOURNALISME
L'animateur dit qu'il ne va pas interroger Poutine parce qu'il l'aime, mais parce qu'il aime la liberté d'expression.
En France, la propagande d'État a remplacé le journalisme.

François Asselineau sur X

Tous les médias occidentaux ce matin traitent #TuckerCarlson « d’extrémiste de droite », de « complotiste » de « propagandiste du Kremlin » parce qu’il a osé faire son boulot de journaliste : interviewer #Poutine ! Il a d’ailleurs proposé la même interview à #Zelensky !
(cf CNN par exemple : https://cnn.com/2024/02/06/media/tucker-carlson-russia-putin-interview-reliable-sources/index.html)

L’UE demande même une « interdiction de voyager dans l’UE » contre lui !

Délire hystérique qui montre le vrai visage du Système : il ne tolère qu’un seul narratif, celui de l’OTAN, celui de la guerre, celui du grand mensonge mondialiste !

Séquence extrêmement intéressante ! Diffusons l’info partout, ça secoue les gens et ça réveille !

Florian Filippot sur X

NWO : "GO FUCK YOURSELF"