Steve McQueen avait une lubie qui agaçait passablement les producteurs de ses films: il demandait toujours à recevoir gratuitement des quantités de petites choses: vêtements, rasoirs électriques, brosses à dent, casquettes, chaussures
Il demandait tous les articles en plusieurs dizaines d’exemplaires. On s’imaginait qu’il était un peu radin et qu’il essayait de profiter en grattant tout ce qu’il pouvait
Ce n’est que des années plus tard que l’on a découvert pourquoi McQueen faisait toujours ces demandes d’articles gratuits. Toutes ces choses, il les donnait à une maison de correction californienne, le Boys Republic, où des garçons délinquants ou difficiles étaient envoyés de 15 à 18 ans.
Steve McQueen avait passé une année dans cet établissement quand il était jeune et, à présent qu’il s’en était sorti, il souhaitait aider les garçons qui s’y trouvaient, en leur fournissant des articles qui leur manquait, ainsi qu’en leur rendant régulièrement visite, discrètement, pour leur parler et leur donner des conseils autour d’une partie de billard.
Il demandait tous les articles en plusieurs dizaines d’exemplaires. On s’imaginait qu’il était un peu radin et qu’il essayait de profiter en grattant tout ce qu’il pouvait
Ce n’est que des années plus tard que l’on a découvert pourquoi McQueen faisait toujours ces demandes d’articles gratuits. Toutes ces choses, il les donnait à une maison de correction californienne, le Boys Republic, où des garçons délinquants ou difficiles étaient envoyés de 15 à 18 ans.
Steve McQueen avait passé une année dans cet établissement quand il était jeune et, à présent qu’il s’en était sorti, il souhaitait aider les garçons qui s’y trouvaient, en leur fournissant des articles qui leur manquait, ainsi qu’en leur rendant régulièrement visite, discrètement, pour leur parler et leur donner des conseils autour d’une partie de billard.
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