En octobre 2022, un politologue néerlandais interrogé dans Le Monde faisait part de sa découverte : qualifier certains partis de « néo-nazis » ou « postfascistes » ne convient plus. La dédiabolisation des partis populistes et conservateurs est-elle en marche ?
Après l'arrivée au pouvoir des post, néo, crypto-fascistes de Giorgia Meloni, Le Monde, voyant qu'il se passait quelque chose, mais pas de marche sur Rome, a eu la bonne idée d'aller interviewer un politologue néerlandais spécialiste des populismes européens, un certain Matthijs Rooduijn, enseignant-chercheur au département de sciences politiques à l’université d’Amsterdam (Pays-Bas). Pour beaucoup d'entre nous, il ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes. Mais quand des évidences émanent d'un intellectuel mainstream dans un quotidien mainstream s'adressant à l'électorat Macron, la performance est à saluer.
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En fait, les gens de la droite dure s'en foutent maintenant d'être appelés néonazis, fachos, d'extrême droite par les gens et les médias de gauche.
La diabolisation, ça ne marche plus, pas de temps, à mon sens, parce que l'extrême droite a réussi une dédiabolisation, que parce que la gauche de Mélenchon à Macron a fait la preuve de son incurie à gouverner un pays quel qu'il soit.
L'orientation prise par beaucoup de pays dans l'Union européenne d'une gauche wokiste aux ordres d'une U.E. non moins wokiste choque et énerve les Européens et je ne parle même pas des contrats colossaux de Von der Leyen avec Pfizer ou des sommes non moins colossales données à l'Ukraine ainsi que toutes les normes contraignantes qui ne font que renforcer les grands groupes de l'industrie, de la finance, de l'agroalimentaire au détriment de la production locale de qualité.