Repéré par Léa Polverini — 23 juillet 2023 à 11h15
Une cagoule anti-UV pour échapper à un soleil de plus en plus fracassant.
On connaissait le bikini, puis vint le monokini, dont le scandale fut vite remplacé par celui du burkini, et en réalité de toutes les variantes allant du microkini au tankini en passant par le trikini… C'est aujourd'hui le retour en gloire du facekini, que l'on pourrait traduire en français par chefkini, ou tout simplement cagoule de bain.
En chinois, on l'appelle nílóng fángshài tóutào, littéralement «masque de nylon pour se prémunir des expositions au soleil»: c'est qu'il est apparu sur les plages chinoises au mitan des années 2000, comme une solution pratique pour profiter de la mer sans prendre le risque d'y bronzer, la blancheur de la peau étant considérée comme un marqueur important de beauté en Asie.
Sous le soleil
Alors que le réchauffement climatique se fait de plus en plus pesant à travers le monde et que les températures atteignent des pics de chaleur dépassant les 35°C –la ville de Sanbao, dans les terres, dans la province du Xinjiang, enregistrait un record de 52,2°C le dimanche 16 juillet 2023–, le facekini, qui couvre entièrement le visage, en laissant quatre trous pour les yeux, le nez et la bouche, a regagné la cote.
Souvent fabriqué dans un tissu résistant aux UV, aux couleurs volontiers fluorescentes, imitant parfois les masques traditionnels de l'opéra de Pékin, il vient compléter une panoplie composée de vêtements couvrants, de chapeaux à larges bords, d'ombrelles et de ventilateurs portatifs, qui permettent de se déplacer sous le soleil en échappant à ses coups, et aux maladies de peau subséquentes.
Une cagoule anti-UV pour échapper à un soleil de plus en plus fracassant.
On connaissait le bikini, puis vint le monokini, dont le scandale fut vite remplacé par celui du burkini, et en réalité de toutes les variantes allant du microkini au tankini en passant par le trikini… C'est aujourd'hui le retour en gloire du facekini, que l'on pourrait traduire en français par chefkini, ou tout simplement cagoule de bain.
En chinois, on l'appelle nílóng fángshài tóutào, littéralement «masque de nylon pour se prémunir des expositions au soleil»: c'est qu'il est apparu sur les plages chinoises au mitan des années 2000, comme une solution pratique pour profiter de la mer sans prendre le risque d'y bronzer, la blancheur de la peau étant considérée comme un marqueur important de beauté en Asie.
Sous le soleil
Alors que le réchauffement climatique se fait de plus en plus pesant à travers le monde et que les températures atteignent des pics de chaleur dépassant les 35°C –la ville de Sanbao, dans les terres, dans la province du Xinjiang, enregistrait un record de 52,2°C le dimanche 16 juillet 2023–, le facekini, qui couvre entièrement le visage, en laissant quatre trous pour les yeux, le nez et la bouche, a regagné la cote.
Souvent fabriqué dans un tissu résistant aux UV, aux couleurs volontiers fluorescentes, imitant parfois les masques traditionnels de l'opéra de Pékin, il vient compléter une panoplie composée de vêtements couvrants, de chapeaux à larges bords, d'ombrelles et de ventilateurs portatifs, qui permettent de se déplacer sous le soleil en échappant à ses coups, et aux maladies de peau subséquentes.
on n'est plus très loin de abysses du ridicule