Pour le moment, c’est voté. Ce mercredi 19 avril, 322 députés européens se sont prononcés pour le financement de murs censés permettre au Vieux Continent d’endiguer l’actuelle déferlante migratoire. 290 de leurs collègues se sont prononcés contre, tandis que 20 courageux préféraient s’abstenir.
Ce vote peut s’assimiler à une victoire politique. Ce que nous confirme Philippe Olivier, député RN : « C’est la première fois que les groupes de droite parviennent à s’unir sur un projet commun. » C’est-à-dire que, pour une fois, la droite institutionnelle a osé mêler ses voix à celles d’autres droites. Une coalition qui va même au-delà ; car, hormis les groupes ID (Identité et Démocratie), où siègent les élus du Rassemblement national et ECR (Conservateurs et réformistes européens), présidé par Georgia Meloni, un tiers des députés Renew (libéraux) ont voté pour ce texte initié par le Bavarois Manfred Weber, président du groupe de droite modérée PPE (Parti populaire européen). Notons qu’il a même été soutenu par quatre députés socialistes danois. Comme quoi, on peut aussi être de gauche et contre l’immigration de masse.
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Comme quoi, lorsque l'union des droites se fait, les choses se font ! La droite française à beaucoup de choses à apprendre de certains pays et de l'Union européenne.
Ce qui me fait marrer, c'est que lorsque Trump a décidé de faire un mur à la frontière du Mexique tous les bobos rouges des villes se sont récriés comme de vieilles femmes.
Quelques années après, on s'aperçoit que la seule solution pour se protéger de l'immigration clandestine, c'est de construire les murs les plus hauts possibles.