Finie "la bouteille des grands-parents servie lors des repas du dimanche". Dans le Bordelais, un collectif de "vignerons pirates" prône l'innovation pour dépoussiérer l'image des vins locaux, boudés par certains consommateurs.
C'est l'heure des vendanges au Château Cazebonne, dans les Graves. Son propriétaire Jean-Baptiste Duquesne goûte, pour vérifier leur maturité, les baies violines et mordorées de cépages oubliés qu'il tente de réhabiliter.
Sa dernière création, une cuvée qui se veut au goût d'autrefois, mêle mancin, castets, bouchalès, saint-macaire et jurançon noir. Autant de noms méconnus qui avaient toute leur place dans le Bordelais d'avant l'hiver 1956, dont les gelées détruisirent près de la moitié des ceps en Gironde.
Lire la suite sur : act.orange.fr
Pour moi, le Bordeaux, c'est largement surfait, on trouve quantité de bon vin en France qui sont aussi bon si ce n'est bien meilleur que le Bordeaux.
Ces jeunes ont raison de vouloir casser les codes, un vin est bon parce qu'il a bon goût, pas parce qu'il vient d'une région particulière.