Après les États-Unis, la France vit-elle à son tour un phénomène de "grande démission" ?
Fin 2021 et début 2022, un nombre historiquement haut de personnes ont quitté leur emploi volontairement.
Des chiffres élevés, mais qui ne sont pas inédits, et ne traduisent pas forcément la réalité que l'on suppose.
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L'article minimise le phénomène, beaucoup de gens qui quittent leur emploi ne sont pas débauché par d'autres, mais simplement, ils disent vouloir une meilleure qualité de vie.
C'est vrai que c'est le moment de négocier, la pénurie de main d'œuvre en ce moment permet d'imposer quelques avantages ou une meilleure rémunération, mais le mal est plus profond.
Les gens ne supportent plus le travail, l'autorité des chef et encore moins celle du patron, il n'y a plus de valeur travail et encore moins celle du travail bien fait.
Aux U.S.A., les démissionnaires allaient dans d'autres sociétés, en France, il n'y a pas assez d'écart entre les aides sociales et le salaire minimum, les gens se prennent quelques mois de chômage pour réfléchir qu'ils disent.