Ce samedi après-midi, à Caen, en pleine période électorale, époque où chacun fait campagne, des femmes s'étaient donné rendez-vous pour afficher leur soutien à la campagne d'Éric Zemmour sous le slogan #les femmes avec Zemmour#. Une manifestation autorisée et annoncée par voie de presse mais qui a déchaîné les bataillons des tristement célèbres antifas organisés en contre-manif musclée.
Pas facile d'être une « femme avec Zemmour » : insultées, encerclées, menacées physiquement, conspuées, raccompagnées jusque dans leur voiture sous des jets de farine et même des coups - l'une d'entre elles, bien jeune, recevra un coup de poing dans le dos en tentant de s'extirper de la foule -, elles n'ont effectivement pas eu le droit de s'exprimer, juste de « se casser » dans une ambiance extrêmement tendue. Pas l'ombre d'une présence policière, d'ailleurs, pour faire respecter leurs droits. Un quidam réaliste lâchera : « On aurait pu en faire du petit pâté, de ces femmes-là, qu'il ne se serait rien passé. »
bvoltaire.fr
Ce sont les mêmes qui vous diront que le droit de manifester est un droit constitutionnel qu'il faut absolument respecter.
Bien sûr, la police devait avoir l'ordre de regarder ailleurs et tant pis s'il y a de la casse et bien sûr les médias traditionnels n'en parlent pas.
Le truc intéressant, c'est : "Les femmes avec Zemmour" beaucoup veulent faire croire que Zemmour est misogyne, il semblerait que ce ne soit pas le cas puisque certaines de ces dames souhaitent son élection.