À Sully-sur-Loire, la librairie Au Temps des Livres ne souhaitait pas vendre le dernier livre d'Éric Zemmour. Plutôt que la censure, une idée est née : reverser les bénéfices issus de la vente du livre à une association qui vient en aide aux jeunes migrants.
Un buzz involontaire
Tout commence quand, en août dernier, La France n’a pas dit son dernier mot, le dernier ouvrage d’Éric Zemmour, est annoncé pour le 16 septembre. Aurélie Bouhours, opposée aux idées du potentiel futur candidat à l’élection présidentielle d’extrême droite, se retrouve face à un problème de conscience. "Je ne voulais pas du tout le vendre, confesse-t-elle. Mais ma fille me disait que je n’avais pas à empêcher les gens de le lire ou de s’informer. Elle avait raison."
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Si les libraires se mettent à faire de la politique ! Je suppose que les livres de Mélenchon ou des communistes sont en bonne place dans sa vitrine.
Après elle s'étonnera que les clients se dirigent vers Amzon, mais en voyant des comportements pareil, c'est ce que je ferais plutôt que de faire vivre ce genre de personne.
En tout cas, c'est l'association qui va être contente, les bénéfices de la vente de 8 livres, elle va pouvoir engager des frais très importants.
Quant au ramdam, je suppose que c'est local parce que je n'ai pas vu d'autres articles sur ce sujet.