La jeune Galloise a raconté une mésaventure dont elle avait été victime il y a quelques années, pour dénoncer les discriminations envers les personnes tatouées.
Depuis plusieurs années, il est devenur dur de trouver un emploi. Alors quand on en a un et qu’on le perd après 30 minutes, c’est rageant. C’est pourtant ce qui était arrivé à Claire Sheperd, une habitante de Swansea, au pays de Galles, en 2014. Plusieurs années plus tard, elle a raconté sa mésaventure aux tabloïds britanniques.
Aujourd’hui âgée de 32 ans, Claire est pleine de tatouage sur tout le corps. Tout a commencé lorsqu’elle avait 18 ans lors de vacances entre amies à Magaluf. Elle s’est fait un premier tatouage pour garder un souvenir de ce séjour et, 3.000 livres sterling plus tard, la voilà avec des dessins sur tout le corps. « Selon moi, c’est une forme d’art et d’expression, mais tout le monde ne voit pas ça de la même manière », a-t-elle raconté au Sun. « J’ai des commentaires dans la rue et, en ligne, certains internautes me harcèlent ».
La jeune femme travaillait dans un magasin B&M lorsqu’elle a eu ses premiers tatouages. À l’époque, son boss n’y voyait aucun problème. Mais un an plus tard, elle a postulé pour un autre emploi. Son entretien téléphonique d’une demi-heure s’était très bien passé et Clair avait été engagée sur le champ.
En lisant son contrat, elle a alors remarqué que les tatouages des employés devaient être recouverts. Impossible pour elle puisqu’elle en a même dans le cou et sur le visage. Elle avait donc appelé sa nouvelle cheffe pour s’assurer que c’était ok pour elle… mais ce n’était pas le cas : « Elle a retiré son offre sur le champ et m’a dit que ce ne serait pas possible de m’engager. J’ai eu le job durant une demi-heure ! », déplore la jeune femme.
Scandalisée, Claire avait partagé sa mésaventure sur Facebook et, vu le succès de sa publication, l’entreprise avait tenté de la réembaucher. Elle avait dit non.
Si elle témoigne aujourd’hui, c’est pour dénoncer les discriminations par rapport aux personnes tatouées : « La question qu’on me pose le plus souvent est « qu’est ce que tu feras quand tu auras 80 ans ? » Et bhein les mêmes choses que si je n’avais pas de tatouages. Si c’est le seul truc dont je devrai me soucier à 80 ans, alors j’en rigolerai… ».
sudinfo.be
Visiblement, cette jeune écervelée ne sait pas qu'on lit un contrat avant de s'engager pour quoi que ce soit, si elle l'avait fait, elle n'aurait pas postulé et il n'y aurait pas eu d'histoire.
C'est quand même parfaitement le droit d'une enseigne de ne pas vouloir de tatouage apparent et franchement, je ne vois pas où est le problème, chacun fait ce qu'il veut chez lui.
J'avoue que je n'apprécierai pas vraiment d'avoir à faire à une vendeuse ou à un vendeur tatoué surtout si il l'est sur le visage.