par Loupolo Lun 6 Nov - 19:10
Le wokisme, ce cancer qu'il faut combattre sans pitié.
"Le wokisme, par référence au courant woke venu de l’extrême gauche américaine, n’est pas le nazisme, le stalinisme ou l’islamisme. Et pourtant, il est un poison capable de fragmenter gravement la société. Il contient tous les germes du révisionnisme, du communautarisme et surtout, de la tyrannie des minorités. Pire, il ne donne voix au chapitre qu’à certaines d’entre elles, admises au panthéon des victimes éternelles : les noirs, les musulmans, les LGBT, les néo-féministes. Les autres, qu’ils appartiennent à la mauvaise minorité ou qu’ils soient majoritaires comme les blancs, chrétiens, juifs, Français non issus de l’immigration africaine, sont dans le mauvais camp, celui des racistes, des colonisateurs, des esclavagistes, des violeurs, des tyrans, des coupables par définition.
Le wokisme est une maladie mortelle. Il est un fascisme moderne, une dictature qui bannit, exclut et voue aux gémonies, non seulement ceux qui le dénoncent et le combattent, mais aussi ceux qui ne se plient pas à leur diktat. Dire que la folle idée de séparer le sexe du genre au point d’administrer des hormones à des enfants affirmant ne pas se sentir bien dans leur condition de garçon ou de fille est une monstruosité rend les wokes fous (si tant est qu’ils ne le soient pas déjà). Le wokisme vous traite d’arriéré, d’homophobe, de raciste, d’ennemi de la diversité. Le wokisme et le contraire de la fraternité".
Michel Taube, écrivain.