"Demain, je peux avoir un demi-million de tests sérologiques mais ils ne me serviraient à rien parce que pour le moment, ils ne sont pas fiables. C'est du brol chinois dont je ne veux pas", indique Philippe De Backer, en charge de gérer l'approvisionnement en matériel pour la protection personnelle, dans un article publié vendredi soir sur le site de l'Echo.
"Si d'autres pays disent qu'ils ont des millions de tests, OK, mais de quelle qualité? Utilisés comment? Si on fait des tests, il faut une stratégie. Nous avons une stratégie", indique-t-il.
Selon Philippe De Backer, un test rapide sera introduit dès ce week-end dans les hôpitaux. Avec les tests biologiques (PCR), cela fera 10.000 tests par jour, voire plus, précise-t-il au quotidien. "Dans trois semaines environ, on va utiliser des tests sérologiques pour détecter l'immunité des patients." Les tests à grande échelle, en cours de validation, devraient intervenir après le pic, fin avril, "pour préparer la restauration d'une vie normale".
Le problème du manque de réactifs est quant à lui réglé, assure M. De Backer.
dhnet.be
Brol pouvant en principe ce traduire par "bordel" mais en l’occurrence je pense qu'il pensait à un autre mot.
En tout cas ça semblerait dire qu'il y a quelques dirigeants qui ont compris que la plupart de ce que fabriquait les chinois c'était de la m.... et qu'il valait mieux payer plus cher le même produit pour de la qualité plutôt que de faire venir à grand coup de pollution des produits qui ne sont et ne seront probablement jamais fiables et bons