La tempête qui a secoué Benjamin Griveaux n'est pas prête de s'essouffler. Alors qu'il a été remplacé au pied levé par Agnès Buzyn dans la course à la mairie de Paris, des vidéos privées attribuées à l'ancien candidat LAREM à la mairie de Paris continuent de faire réagir, comme Ségolène Royal qui les a commentées avec son ton bien à elle.
Le 14 février, le ciel est tombé sur la tête de Benjamin Griveaux, le candidat macroniste à la mairie de Paris. En retrouvant sur internet des vidéos intimes (toujours non authentifiées) qu'il avait supposément envoyées à une jeune femme consentante plusieurs mois plus tôt, l'ancien secrétaire d'Etat et porte-parole du gouvernement a décidé de se retirer de la course à la mairie de Paris, remplacé au pied levé par Agnès Buzyn, qui a lâché son poste de Ministre de la santé pour se lancer dans une campagne inattendue et tout-terrain à trois semaines du scrutin.
Après ce cas édifiant de revenge porn dont la victime est Benjamin Griveaux, la plupart des politiques sont naturellement scandalisés que l'on puisse atteindre à ce point à la vie privée et gâcher la carrière, peut-être la vie d'un homme. Mais si bon nombre d'élus dans les haute-sphères ont fait preuve au mieux de soutien, au pire de réserve, l'une d'entre eux a dénoté dans son commentaire.
"Il y en a marre des concours de quéquettes !"
Selon le site de L'Express, l'ancienne candidate à la présidentielle 2007 Ségolène Royal s'est distinguée en prenant la parole : "Il y en a marre des concours de quéquettes !" aurait-elle ainsi laissé échapper dans un éclat de rire, avant d'ajouter : "On ne fait pas ça, surtout quand on tient des discours sur la famille et que l'on met ses enfants en avant. Le temps des femmes est venu. Avec nous, il n'y a pas ce genre de problèmes." Des propos quelque peu triviaux.
gala.fr
Cette femme est d'une co.... sans nom, dans l'affaire Manaudou, c'était bien une femme qui était visée par une vidéo amateur la montrant en train de faire une fellation, je n'ose avoir l'image de Royale faisant la même chose, ça serait digne d'un film d'horreur mais aucunes femmes politiques ne se relèveraient de ça.
Dire qu'une personne comme ça est arrivée au second tour de la présidentielle en France ça laisse pantois et penser qu'elle souhaite se représenter aux prochaines ça fait peur et j'espère réellement que jamais au grand jamais son parti ne lui donnera l'investiture du P.S. pour se représenter.