par Jean-pierre Sam 8 Mar - 10:06Pendant que son entourage s'agite en France pour défendre l'ex-Président des accusations de «trafic d'influence», Nicolas Sarkozy se faisait lui applaudir vendredi soir à Genève (Suisse), lors d'un concert de sa femme, la chanteuse Carla Bruni.
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L'ancien Président n'en avait toutefois rien laissé paraître lors du concert de son épouse. Serrant allégrement des mains, Nicolas Sarkozy triomphait dans la salle pendant que Carla quittait la scène. En novembre déjà, pour la première de sa douce depuis des mois, l'ex-chef de l'Etat avait recueilli plus de félicitations que l'artiste.
A Paris en revanche, l'ambiance n'est pas à la fête ce samedi. Ses proches préparent la riposte après la bombe lâchée la veille par deux journalistes du journal «Le Monde». Selon eux, Nicolas Sarkozy serait sur écoute téléphonique depuis plusieurs mois dans le cadre d'une enquête pour «corruption» et «trafic d'influence». Des accusations immédiatement démenties par son avocat Thierry Herzog, également mis en cause dans les conversations enregistrées, notamment pour avoir obtenu des informations confidentielles sur le déroulé de la procédure judiciaire dans l'affaire Bettencourt via un proche, Gilbert Azibert, avocat général à la Cour de cassation. La veille déjà, «L'Express» faisait état de perquisitions menées mardi chez Thierry Herzog et Gilbert Azibert.
VIDEO. Sarkozy applaudi au concert de Carla Bruni
Nicolas Sarkozy applaudi au concert de Carla Bruni sur WAT.tv
Pour l'avocat, certains veulent «salir, diffamer, empêcher un retour possible» de Nicolas Sarkozy. Retour dont l'ex-Président n'a jamais dit son nom, même si ses multiples apparitions en marge de la politique sont toujours bien calculées. Tout comme sa présence dans certains concerts de sa femme.
Malgré le non-lieu dont il a bénéficié, Nicolas Sarkozy a maintenu son pourvoi en cassation pour contester le refus de la justice d'annuler la saisie de ses agendas, saisis lors de l'affaire Bettencourt. Selon lui, ce refus est contraire à l'article 67 de la Constitution disposant que le chef de l'Etat «ne peut, durant son mandat (...) faire l'objet d'une action, d'un acte d'information, d'instruction ou de poursuite». La Cour doit rendre sa décision à ce sujet le 11 mars.
leparisien.fr
Une nouvelle affaire contre Nicolas Sarkozy alors qu'il n'est plus aux affaire et qu'il vaque tranquillement à ses occupations, ça s'appelle de l'acharnement.
On voit bien toute la haine des juges rouges contre cet homme qui à tout fait pour redresser la France dans tous les domaines qu'ils soient.
Haine fort bien relayée par certains médias qui n'ont qu'une peut que Sarkozy revienne au pouvoir et qu'il leur diminue leur divers avantages liés à leur profession.
Ces gens-là on tord, en faisant sortir ces fausses affaires ils pensent mettre en péril Nicolas Sarkozy et ils pensent masquer leur incompétentes à gouverner voir carrément la ruine dans laquelle ils entraînent le pays.
Ils vont peut-être réussir cette fois-ci en réussissant àa ce que les Municipales ne soient pas une déroute complète, mais jusqu'à quand tiendront-ils en faisant ça, combien d'histoire glauque vont-ils inventer encore
IL arrivera bien un moment ou ils n'en auront plus en stock et ou les français verront parfaitement leur incurie et la ruine du pays qu'ils ne pourront plus masquer.
