JUSTICE - Stephan Turk, le bijoutier qui avait abattu d’une balle dans le dos l’un de ses braqueurs en septembre dans le centre de Nice, a obtenu un assouplissement de son contrôle judiciaire. Son avocat, Me Franck de Vita l’a confirmé ce mardi à metronews.
Le bijoutier le plus connu de France retrouve sa liberté de parole. Stephan Turk est toujours sous le coup d’une mise en examen pour homicide volontaire pour avoir tué d’une balle dans le dos, le 11 septembre dernier, l’un des individus qui venait de braquer sa bijouterie de la rue d’Angleterre.
L'homme qui réside dans un lieu tenu secret, a obtenu ce mardi, en appel, l’annulation d’une disposition de son contrôle judiciaire qui lui interdisait depuis un mois de s’exprimer dans les médias. Selon son fils, Yann Turk, joint ce mardi par metronews, le bijoutier ne devrait pas pour autant accorder de nouvelles interviews. "Il a déjà dit ce qu’il avait à dire. Maintenant il se repose, il est perturbé d’avoir pour ainsi dire tout perdu du jour au lendemain"
Des déclarations qui avaient choqué la famille du braqueur
Huit jours après le drame, Stephan Turk avait notamment mis en cause la famille du jeune braqueur qu’il avait abattu. "Où est sa famille ? Où est son père ? Qu'est-ce qu'il dit son père au journal ? 'Mon fils avait besoin d'argent'… Mais ça ne va pas ça !" avait lancé Stephan Turk sur Europe 1. Interrogé sur les éventuels regrets qu'il aurait à la suite de son acte, il répondait : "oui bien sûr, j'ai regretté pour lui, pour sa famille. Ce n'est pas lui le responsable, c'est son père le responsable ! Le jeune homme avait déjà été impliqué dans 14 affaires…"
Des déclarations qui avaient choqué la famille du braqueur. Son frère, Yannick Asli, toujours sur Europe1, a répondu au bijoutier : "Mon frère, ce n'était pas Mesrine ! C'était un petit gamin comme il y en a de partout dans les quartiers. Qu'il n'en parle plus jamais de mon frère ! Déjà qu'il l'a tué, il veut le salir maintenant ?" Et d'ajouter : "Il a voulu se faire justice lui-même ce monsieur !"
SOURCE :
Si cette racaille , soit dit en passant déjà connue des services de police pour 14 affaires , n'avait pas braqué se bijoutier , il serait toujours en vie , alors il serait temps d'arrêter de nous bassiner avec cette affaire et surtout laisser tranquille cet honnête commerçant !!!
Dès l'instant que l'on vient chez vous pour voler vos biens , j'estime concernant ses voyous , qu'ils devraient être déchue de tous leurs droits civique et si d'aventure il se retrouve avec un "costume de planches" eh bien ils l'ont bien cherché !!!!!