Ces deux fonctionnaires, étaient employées comme régisseuses au sein de la direction des services économique et logistique de l’hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse, à Marseille, dans les Bouches-du-Rhône.
Elles ont été interpellées et placées en garde à vue le 11 janvier dernier.
Des fonctionnaires qui sont soupçonnées d’avoir détourné, 700.000€ des comptes de l’hôpital.
Des détournements effectués pendant près de dix ans.
Monique M., 58 ans et Sandrine C., 40 ans, ont été mises en examen pour « détournements de fonds publics », « recel de détournements de fonds publics », « faux et usage de faux en écriture » et « usurpation d’identité », indique Le Parisien.
Elles ont été remises en liberté contre une caution de 25.000€ et placées sous contrôle judiciaire.
Les deux fonctionnaires ont été révoquées de leurs fonctions.
Début décembre, elles ont été licenciées.
Le pot aux roses a été découvert, en mars dernier, par la direction de l’hôpital.
La direction a décelé des anomalies dans l’utilisation de cartes de carburant, censées servir pour faire le plein des voitures de l’établissement, rapporte Le Parisien.
« Très vite, les soupçons se sont portés sur ces deux employées car ce sont elles qui avaient la responsabilité de ces cartes. Certaines cartes avaient notamment été utilisées dans des endroits dans lesquels aucun employé de l’hôpital ne s’était rendu » explique une source proche de l’enquête.
Une source qui ajoute :
« Les investigations ont permis d’établir que ces deux employées avaient pioché dans les caisses d’argent liquide mises à la disposition, par l’hôpital, pour les activités socio-thérapeutiques des patients, poursuit la même source. Elles ont maquillé leurs détournements en rédigeant des fausses factures, notamment pour des achats de timbres et en imitant la signature d’autres fonctionnaires ».
Les deux fonctionnaires, considérées comme « exemplaires » auraient ainsi escroqué près de 700.000€ depuis l'année 2000.
Elles ont été interpellées et placées en garde à vue le 11 janvier dernier.
Des fonctionnaires qui sont soupçonnées d’avoir détourné, 700.000€ des comptes de l’hôpital.
Des détournements effectués pendant près de dix ans.
Monique M., 58 ans et Sandrine C., 40 ans, ont été mises en examen pour « détournements de fonds publics », « recel de détournements de fonds publics », « faux et usage de faux en écriture » et « usurpation d’identité », indique Le Parisien.
Elles ont été remises en liberté contre une caution de 25.000€ et placées sous contrôle judiciaire.
Les deux fonctionnaires ont été révoquées de leurs fonctions.
Début décembre, elles ont été licenciées.
Le pot aux roses a été découvert, en mars dernier, par la direction de l’hôpital.
La direction a décelé des anomalies dans l’utilisation de cartes de carburant, censées servir pour faire le plein des voitures de l’établissement, rapporte Le Parisien.
« Très vite, les soupçons se sont portés sur ces deux employées car ce sont elles qui avaient la responsabilité de ces cartes. Certaines cartes avaient notamment été utilisées dans des endroits dans lesquels aucun employé de l’hôpital ne s’était rendu » explique une source proche de l’enquête.
Une source qui ajoute :
« Les investigations ont permis d’établir que ces deux employées avaient pioché dans les caisses d’argent liquide mises à la disposition, par l’hôpital, pour les activités socio-thérapeutiques des patients, poursuit la même source. Elles ont maquillé leurs détournements en rédigeant des fausses factures, notamment pour des achats de timbres et en imitant la signature d’autres fonctionnaires ».
Les deux fonctionnaires, considérées comme « exemplaires » auraient ainsi escroqué près de 700.000€ depuis l'année 2000.