Est-ce une réalité psychologique ou une excuse 100% machiste ? Le fait est que plusieurs femmes de joueurs sont mises en cause dans les mauvais résultats sportifs de ces messieurs.
La première coupable (ou victime, tout dépend) est Sara Carbonero, la compagne du gardien espagnol, Iker Casillas.
La jeune femme, désignée reportrice plus sexy du monde par le site internet www.funenclave.com, officie pour une chaine de télévision ibérique et se trouve sur les mêmes pelouses que son conjoint lors des matches. De par cette proximité, certains médias de son pays n'hésitent pas à l'accuser de troubler le dernier rempart de la «Roja». Pire, après la défaite face à la Suisse, pendant une interview, la journaliste a occulté toutes les questions sur la déroute de l'Espagne et sur une éventuelle «bourde» de son gardien, lui glissant même un «hasta luego» (NDLR : à tout de suite) à la fin de l'entretien...
Le joueur du Real Madrid n'est pas le seul portier au coeur de la polémique. L'anglais Robert Green, ridiculisé après sa faute de main ayant entrainé l'égalisation des USA lors du premier match de son équipe, a connu la double peine. Evincé du onze type par Fabio Capello après sa boulette, la presse britannique croit savoir qu'il a été plaqué juste avant le Mondial par un mannequin canadien, Elisabeth Minett. Elle serait donc la coupable idéale pour les tabloids outre-Manche !
Côté français, et plus sérieusement, des affaires extra-sportives ont perturbé la vie de plusieurs cadres des Bleus bien avant le Mondial. Plus récemment, la venue des femmes des joueurs (et son coût estimé à 240 000 euros) avait été évoquée lors des mauvais résultats des Bleus.
Mauvaise foi ou bonne excuse ? A vous de juger!
Le Parisien
La première coupable (ou victime, tout dépend) est Sara Carbonero, la compagne du gardien espagnol, Iker Casillas.
La jeune femme, désignée reportrice plus sexy du monde par le site internet www.funenclave.com, officie pour une chaine de télévision ibérique et se trouve sur les mêmes pelouses que son conjoint lors des matches. De par cette proximité, certains médias de son pays n'hésitent pas à l'accuser de troubler le dernier rempart de la «Roja». Pire, après la défaite face à la Suisse, pendant une interview, la journaliste a occulté toutes les questions sur la déroute de l'Espagne et sur une éventuelle «bourde» de son gardien, lui glissant même un «hasta luego» (NDLR : à tout de suite) à la fin de l'entretien...
Le joueur du Real Madrid n'est pas le seul portier au coeur de la polémique. L'anglais Robert Green, ridiculisé après sa faute de main ayant entrainé l'égalisation des USA lors du premier match de son équipe, a connu la double peine. Evincé du onze type par Fabio Capello après sa boulette, la presse britannique croit savoir qu'il a été plaqué juste avant le Mondial par un mannequin canadien, Elisabeth Minett. Elle serait donc la coupable idéale pour les tabloids outre-Manche !
Côté français, et plus sérieusement, des affaires extra-sportives ont perturbé la vie de plusieurs cadres des Bleus bien avant le Mondial. Plus récemment, la venue des femmes des joueurs (et son coût estimé à 240 000 euros) avait été évoquée lors des mauvais résultats des Bleus.
Mauvaise foi ou bonne excuse ? A vous de juger!
Le Parisien
Ben v'la ot' chose ! Remarquez elles n'avaient qu'a rester chez elles ca aurait eviter ces frais et ce ..fiasco donc !!!!! On va faire semblant d'y croire !!!!! Pauvres femmes que nous sommes va !!!