Un tel spectacle, ça me coupe les bras. C’est révoltant et décourageant à la fois! » Hier soir, en arpentant l’école Romain-Rolland, Serge Poinsot, le maire UMP de Vigneux-sur-Seine, ne cachait pas son abattement. Il faut dire que cette maternelle, installée au cœur du quartier populaire de la Croix-Blanche, a été méticuleusement saccagée. Les vandales ont ravagé le réfectoire, la salle d’évolution, le préau et la cour.
Dans la cantine, les tables ont été retournées, des assiettes fracassées au sol, des poubelles répandues, du lait renversé… Dans une salle où les 187 élèves ont l’habitude de pratiquer des activités avec leurs enseignants, deux armoires ont été renversées, les matelas jetés pêle-mêle, du matériel pédagogique éparpillé. Le tout arrosé de lessive et de mercurochrome. A l’extérieur, des bacs en bois dans lesquels les enfants avaient fait des plantations ont été démontés, des poubelles éventrées et des tricycles balancés.
« C’est terrible, on n’a pas beaucoup d’argent, on essaie de faire le maximum pour les enfants, et là, tout est saccagé, soupire le maire. Le pire, c’est que ce vandalisme est sans doute l’œuvre d’enfants, puisqu’ils ont dû coucher un placard pour grimper dessus afin de faire tomber une autre armoire. »
C’est la gardienne qui a constaté les dégâts, en effectuant sa ronde, vers 19 heures. Elle a aperçu une porte ouverte, est entrée dans l’établissement et a découvert le désastre. D’après les premières constatations, les casseurs ont dû s’introduire dans l’après-midi. L’équipe chargée de l’entretien de l’école, qui profitait des vacances pour faire un grand ménage, a en effet quitté les lieux vers 16 heures.
Hier soir, à 21 heures, la police était sur place, prélevant tous les indices possibles. « C’est incroyable que les riverains n’aient rien vu, s’interroge Serge Poinsot. Lorsqu’ils étaient dans la cour et sous le préau, les gamins ont dû faire du bruit et attirer l’attention. Il faut que les gens témoignent. On ne peut pas laisser ce genre de chose impunie. »
Il y a deux mois, une crèche avait été entièrement saccagée à quelques kilomètres de là, à Brunoy. Des dégâts si importants que l’établissement avait dû fermer pendant deux semaines. La commune avait alors évalué la facture à près de 150 000 €.
Le Parisien
Dans la cantine, les tables ont été retournées, des assiettes fracassées au sol, des poubelles répandues, du lait renversé… Dans une salle où les 187 élèves ont l’habitude de pratiquer des activités avec leurs enseignants, deux armoires ont été renversées, les matelas jetés pêle-mêle, du matériel pédagogique éparpillé. Le tout arrosé de lessive et de mercurochrome. A l’extérieur, des bacs en bois dans lesquels les enfants avaient fait des plantations ont été démontés, des poubelles éventrées et des tricycles balancés.
« C’est terrible, on n’a pas beaucoup d’argent, on essaie de faire le maximum pour les enfants, et là, tout est saccagé, soupire le maire. Le pire, c’est que ce vandalisme est sans doute l’œuvre d’enfants, puisqu’ils ont dû coucher un placard pour grimper dessus afin de faire tomber une autre armoire. »
C’est la gardienne qui a constaté les dégâts, en effectuant sa ronde, vers 19 heures. Elle a aperçu une porte ouverte, est entrée dans l’établissement et a découvert le désastre. D’après les premières constatations, les casseurs ont dû s’introduire dans l’après-midi. L’équipe chargée de l’entretien de l’école, qui profitait des vacances pour faire un grand ménage, a en effet quitté les lieux vers 16 heures.
Hier soir, à 21 heures, la police était sur place, prélevant tous les indices possibles. « C’est incroyable que les riverains n’aient rien vu, s’interroge Serge Poinsot. Lorsqu’ils étaient dans la cour et sous le préau, les gamins ont dû faire du bruit et attirer l’attention. Il faut que les gens témoignent. On ne peut pas laisser ce genre de chose impunie. »
Il y a deux mois, une crèche avait été entièrement saccagée à quelques kilomètres de là, à Brunoy. Des dégâts si importants que l’établissement avait dû fermer pendant deux semaines. La commune avait alors évalué la facture à près de 150 000 €.
Le Parisien
On récolte ce qu'on séme .....notre laxisme et si ce sont des jeunes .... plus d'alloc aux parents et travaux d'interet pour eux ca va les occuper et leur eviter de trainer a faire des c......... !!!!!