A 17 ans, en France, on sort de l'adolescence. A 17 ans, ailleurs, on est depuis longtemps adulte et l'on mène une guerre politico-religieuse dramatique. Les enquêteurs russes ont identifié l'une des deux femmes kamikazes qui ont provoqué la mort de 39 personnes lundi matin dans le métro de Moscou, une adolescente de 17 ans qui serait la veuve d'un rebelle du Caucase, rapporte vendredi le quotidien russe Kommersant.
Djennet Abdourakhmanova, 17 ans, veuve du combattant rebelle Oumalat Magomedov, abattu lors d'une opération spéciale le 31 décembre dernier, a été reconnue comme l'une des femmes qui a déclenché sa ceinture d'explosifs dans le métro de Moscou le 29 mars», écrit Kommersant, citant des enquêteurs du Daghestan.
Le journal publie cette photo du couple, montrant la jeune fille voilée et entièrement vêtue de noir, au visage encore poupon, enlacée par le jeune homme, tous deux tenant un pistolet. Il n'est toutefois pas clair si les deux jeunes gens étaient mariés officiellement, Oumalat Magomedov ne portant pas d'alliance sur la photo.
Rencontrés sur internet
Djennet Abdourakhmanova aurait fait la connaissance de son conjoint lorsqu'elle n'avait que 16 ans, d'abord sur internet, puis l'a rencontré et a été amenée chez lui quasiment de force, selon Kommersant.
Oumalat Magomedov, alias «Al-Bara» et considéré par les rebelles comme l'«Emir du Daghestan», était un proche du leader rebelle Dokou Oumarov, qui se fait appeler «Emir du Caucase» et a revendiqué les deux attentats de Moscou dans une vidéo publiée mercredi.
Magomedov a été abattu le 31 décembre à Khassaviourt, dans l'ouest de la république caucasienne, lors d'un échange de tirs avec la police. Les policiers voulaient arrêter la voiture dans laquelle il se trouvait pour procéder à un contrôle. Selon l'une des versions de l'enquête, la jeune femme serait tombée, après la mort de son conjoint, «sous l'influence d'idéologues wahhabites» qui l'auraient «convaincue de se sacrifier pour venger son mari».
Kommersant indique par ailleurs que l'identité de la deuxième femme kamikaze n'a pas encore été formellement établie, mais qu'il pourrait s'agir d'une femme originaire de Tchétchénie, Markha Oustarkhanova.
Le Parisien
L'alliance dans l' islam je ne crois pas que ce soit une obligation moi !! Ceci dit les extrémistes a la Bonny & Clyde on ne va pas en faire des héros quand même si ????
Djennet Abdourakhmanova, 17 ans, veuve du combattant rebelle Oumalat Magomedov, abattu lors d'une opération spéciale le 31 décembre dernier, a été reconnue comme l'une des femmes qui a déclenché sa ceinture d'explosifs dans le métro de Moscou le 29 mars», écrit Kommersant, citant des enquêteurs du Daghestan.
Le journal publie cette photo du couple, montrant la jeune fille voilée et entièrement vêtue de noir, au visage encore poupon, enlacée par le jeune homme, tous deux tenant un pistolet. Il n'est toutefois pas clair si les deux jeunes gens étaient mariés officiellement, Oumalat Magomedov ne portant pas d'alliance sur la photo.
Rencontrés sur internet
Djennet Abdourakhmanova aurait fait la connaissance de son conjoint lorsqu'elle n'avait que 16 ans, d'abord sur internet, puis l'a rencontré et a été amenée chez lui quasiment de force, selon Kommersant.
Oumalat Magomedov, alias «Al-Bara» et considéré par les rebelles comme l'«Emir du Daghestan», était un proche du leader rebelle Dokou Oumarov, qui se fait appeler «Emir du Caucase» et a revendiqué les deux attentats de Moscou dans une vidéo publiée mercredi.
Magomedov a été abattu le 31 décembre à Khassaviourt, dans l'ouest de la république caucasienne, lors d'un échange de tirs avec la police. Les policiers voulaient arrêter la voiture dans laquelle il se trouvait pour procéder à un contrôle. Selon l'une des versions de l'enquête, la jeune femme serait tombée, après la mort de son conjoint, «sous l'influence d'idéologues wahhabites» qui l'auraient «convaincue de se sacrifier pour venger son mari».
Kommersant indique par ailleurs que l'identité de la deuxième femme kamikaze n'a pas encore été formellement établie, mais qu'il pourrait s'agir d'une femme originaire de Tchétchénie, Markha Oustarkhanova.
Le Parisien
L'alliance dans l' islam je ne crois pas que ce soit une obligation moi !! Ceci dit les extrémistes a la Bonny & Clyde on ne va pas en faire des héros quand même si ????